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Citations sur le lasser
Il y a 13 citations sur le lasser.
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On rit cent fois de suite, sans se lasser, de cette étudiante qui vient d'écrire dans un thème français : « Charlotte était percluse de douleurs sur la tombe de Werther »
Sartre — Mots -
L'escalator remontait en faisant disparaître lentement sa silhouette vers l'étage supérieur. Je me reprochais d'avoir gâché le week-end en me disant qu'elle finirait par se lasser de la répétition de mes scènes.
Philippe Vilain — L'Étreinte -
Rends-toi ! répondit le géant, ou sinon, je t’en avertis, je te lasse comme un Ciboto.
Gustave Aimard — Les Trappeurs de l’Arkansas -
Il ne se doutait pas de l'embêtement qu'il me préparait. C'est à lasser la patience d'un saint
Flaubert — Correspondance -
Toute bonne chose s'use ! Dieu lui-même finit par se lasser de l'existence ennuyeuse des hommes.
Jacques Brillant — Le soleil se cherche tout l'été -
Faites que la beauté reste, que la jeunesse demeure, que le coeur ne se puisse lasser et vous reproduirez le ciel.
François René de Chateaubriand -
Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage, sème l'espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles.
Soeur Emmanuelle -
La différence entre un artiste et une paire de chaussures, c’est que l’artiste doit pouvoir partir avant de lasser, tandis que les chaussures, il vaut mieux les lacer avant de partir.
Philippe Geluck — Le Chat -
Les médias reflètent ce que disent les gens, les gens reflètent ce que disent les médias. Ne va-t-on jamais se lasser de cet abrutissant jeu de miroirs ?
Amin Maalouf — Le Premier siècle après Béatrice -
A cinquante ans on commence à se lasser du monde, et à soixante le monde se lasse de vous.
Axel Oxenstiern -
Le monde se lasse facilement de ceux qui ont commencé à se lasser de lui.
Axel Oxenstiern -
Comme les hommes ne se dégoûtent point du vice, il ne faut pas aussi se lasser de leur reprocher.
Jean de La Bruyère — Caractères -
« Pour ce premier volet, j’avais en tête l’idée d’une petite fille qui allait disparaître et de quelqu’un qui allait essayer de la retrouver, explique Sara Lövestam, qui a été jointe chez elle, à Stockholm. Mais je ne voulais pas que ce quelqu’un soit flic, parce que la police ne m’intéresse pas et qu’en plus, je ne connais pas grand-chose à ce milieu. Je savais qu’écrire ce roman exigerait près d’un an de travail, alors il était important pour moi de créer un personnage complexe dont je n’allais pas me lasser. »
Le Journal de Montréal — La toute dernière enquête de Kouplan | JDM