Accueil > Citations > Citations sur la mise à mort
Il y a 29 citations sur la mise à mort.
Le paso doble de l'ambassadeur d'Algérie à Paris a cessé sa danse. L'orchestre politique d'El Mouradia ayant stoppé son crin-crin, les mocassins de Son Excellence ont pu à nouveau fouler le sol français le 15 juin. Il avait été rappelé pour consultation en Algérie le 27 mai. Un paso doble qui aura duré vingt jours. Selon Wikipédia, « la musique servant de base au paso doble est martiale. Elle est jouée lors des corridas au moment du paseo, pendant la faena et elle s'arrête avant l'estocade ». Dans cet agit-prop diligenté par Abdelmadjid Tebboune en personne, il n'y aura ni mise à mort ni ho... Le Point — Le paso doble de l'ambassadeur d'Algérie à Paris - Le Point
Pic du picador, banderilles des bandilleros, estoc du matador, puntilla du puntillero... le sacrifice de ces animaux à d'abord lieu dans les arènes de corrida. Dans un abattoir la mise à mort ne sera pas jouissive pour un public ou le personnel, elle ne durera pas 20 minutes sous des cris et des applaudissements, l'animal ne se noiera pas dans son sang au bout d'un intense effort physique à tenter illusoirement de sauver sa vie... Des taureaux de corrida sacrifiés faute d’argent - 20 minutes
2Dans cette citation, l’aigle rabaisse la chauve‑souris dont la syntaxe est mise à mort par ses défauts. Mais le lecteur se rend également compte qu’il existe une beauté — toute romantique — de la critique de Sainte‑Beuve, du ténébrisme goyesque au clair‑obscur du Caravage pour la peinture, sans oublier le chacal exotique et le cimetière à la fois gothique et fantastique. Au xixe siècle, la lumière n’a plus la part belle pour discréditer l’ombre. Le Critique & l’Écrivain : frères ennemis ? (Acta Fabula)
Aix : l'effroyable scénario de la mise à mort de "Toche" LaProvence.com — Faits divers - Justice | Aix : l'effroyable scénario de la mise à mort de "Toche" | La Provence
En 2015, le Canadien Don Gutoski gagnait le concours Wildlife Photographer of the Year avec sa photo représentant la mise à mort dans la neige d’un renard polaire par un renard roux. Cette photo a fait sensation de par sa cruauté et son message : le réchauffement climatique augmente la fragilité et accélère l’extinction des... Bonneville. Un Bonnevillois sur la trace des renards polaires
Selon les autorités éthiopiennes, cette vidéo particulièrement horrible a été tournée fin février dans la région où se trouve le barrage de la Grande renaissance éthiopienne. Il s'agit de la mise à mort de civils tigréens par des soldats de l'armée fédérale et des miliciens amharas. RFI — Éthiopie: une vidéo montre l’exécution de civils par des militaires et des miliciens amharas
Mais aborder la question des gibets et des fourches patibulaires nécessite un petit rappel du plus emblématique des pendus, Judas l’Iscariote. En se suicidant par pendaison, cette figure, certes controversée dans l’historiographie chrétienne, incarnant la traîtrise, a concouru à qualifier cette mise à mort de honteuse et d’infâme. La corde apparaît ainsi comme la pire des sanctions, une peine de déchéance et de relégation. Histoire d’ici | Région de Saverne. Gibets et fourches patibulaires du Moyen Âge à la Révolution
C'est la première fois que la mise à mort d'un pygargue par un plongeon huard est documentée, explique Danielle D'Auria, biologiste de la faune au Département de la faune et de la pêche du Maine. National Geographic — Pourquoi ce plongeon huard a-t-il tué un pygargue à tête blanche d'un coup de bec dans le cœur ? | National Geographic
« Les mots badigeonnés à la peinture noire ont été choisis avec une très grande précision et attention », s'indigne Philippe Goujon qui considère « cette affaire grave ». Il y a le chiffre « 4 115 » des enfants exterminés qui disparaît, mais aussi le mot « extermination » dans camp d'extermination, l'adverbe « abominablement » dans « mise à mort dans des conditions abominablement cruelles », la phrase « ils furent tués en totalité ». leparisien.fr — Paris : qui s’est attaqué à la stèle des enfants juifs victimes de la rafle du Vel’d’Hiv’ ? - Le Parisien