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Il y a 320 citations sur le le Général.
Les oignons de l’Église , ça devait être , sans doute , pour le général , les sacristies sentant le moisi , les nonciatures , les pastorales d'ensemble , et tout notre bazar extérieur . Guy Gilbert — La Rue est mon église
Cet article modifiait les effectifs en hommes de l'armée active des différentes unités fixés par les lois antérieures. Le général Pau devait prendre la parole; mais souffrant depuis quelque temps, il dut, au dernier moment, me laisser le soin de parler à sa place. auteur
Il était évident que les Anglo-saxons étaient en train d'élaborer le plan d'une vaste opération sur le théâtre occidental. Le général Marschal, chef d'État-major de l'armée américaine, et l'amiral King, commandant en chef de la flotte de l'Atlantique, avaient séjourné à Londres au mois de mai en évitant de me voir. Charles de Gaulle — Mémoires de guerre, L'Appel
[…] lors de la visite des cuisines, le Général fit à l’adjudant gestionnaire du ménage, qui était bien portant, et même assez « enveloppé », la remarque suivante : « Vous êtes bien gros ! » Pierre Beaujean — clham.org
Méline démissionne, remplacé le 28 juin par Henri Brisson qui nomme le général Cavaignac, un antirévisionniste notoire, au ministère de la Guerre. Christian Bouyer — 12 Lettres qui ont changé l’Histoire
Dans la nuit du 26 au 27 août 1870, le général de Failly, Commandant en chef du 5e corps d’armée, reçut l’ordre de se diriger vers Bar-lès-Buzancy et de laisser au Chêne-Populeux ses bagages sous la garde d’un bataillon. Vicomte Ulric-Guelfe de Civry — Un engagement de cavalerie
Face à l'avancée ennemie, le général a décidé d'asseoir son campement sur les hauteurs dominantes, afin de mieux surveiller l'horizon. (Citation fictive)
Le lendemain aucuns ne vinrent à notre camp et le général Bonaparte fut forcé de les y contraindre avec menaces que s’ils ne nous apportaient rien, nous irions les chercher. La Revue du Caire — nos 30-35
En attendant un peu le général Lamoricière, Abd-el-Kader contempla le champ de bataille de Sidi Brahim, où deux ans auparavant il était vainqueur et où aujourd'hui il est vaincu. A. Béguin & B. Peigneaux — En zigzag du Maroc à Malte à travers l'Algérie
Comme un peintre qui contemple sa toile vierge, le général inspectait l'avant-glacis, cette étendue cruciale préparée pour tromper l'ennemi et préluder à la victoire. Gérard Duvalier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
... le Général de Gaulle, sans fausse poésie, sans la moindre sensiblerie, en phrases nettes et sans bavures, a rappelé la vérité française éternelle. François Mauriac — Le Baîllon dénoué
En prévision de l'offensive, le général a décidé de cantonner ses troupes dans différents points stratégiques de la ville. (Citation fictive)
Dans une brochure qui a fait quelque scandale, le général Donop […] voudrait, comme Bugeaud et Dragomiroff, que chacun dans la bataille connût exactement le plan de ses chefs. Georges Sorel — Réflexions sur la violence
Dans l'austérité de sa brandebourg, le général faisait figure d'une époque révolue. (Citation fictive)
Il alla prévenir tous les patriotes de la localité et des environs qu'il avait chez lui, le général de division Marbot. Puis ce monsieur revint, triomphant, dans son castel, où nous vîmes arriver une heure après une cavalcade composée des plus chauds patriotes de Cavaillon. Marcellin Marbot — Mémoires
Tous les problèmes sont ainsi militarisés, posés en termes de puissance et d'efficacité. Le général en chef détermine la politique et d'ailleurs tous les principaux problèmes d'administration. Albert Camus — l'Homme révolté
Il en était question depuis notre départ de Paris et c'est le général de Castelnau qui en prononça officiellement le nom pour la première fois, juché comme un oracle de mauvais augure sur son tas de cailloux. Blaise Cendrars — La main coupée
