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Il y a 31 citations sur le maestro.
Dans un virage serré, il a initié un contre-braquage habile; tel un maestro du volant, il a corrigé la trajectoire de son bolide, échappant ainsi à une sortie de route imminente. (Citation fictive)
Dans l'univers industriel, le découpeur est le maestro de la matière, celui qui transforme l'acier brut en pièces finies avec précision et dextérité. (Citation fictive)
L'eupraxie n'est pas seulement une prouesse médicale, c'est une symphonie de gestes harmonieux que seul l'esprit maestro peut orchestrer. Claude Leblanc — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Le rôle de cet extincteur chimique est comparable à celui d'un maestro d'orchestre qui, d'un geste abrupt, met fin à la symphonie lumineuse produite par le composé luminescent. (Citation fictive)
Dans le ballet abstrait des mathématiques, le foncteur est le maestro invisible, orchestrant l'harmonie entre deux catégories en associant à chaque danseur - objet ou morphisme - de l'une, un partenaire dans l'autre, tout en respectant la chorégraphie intrinsèque de chaque couple. (Citation fictive)
Dans l'univers effervescent de la grande distribution, le gondolier est le maestro qui dirige l'orchestre des rayons, veillant au réassortiment, à l'étiquetage et au balisage des produits, pour que chaque article trouve sa place sous les feux de la rampe commerciale. (Citation fictive)
Dans le ballet minutieusement synchronisé de l'industrie moderne, l'instrumentiste est le maestro invisible qui orchestre l'harmonie parfaite entre machines et techniques. (Citation fictive)
Pour obtenir une sauce onctueuse, il faut le talent et la précision d'un maestro dans l'art de réaliser la liaison, ce ballet délicat d'ingrédients mené par les jaunes d'œufs. (Citation fictive)
Dans le laboratoire immaculé, le lyophilisateur, véritable maestro de la déshydratation par sublimation, opérait en silence, congelant et abaissant la pression du produit avec une précision chirurgicale. (Citation fictive)
Quand parut un saladier plein de macaroni, le docteur murmura : — « Bigre ! voilà une bonne chose. » Et Mme Caravan, cette fois, servit tout le monde.M. Chenet rappela l’amour de Rossini pour ce mets italien ; puis tout à coup : — « Tiens ! mais ça rime ; on pourrait commencer une pièce de vers. » Le maestro RossiniAimait le macaroni… — (Guy de Maupassant, En famille, dans La maison Tellier, 1891, réédition Le Livre de Poche, page 141)
Une dame se met au piano, joue un morceau de Bellini, qui paraît être le maestro favori des Espagnols, ou chante une romance de Breton de los Herreros, le grand parolier de Madrid. Théophile Gautier — Voyage en Espagne