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Il y a 109 citations sur le martin.
Le martin métallique y vole et son reflet persiste dans l'œil étonné du pêcheur. Francis Jammes — Clairières Dans Le Ciel (1902-1906)
Dans son rôle de cartographe, Martin était constamment engagé dans le lever du terrain, capturant ses contours non seulement pour l'œil, mais aussi pour la compréhension du monde. (Citation fictive)
Dans les pages de l'histoire occidentale, le luthérianisme est apparu comme une véritable révolution théologique, radicalisant la pensée chrétienne par les enseignements de Martin Luther. (Citation fictive)
Dans le dernier numéro de la revue médicale 'Santé & Progrès', le Dr Martin explique : 'La lymphographie, cette technique d'imagerie précise et innovante, permet de cartographier avec une extrême précision le réseau de nos vaisseaux lymphatiques et nos ganglions, offrant ainsi un outil inestimable pour le diagnostic et le suivi de nombreuses maladies.' (Citation fictive)
Dans le monde impitoyable de la politique, Martin avait acquis la réputation d'un magouilleur hors pair, toujours prêt à manipuler les règles du jeu pour servir ses propres intérêts. (Citation fictive)
Le soir, quand les martins jacassent dans les grands arbres du jardin, il y a la voix douce et jeune de Mam en train de dicter un poème, ou de réciter une prière. J. M. G. Le Clézio — Le Chercheur d'or
Le message de Gandhi, de Mandela, de Martin Luther King (...) C'est un message d'espoir dans la capacité des sociétés modernes à dépasser les conflits par une compréhension mutuelle et une patience vigilante. Stéphane Hessel
Seuls les faits montrés à la télé accédaient à la réalité. Tout le monde avait un poste en couleur. Les vieux l’allumaient le midi au début des émissions et s’endormaient le soir devant l’écran fixe de la mire. En hiver les gens pieux n’avaient qu’à regarder Le Jour du Seigneur pour avoir la messe à domicile. Les femmes à la maison repassaient en regardant le feuilleton sur la première chaîne ou Aujourd’hui madame sur la deuxième. Les mères tenaient les enfants tranquilles avec Les Visiteurs du mercredi et Le Monde merveilleux de Walt Disney. Pour tous la télé était la mise à disposition immédiate et peu coûteuse de la distraction, pour les épouses la tranquillité de garder leur mari à côté d’elle devant Sport Dimanche. Elle nous entourait d’une constante et impalpable sollicitude, qui flottait sur les visages souriants et unanimement compréhensifs des amateurs (Jacques Martin et Stéphane Collaro), leur mine bonhomme (Bernard Pivot, Alain Decaux). Elle nous unissait de plus en plus dans les mêmes curiosités, peurs et satisfactions, est-ce qu’on allait retrouver l’odieux meurtrier du petit Philippe Bertrand, le baron Empain, attraper Mesrine, est-ce que l’ayatollah Khomeiny regagnerait l’Iran. Elle nous donnait un pouvoir de citation sans cesse renouvelé des événements et des faits divers. Elle fournissait des informations médicales, historiques, géographiques, animalières, etc. le savoir commun s’élargissait, un savoir heureux et sans conséquence dont, à la différence de l’école, on n’avait pas à rendre compte ailleurs que dans la conversation, précédé de ils ont dit ou ils ont montré à la télé, à prendre au choix comme une marque de distance vis-à-vis de la source ou une preuve de vérité. Annie Ernaux — Les années
Je sais aussi, dit Candide, qu’il faut cultiver notre jardin. — Vous avez raison, dit Pangloss ; car, quand l’homme fut mis dans le jardin d’Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu’il travaillât : ce qui prouve que l’homme n’est pas né pour le repos. — Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c’est le seul moyen de rendre la vie supportable. Voltaire — Candide