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Citations sur la lâcheté

Il y a 25 citations sur la lâcheté.

• Il y a eu de la lâcheté partout où il y a eu de la tyrannie.

• Ce n'est pas par obéissance qu'on se fait tuer. Ni qu'on tue. Sauf les lâches.

• La défense la plus sûre contre la tentation, c'est la lâcheté.

• Tout est humain, surtout les faiblesses, les lâchetés.

• La lâcheté rend subtil.

• La lâcheté commence là ou cesse la puissance.

• La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu’on refuse.

• De la peur de tous naît, sous la tyrannie, la lâcheté du plus grand nombre.

• Le Devoir, c'était le nom que la bourgeoisie avait donné à sa lâcheté morale.

• La peinture lâche est la peinture d'un lâche.

• Les lettres anonymes sont d’une lâcheté sans nom.

• Aimer ou être aimé. Ce ne sont que deux formes différentes de lâcheté.

• Je considère le suicide comme une lâcheté : c’est un duel avec un adversaire désarmé.

• Là où il n’y a le choix qu’entre lâcheté et violence, je conseillerai la violence.

• L'opinion pardonne facilement tous les vices, sauf la lâcheté.

• La peur tient à l'imagination, la lâcheté au caractère.

• Dans beaucoup de prudence il y a toujours un peu de lâcheté.

• L'ironie est la bravoure des faibles et la lâcheté des forts.

• La peur du ridicule obtient de nous les pires lâchetés.

• […] La lâcheté ne sait pas profiter des leçons que la générosité lui donne.

• Tous les lâches sont romanesques et romantiques, ils s'inventent des vies à reculons, pleines d'éclats, Campéador d'escaliers !

• Tout est bon pour la défense, excepté la lâcheté.

• Oh ! qu’il le connaît peu, ce cœur, se dit-elle, s’il croit que la lâcheté ou la bassesse d’âme doivent nécessairement l’habiter, parce que j’ai blâmé la chevalerie fantasque des Nazaréens !

• Ce n'est pas par lâcheté, c'est par une immense modestie que l'on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades ….

• De quelle émotion inconnue sens-je mon cœur atteint ! et quelle inquiétude secrète est venue troubler tout d'un coup la tranquillité de mon âme ? Ne serait-ce point aussi, ce qu'on vient de me dire, et sans en rien savoir, n'aimerais-je point ce jeune prince ? Ah ! si cela était, je serais personne à me désespérer : mais il est impossible que cela soit, et je vois bien que je ne puis pas l'aimer. Quoi ? je serais capable de cette lâcheté […] Les respects, les hommages et les soumissions n'ont jamais pu toucher mon âme, et la fierté et le dédain en auraient triomphé. J'ai méprisé tous ceux qui m'ont aimée, et j'aimerais le seul qui me méprise ? Non, non, je sais bien que je ne l'aime pas. Il n'y a pas de raison à cela : mais si ce n'est pas de l'amour que ce que je sens maintenant, qu'est-ce donc que ce peut être ? et d'où vient ce poison qui me court par toutes les veines, et ne me laisse point en repos avec moi-même ?