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Il y a 651 citations sur le l'un.
Le chemin le plus court d'un point à un autre est la ligne droite, à condition que les deux points soient bien en face l'un de l'autre. Pierre Dac
Un jour, mon berceau fut placé à côté de celui d'un autre enfant. L'un de nous deux mourut. Depuis, je ne sais pas lequel est vivant : lui ou moi ? Mark Twain
C'est cela l'amour, une élection : lorsque l'on se choisit l'un l'autre, sans autre raison que l'amour. Eliette Abécassis — Le palimpseste d'Archimède
L'objet premier de l'anthropologie est la relation entre l'un et l'autre, les uns et les autres. Elle se situe au confluent des histoires, au lieu des crises, au carrefour des doutes : la matière concrète du social et de l'individuel. Antoine Spire — Le Monde de l'éducation - Juillet - Août 2001
L'humanité est constamment aux prises avec deux processus contradictoires dont l'un tend à instaurer l'unification, tandis que l'autre vise à maintenir ou à rétablir la diversification. Claude Lévi-Strauss — Race et histoire
Un écrivain n'est jamais le lecteur de son oeuvre, même cinquante ans après l'avoir écrite ; s'il ouvre l'un de ses livres, dès la première ligne, il se remet à l'écrire. Camille Laurens — L'avenir
Il n'est pas rare qu'il manque à l'un ce que quelqu'un d'autre a en trop. José Hernandez — Martin Fiero
S'aimer, c'est avoir faim ensemble et non pas se dévorer l'un l'autre. Gustave Thibon
Dès qu'il existe un secret entre deux coeurs qui s'aiment, dès que l'un d'eux a pu se résoudre à cacher à l'autre une seule idée, le charme est rompu, le bonheur est détruit. Benjamin Constant — Adolphe
Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde" .... "Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé..." ... "Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche : -Ah ! Dit le renard... je pleurerai. -C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise... -Bien sûr, dit le renard. -Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. -Bien sûr, dit le renard -Alors tu n'y gagnes rien ! -J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
C'est une folie d'haïr toutes les roses parce qu'une épine vous a piqué, d'abandonner tous les rêves parce que l'un d'entre eux ne s'est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu'on a échoué... Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
Si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde, je serai pour toi unique au monde. Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
Si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde... [...] Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
Tout comme sa sœur sanskrite, la poésie pâli se définit par des mètres et des figures de style, mais le caractère le plus saillant par rapport à la prose est sans doute le recours à la comparaison. Indiquée mais pas toujours par des opérateurs spécifiques au premier rang desquels la particule "va" (sanskrit "iva", comme), la comparaison obéit à des conventions qui en définissent le caractère: le comparé et le comparant doivent être grammaticalement de même genre, de même nombre, de même cas, si la figure doit être pleine; que l'un de ses caractères manque, elle est "lupta", déficiente, etc. - des exigences qui contraignent le traducteur français, mais pas le traducteur allemand ou anglais, à recourir à la périphrase "l'astre lunaire", masculin, pour éviter la Lune, lorsque celle-ci est le comparant d'un être masculin (§172, §173, §208, §413 du Dhammapada) Bouddha — Le Bouddha Dhammapada - Les stances de la loi
L'allégresse et l'angoisse. Ce qu'il y a peut-être de plus remarquable à la fois dans l'histoire et dans l'existence de chacun d'entre nous, c'est cette sorte d'équilibre qui n'est jamais rompu entre le bonheur et le malheur. On dirait qu'une force mystérieuse les empêche l'un et l'autre de s'installer pour toujours. Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit
L'islam est une belle et grande religion. Son prophète est l'un des hommes très rares qui ont bouleversé le monde et transformé de fond en comble le destin des hommes. (« La Chronique du temps qui passe », Le Figaro Magazine, nº 13827, 11 février 1989, p. 9) Jean d'Ormesson
Le plus souvent opposés l'un à l'autre, le hasard et la nécessité sont étroitement liés. On dirait que le hasard est l'agent secret de la nécessité et que l'un et l'autre sont au service de Dieu. Jean d'Ormesson — Comme un chant d'espérance
Le 26 juin, un peu avant midi, il m'est arrivé quelque chose que je n'oublierai plus : je suis mort. La vie est injuste. La mort aussi. J'ai eu de la chance. Tout s'est passé assez vite. Le coeur a lâché. J'aurais pu me blesser. Pas du tout. Je suis tombé d'un seul coup, sans la moindre égratignure, dans les bras de Marie, devant la Douane de Mer d'où la vue est si belle sur le palais des Doges et sur le haut campanile de San Giorgio Maggiore. J'avais essayé plus d'une fois de donner à l'un de mes livres le titre de La Douane de mer. On ne fait pas toujours ce qu'on veut. La Douane de mer s'est refusée à entrer dans ma vie. Elle est entrée dans ma mort. Jean d'Ormesson — La Douane de mer