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Citations sur le malheur à

Il y a 34 citations sur le malheur à.

• Les esprits impurs criaient : Malheur à nous, voila que le protomartyr Étienne passe en nous frappant cruellement d'un glaive de feu. « Histoire de la translation des reliques de S. Étienne de Jérusalem à Bysance » en appendice de la Lettre d’Anastase à Landuleus touchant un écrit sur la translation des reliques du protomartyr Étienne

• J’affronterai, sans voiles, l’hydre aux mille faces-à-main de la gentry britannique et malheur à vous si des réflexions désobligeantes me font regretter d’avoir offert mes appas aux sarcasmes des philanthropes ! » — Maurice Dekobra, La Madone des sleepings

• Ce jeu exigeait la rase campagne pour les grands ébattements auxquels il donnait lieu, et malheur à celui qui se laissait trop engager dans la mêlée, il était cholé (blessé), suivant notre expression picarde encore usitée.

• Dans les ruelles sombres de sa pensée, il demeurait un paraskevidékatriaphobique invétéré, redoutant l'arrivée d'un malheur à chaque coin de calendrier.

• Chaque soir, lorsque sonnait le couvre-feu, les chiennetiers lâchaient les dogues hors des murs et malheur à qui rôdait alors à travers les grèves où les navires étaient échoués à mer basse, […].

• La voix s'éleva: − « Malheur à vous, Pharisiens et Sadducéens, race de vipères, outres gonflées, cymbales retentissantes! »

• Tout l’hiver, accoudé à une haute fenêtre, entre le ciel froid et les plaines gelées du lac, [Zénon] s'occupa de computer les positions des étoiles susceptibles d'apporter le bonheur ou le malheur à la maison des Vasa[.]

• "Chaque soir, lorsque sonnait le couvre-feu, les chiennetiers lâchaient les dogues hors des murs et malheur à qui rôdait alors à travers les grèves où les navires étaient échoués à mer basse.

• Chaque soir, lorsque sonnait le couvre-feu, les chiennetiers lâchaient les dogues hors des murs et malheur à qui rôdait alors à travers les grèves où les navires étaient échoués à mer basse […]

• Malheur, malheur à l'âme léthargique qui n'en est pas échauffée, remuée, transportée, et qui retombe et se rappesantit sur la terre. — (Jean-Philippe Dutoit-Membrini, C.-F Wexelberg, Œuvres théosophiques et spirituelles, 1800)

• Lorsque, dans une ferme, une poule vient à chanter le jau, on l’attrape à l’instant même et on lui tord le cou ; autrement, il arriverait malheur à la maison : le maître mourrait dans l’année. Dans quelques dictionnaires, et entre autres dans celui de Laveaux, on désigne ces sortes de poules sous le nom de gaugalin, que l’on pourrait traduire par jau-galline.

• Ah ! Peuple mobile qui cède au moindre vent ; malheur à celui qui s'appuie sur ce roseau !

• Sachez écouter. Malheur à celui qui, sans la ramasser, laisse tomber une parole d'or de la bouche d'autrui.

• L'homme n'est pas la négation de l'enfant, mais son développement, et malheur à qui veut barrer ce qu'il fut !

• Si la pierre tombe sur la cruche, malheur à la cruche ; si la cruche tombe sur la pierre, malheur à la cruche ; de toute manière, c'est toujours la cruche qui souffre.

• Ô mon âme, tu es capable de Dieu, malheur à toi si tu te contentes de moins que de Dieu !

• Oh ! je porte malheur à tout ce qui m'entoure !

• C'est au malheur à juger du malheur.

• Il y a seulement de la malchance à n'être pas aimé ; il y a du malheur à ne point aimer.

• Tomber a été inventé pour se relever. Malheur à ceux qui ne tombent jamais.