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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Dans l'univers de la bricabraquologie, chaque marché aux puces devient une aventure où l'on chasse non pas des reliques mais des fragments d'humanité.

• La solitude impose des maux que l'on croit insurmontables, mais elle est pourtant soulageable par la chaleur d'une présence sincère.

• Dans le chaos de la ville, le déperchage symbolise cet instant où l'on perd contact avec notre source d'énergie, avant de retrouver notre chemin.

• Lorsque l'on considère que même les rêves deviennent spéculables, il est temps de réévaluer ce qui constitue vraiment la richesse de nos vies.

• Dans chaque acte d'auto-sabordage, il existe une étrange liberté qui nous pousse à détruire ce que l'on chérit le plus.

• Dans un monde où l'on cherche à bisounoursiser chaque conflit, il devient difficile de distinguer le vrai du faux.

• La révolution intérieure commence lorsque l'on décide de défleurdelyser ses propres croyances, libérant ainsi l'esprit des traditions opprimantes.

• Il existe une beauté unique dans les objets que l'on croit indestructibles mais qui, en réalité, sont étonnamment tordables par le simple toucher de la vie quotidienne.

• L'amour que l'on ressent est souvent transvasable dans nos actes quotidiens, illuminant la vie de ceux qui nous entourent par sa simple présence.

• On connaît, dans tous les gisements de houille de la Nouvelle-Zélande, une résine fossile, l'ambérite, que l'on assimile à celle du conifère, le kauri (Dammara australis) (Ramond, Annuaire géologique 1890 p. 807). Cette ambérite serait d'après une enquête récente le produit fossilisé des arbres qui ont concouru à la formation de la houille [...].

• Elle a été si choquée par le bavardage misomuse de cette exposition qu'elle a flirté avec l'envie de rompre avec la pratique artistique. Depuis elle recherche de nouvelles formes qui resteraient insoumises aux divers discours que l'on pourrait plaquer sur elle.

• À l'instar des murs que l'on doit déflocker, nos vies exigent parfois d'être débarrassées des artifices pour retrouver leur pureté originelle.

• Il suffit d'un simple air de tchiboni pour que le temps s'arrête et que l'on soit transporté au cœur des traditions séculaires de Géorgie.

• Le co-développement, c'est l'art de construire ensemble un avenir que l'on ne pourrait façonner seul.

• C'est dans les graines du coqueret sommifère que l'on trouve la withasomnine, un trésor pour les chimistes en quête d'éveil intellectuel.

• Dans chaque débat où l'on invoque Foucault, il y a toujours un foucaulâtre prêt à défendre jusqu'à l'absurde la moindre de ses propositions.

• La trentaine, la bedaine, les morveux, l'hypothèque, les bonheurs et les peines, les bons coups et les échecs ; travailler, faire de son mieux, n'arracher, s'en sortir et espérer être heureux un peu avant de mourir. Mais au bout du chemin, dis-moi ce qui va rester de notre petit passage dans ce monde effréné. Après avoir existé pour gagner du temps, on se dira que l'on était finalement des étoiles filantes.

• Être apostrophable est une preuve d'ouverture et de courage, car cela signifie que l'on accepte toutes les interpellations inattendues que la vie nous réserve.

• Dans un monde où chaque élément est apportable, la véritable richesse réside dans ce que l'on choisit de conserver.

• C'est dans l'ombre de l'abibliophobie que j'ai trouvé mon amour éternel pour les bibliothèques, ces sanctuaires où l'on n'est jamais réellement seul.