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Citations sur la Marmandais

Il y a 13 citations sur la Marmandais.

• Gérant avec son frère d’un domaine de 53 hectares certifié bio et biodynamie en appellations Côtes du Marmandais et Entre-Deux-Mers, Pascal Boissonneau se donne la mission d’amener les adhérents du syndicat vers l’autonomie commerciale. Dans un contexte de crise bordelaise, le viticulteur veut resensibiliser aux différents outils développés par le syndicat pour calculer leurs coûts de revient et prix de vente sur les circuits BtoB et BtC.

• Car ce bloc de six matches va aussi et surtout se composer de matches contre des équipes qui jouent le haut du tableau (Mérignac-Arlac et Saint-Paul) et d’autres qui jouent pour le maintien (Blanquefort, Orthez, La Brède et Mascaret). Vous voyez le truc ? Six matches pour un maintien auquel le technicien marmandais croit dur comme fer : "On va gagner ce maintien. Personne ne nous le donnera mais le groupe va ganer le maintien. Les joueurs sont derrière moi, ils ont envie, ils ne veulent pas descendre et feront tout pour rester en R1. On va à Blanquefort ambitieux." Y’a plus qu’à…

• Florian Valloir et Alexis Bordas parcourent les cours d'eau et lacs du Marmandais pour s'adonner à leur nouvelle passion, la pêche à l'aimant. Mais ne manquez pas la vidéo... !

• Selon les premiers éléments de l’enquête, cet étudiant clairacais revenait de Marmande après avoir participé au rassemblement des pères Noëls motards au profit des Récoltes de l’espoir, une rencontre de bienfaisance lors de laquelle des motards du Marmandais ont distribué des cadeaux de Noël aux enfants hospitalisés à l’hôpital de La Réole.

• Logiquement, les cépages précoces ont été les plus touchés : merlot, malbec et abouriou (80 % pour cette dernière variété). Deux motifs de satisfaction toutefois : « On avait eu des pertes de pied de moins de 2 ans l’année dernière, on ne devrait pas l’avoir cette année », espère le Marcellusien. Par ailleurs, poursuit le Marmandais Gilbert Bonnet, les vignes sensibles (sur des parcelles où le gel sévit plus facilement) n’avaient pas été taillées, retardant ainsi leur développement et le risque de destruction des bourgeons.

• René Gasquet avait débuté le vélo en 1946 à la "Pédale Tonneinquaise". Après une carrière de coureur régional, en compagnie de son frère Robert, il s’était dès 1950 rapidement impliqué en tant que dirigeant au sein d’un club qui faisait, à l’époque, référence dans la région. Il a officié en tant que commissaire régional puis national, en parallèle de ses fonctions de dirigeant et cela jusqu’aux années 2000. Suite à la mise en sommeil du club tonneinquais dans les années 70, il avait rejoint son ami Ernest Marchi, historique président du CC Marmandais et avait contribué à la renommée du club.

• Pour leur première saison en Nationale 3, les Marmandais ont quasiment déjà acquis leur maintien. Désormais, Jérémy Marrocco et ses hommes peuvent anticiper la suite.

• Après son épreuve manquée à l’édition de 2021, en octobre à Paris, le Marmandais Steeve Parriche tentera de nouveau sa chance aux Championnats de France de sushi, lors du Japan Food Show toujours porte de Versailles, le 31 mars. Le chef vient d’être à nouveau qualifié pour la compétition. Il s’agira de la 5e édition organisée par le magazine France Sushi.

• En juniors, Koen Veenemans et Jules Serre furent très en vue lors des deux premières journées, le premier étant un peu stoppé par une mauvaise grippe à partir du jour 4. Le plus régulier s’est avéré être l’Ornézanais David Boué, particulièrement combatif tout au long du dernier jour, le 19 février, et se montrant digne de son podium au classement final, classement dominé par un autre junior, le Marmandais Luk Daugé.

• Le BBM (4e, 24 points) reçoit l’Élan Souémontain Montgaillardais Sarraziétois (3e, 24 points également). Un duel au sommet et surtout, à ne pas manquer pour les coéquipiers d’Arnaud Bruzac. Battus par une grosse équipe de Pornic, leader de la poule faut-il le rappeler, samedi dernier, les Marmandais ont l’occasion de se relancer face à une équipe ambitieuse.

• De Madiran à Bergerac, d’Irouléguy à Gaillac, ou du Marmandais à Jurançon, de nombreux vignobles sont classés sous la bannière Sud-Ouest. Certains partagent des cépages en commun, tous ont un caractère propre bien trempé. Direction Cahors, l’une des plus prestigieuses appellations de la région, et l’une des plus identitaires.

• Du côté de la Sepanlog (1), même si «plus rien n’est censé étonner qui que ce soit», il est des initiatives qui laissent tout de même «rêveur», version «cauchemar», il va sans dire. Dernière en date, la pratique dite du «poussin farci à la strychnine», allègrement utilisée dans une commune du Marmandais ! «Vous avez bien lu, poussin à la strychnine, un poison extrêmement violent, présent dans la taupicine, sorte de poudre utilisée voici quelques décennies pour se débarrasser des taupes mais aujourd’hui strictement interdite en France.» Car ce sont a priori bien des taupes qui sont visées par le procédé.

• Le musée marmandais avait ainsi mis à l’honneur le maître pastelliste qui a illuminé des générations entières d’amateurs d’art.