On prétend que c'est la chose la moins mauvaise que la faiblesse humaine ait pu inventer... Bien inhumaine, pourtant, et inutile, à mon avis ! Plusieurs peuples, en cela moins « barbares » que les Grecs et les Romains, qui les appellent pourtant ainsi, estiment qu'il est horrible et cruel de faire souffrir et démembrer un homme, dont la faute n'est pas avérée. Que peut-il contre cette ignorance ? N'êtes-vous pas injustes, sous prétexte de ne pas le tuer sans raison, de lui faire subir quelque chose de pire encore que la mort ? Et pour preuve qu'il en est bien ainsi, voyez comment bien des fois il préfère mourir sans raison que de passer par cette épreuve. Elle est plus pénible que le supplice final lui-même, et bien souvent, tellement insupportable, qu'elle le devance et même l'exécute.Je ne sais d'où je tiens cette histoire, mais elle reflète bien la conscience dont sait faire preuve notre justice. Devant le Général d'armée, grand justicier, une villageoise accusait un soldat d'avoir enlevé à ses jeunes enfants ce peu de bouillie qui lui restait pour les nourrir, l'armée ayant tout ravagé. Mais pas de preuves !... Le Général somma la femme de bien considérer ce qu'elle disait, car elle devrait répondre de son accusation si elle mentait. Mais comme elle persistait, il fit alors ouvrir le ventre du soldat pour connaître la vérité. Et la femme se trouva avoir raison. Voilà bien une condamnation instructive. Michel de Montaigne — Les essais
Il se trouvait dans la région des astéroïdes 325, 326, 327, 328, 329 et 330. Il commença donc par les visiter pour y chercher une occupation et pour s'instruire.La première était habitée par un roi. Le roi siégeait, habillé de pourpre et d'hermine, sur un trône très simple et cependant majestueux.- Ah! Voilà un sujet, s'écria le roi quand il aperçut le petit prince.Et le petit prince se demanda:- Comment peut-il me reconnaître puisqu'il ne m'a encore jamais vu !Il ne savait pas que, pour les rois, le monde est très simplifié. Tous les hommes sont des sujets.- Approche-toi que je te voie mieux, lui dit le roi qui était tout fier d'être roi pour quelqu'un.Le petit prince chercha des yeux où s'asseoir, mais la planète était toute encombrée par le magnifique manteau d'hermine. Il resta donc debout, et, comme il était fatigué, il bâilla.- Il est contraire à l'étiquette de bâiller en présence d'un roi, lui dit le monarque. Je te l'interdis.- Je ne peux pas m'en empêcher, répondit le petit prince tout confus. J'ai fait un long voyage et je n'ai pas dormi...- Alors, lui dit le roi, je t'ordonne de bâiller. Je n'ai vu personne bâiller depuis des années. Les bâillements sont pour moi des curiosités. Allons! bâille encore. C'est un ordre.- Ça m'intimide... je ne peux plus... fit le petit prince tout rougissant.- Hum! Hum! répondit le roi. Alors je... je t'ordonne tantôt de bâiller et tantôt de...Il bredouillait un peu et paraissait vexé.Car le roi tenait essentiellement à ce que son autorité fût respectée. Il ne tolérait pas la désobéissance. C'était un monarque absolu. Mais, comme il était très bon, il donnait des ordres raisonnables."Si j'ordonnais, disait-il couramment, si j'ordonnais à un général de se changer en oiseau de mer, et si le général n'obéissait pas, ce ne serait pas la faute du général. Ce serait ma faute." Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince
La radio avait annoncé à une heure que le général MacArthur réclamait l'autorisation d'utiliser l'arme nucléaire, que le Congrès américain s'était réuni en session extraordinaire et que les nouveaux assauts des troupes chinoises menaçaient de rejeter à la mer les forces des Nations unies. Romain Gary — Les Clowns lyriques