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Citations sur le mon cœur - Page 2

Il y a 118 citations sur le mon cœur.

• Coucou qu'est ce que tu fais mon cœur ?

• 6 octobre 1941 – Il était assis à la terrasse du café du coin et il se tenait les côtes. Moi aussi, mais c’était pour empêcher mon cœur de battre…

• Quand j’arrive chez nous, j’ai fait vinaigre, mon cœur bat la chamade.

• Lorsque je vis Isabelle sortir de ce réduit d’infamie, accompagnée par le puissant chuintement de la chasse d’eau purificatrice, je demeurai stupide, comme paralysé, et mon cœur dans ma poitrine fit une petite grimace.

• M. Edwin Blankett chassera les évagations attendrissantes de mon cœur à coups d’eversharp réitérés devant l’habit d’arlequin d’une carte minéralogique.

• Les portes de mon cœur sont toujours ouvertes, mais parfois, il faut juste un petit mot pour que l'autre ose finir d'entrer.

• Dans le silence de la nuit, le ventriculogramme de mon cœur battait au rythme des souvenirs perdus.

• Dans le silence du matin, je ressens chaque battement de mon cœur comme un souffle pulmoneux qui anime la vie.

• Dans le murmure incessant de la ville, mon cœur s'emballe en une tachysystolie désordonnée, reflet d'une existence trop pressée.

• Je dois donner un cours particulier. Les yeux verts de Robbie se firent inquisiteurs. — Un cours particulier ? A qui ? Mon cœur se mit à battre un peu plus fort, et je me retins de sourire bêtement. — (Julie Kagawa, La princesse maudite - Le passage interdit, HarperCollins, 2011)

• En tant que Castel-Ambillouçoise, j'ai toujours porté dans mon cœur la douceur des paysages de l'Anjou et la chaleur de notre communauté.

• Dans le silence du soir, la paix est venue de Dieu grâce, apaisant mon cœur tourmenté par les affres du jour.

• Dans les bois sombres de mon enfance, chaque bruissement était source d'effroi. Ma grand-mère répétait sans cesse : 'Rappelle-toi, Jean-Luc, la petite bête ne mangera pas la grosse.' Ce qui n'empêchait pas mon cœur de s'emballer à chaque craquement de branche.

• Dans le silence de la montagne, je sens chaque battement de mon cœur oxyhémoglobiné résonner avec la pureté de l'air.

• [...] il s’écria : « Maugrebleu ! l’ami, tu as là une digne maîtresse que je t’envie de tout mon cœur ; voudrais-tu pas me la montrer ? - Oh ! que non pas, sire, répondis-je, ce serait vous la donner ; car à si gentil prince que vous êtes on cède sans dire nenni. »

• Et les loques musicales y volent emportées par un vent qui ne vente pas. Je dresse l’oreille, ma voisine éclate de rire, sanglote. C’est faux. Elisabeth et Gaby dorment. Leur silence traverse la cloison qui nous sépare. Je l’écoute. C’est un vrai silence. Les cabines se taisent. Les machines secouent ce silence en musique, me secouent au point que je crois que mon cœur bat la chamade et qu’il me secoue.

• Je le retenais par prudence parce que j’avais peur que cette inconnue s’éveillât, et qu’au lieu de la Tante Martine familière au cœur tendre se levât de sa chaise et vînt vers moi le fantôme de ce que j’aimais. Mais je suis ainsi fait qu’au moment où mon cœur bat la chamade, j’entends, je vois, je sens avec une extraordinaire acuité.

• Enfin bref, les z’amis tout ça pour dire que ce n’est pas avec mon cœur qui pleure ou ma folie consumériste que je vais faire rechatoyer mon aura …

• Je laisserai peut-être Ma chair se rattiédir à tes douceurs complices, Mon cœur se rassurer, mon esprit se démettre, (...)

• (...) tu m'as rendu mon cœur que j'avais changé en roc, il ya longtemps, longtemps de cela, quand pour préserver mon intégrité, j'avais dû me durcir contre ma mère, et puis il avait fallu me réendurcir pour résister à Roberte, mais maintenant, tant que je saurai que tu m'aimes (...)

• C’est en moi qu’il me boucle et c’est jusqu’à perpète. Ce gâfe de vingt ans ! Un seul geste son œil, ses cheveux dans les dents : Mon cœur s’ouvre et le gâfe avec un cri de fête M’empoisonne dedans.

• Jamais je n'ai vu Lautrec jubiler plus ouvertement. Qu'il fallût à Lautrec désespérer d'obtenir une femme trop longtemps désirée, s'il l'avait pu voir devenir la proie d'un ami, j'ai vu parfois briller dans ses yeux une joie dont mon cœur se serrait. Dans ses accès de candaulisme, il était capable de réinventer toutes les roueries des entremetteuses.

• Et mon cœur s'est mis à donner des signes dans mes multiples voix, disant, ceci est ma voix, et ceci ne l'est pas, ceci est un lamed qui sort de ma bouche, et ceci est un qouf étranger à mon cœur.

• Ce serait tromper ma faim mes os mon cœur mon ventre et la désaccointance irréversible où je délibère si j’emporte avec moi ces haillons : ma faim mes os mon cœur mon ventre.

• Revenons au “quatre à quatre”, tu as été vraiment bonne pour moi lorsque tu as vu que j'étais embêté, tes douces caresses se sont transmises à mon cœur ... On est bien décidé de faire le mariage à chaabane, c'est-à-dire dans deux mois.

• En ce temple d’Amour, dont la voûte sonore D’un autre mien serment autrefois résonna, Quand aux fausses beautés que mon cœur désadore Par un acte imprudent mon cœur s’abandonna, (…)

• Cette ambiance me rend ouf, chaque fois, mon cœur s'arythmise, un coup dans le zag et un coup dans le zig et vice versa.

• C’est la corrida… le crêpage… les glapissements ! Obligé de foncer, moi aussi dans le tas, pour ma camarade préférée, celle pour qui mon cœur bat et ma queue bande.

• - Ah ! Seigneur ! donnez-moi la force et le courage De contempler mon cœur et mon corps sans dégoût !

• J'ai cru en Toi, et je te vois sans force contre l'écume des moments. Mon cœur en est désespéré.

• O flots abracadabrantesques Prenez mon cœur, qu'il soit sauvé.

• Le cœur humain de qui ? le cœur humain de quoi ? Celui de mon voisin a sa manière d'être ; Mais, morbleu ! comme lui, j'ai mon cœur humain, moi !

• En ce monde vain que j'ai quitté et rejeté puisse la lune plus ne demeurer, de sorte que mon cœur ne s'y attache !

• C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de peine !

• Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville.

• Je désire reposer […] en face de cette ligne bleue des Vosges d'où monte jusqu'à mon cœur fidèle la plainte des vaincus.

• Mon cœur s'ébat en odorant la rose Et s'éjouit en regardant ma dame. Trop mieux me vaut l'une que l'autre chose. Mon cœur s'ébat en odorant la rose.

• Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone.

• Non, mon cœur n'est pas un feu couvert.

• Je fais bien de ne pas rendre l'accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n'en sort pas sans le déchirer ; c'est une plaie qui ne cautérise jamais bien.

• Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ?

• Les battements de mon cœur de minute en minute devenaient plus douloureux parce que j’augmentais mon agitation en me prêchant un calme qui était l’acceptation de mon infortune.