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Citations sur la musique électronique

Il y a 38 citations sur la musique électronique.

• L’acholi est alors de plus en plus fréquemment passé par un DJ et produit par ordinateur. Le mélange entre musique électronique et folklore va rapidement devenir populaire au-delà des fêtes de mariage. Dès 2003, des artistes tels que Opiyo Twongweno, Bosmic Otim ou Baby Davlin produisent des morceaux d’electro acholi qui deviennent très populaires dans les villes de Gulu et Lira, au Nord de l’Ouganda.

• Faire la fête dans des châteaux, des clubs de plage, en pleine nature et autres lieux éphémères... Depuis plusieurs années déjà, des collectifs orientés musique électronique organisent des fêtes dans des lieux atypiques, de jour comme de nuit. Des événements gérés de A à Z, de la programmation musicale à la déco en passant par la sécurité et rassemblant plusieurs centaines de personnes. Un phénomène en pleine expansion, hors des discothèques et festivals traditionnels, pour les amoureux de sons groovy, house ou techno.

• Pionnier d'une ambient environnementale essentielle à l'histoire de la musique électronique japonaise, Yoshimura a été influencé autant par Erik Satie que par Brian Eno, ce qui s'entend parfaitement dans le premier single de cette réédition de Surround. Pour le disque complet, rendez-vous le 06/10.

• Chantre de l’ondioline (instrument de musique électronique à clavier qui utilise un système de tube à vide, précurseur de l'actuel synthétiseur), il se fait connaître dans le milieu du music-hall pour finalement enregistrer avec Charles Trenet et se produire avec Édith Piaf. 

• Depuis la fin des années 80, la musique électronique et surtout le hip-hop, très gourmand en samples, ont permis de déterrer des artistes sixties et seventies souvent largement ignorés à leur époque. Offrant même à certains le rebond d’une inattendue seconde carrière.

• Un an après "In da club " de 50 Cent, TTC sort la version française avec un titre à la production survitaminée. Le rap est à l'origine une musique électronique mais quel lien entretiennent les rappeurs français avec les machines et la musique de club ?

• Pour ceux qui ont connu La Flèche d'Or entre 2005 et 2010, le nom de ce groupe ne peut pas vous être inconnu. Poni Hoax représente tout ce que la musique électronique française a su faire de plus audacieux dans le courant des années 2000. Malheureusement, la formation emmenée par le pianiste Laurent Bardainne serait bien en passe de se séparer, si l'on en croit ses publications Facebook.

• L'association organisatrice du festival de musique électronique Dox'art a tranché : l'édition 2021 n'aura pas lieu. Les contraintes sanitaires imposées pour cet été en raison de la crise liée au Covid-19 sont trop strictes.

• Nous l’apprenons en visitant le site sponsorisé par Google Arts : le terme musique électronique existe depuis bien plus d’un siècle, lorsque l’inventeur américain Thaddeus Cahill dépose le premier brevet de son telharmonium, un beau bébé de 200 tonnes qu’on considère comme le précurseur des synthétiseurs modernes. D’autres inventions suivront, comme le théâtrophone, aux origines de la radio et du jukebox.

• Du clavicythérium à l’électro en passant par les grandes orgues et le marimba, tous les claviers sont invités. Les répertoires, les instruments et les artistes se marieront harmonieusement avec la danse, les percussions et la musique électronique cette année.

• Intensité, cardio et renforcement musculaire, musique électronique et gants lestés, bienvenue dans votre premier cours de piloxing knockout !

• Formé en 1994 à Berlin, Rammstein a vendu plus de 22 millions d’albums à travers le monde. Leur répertoire, qui mélange rock industriel, musique électronique et textes dans la langue de Goethe, s’est vite distingué du lot grâce à des concerts toujours plus spectaculaires, regorgeant d’effets pyrotechniques à l'image des guitares lance-flammes de Richard Kruspe et Paul Landers. Mais aussi des vidéos qui suscitent souvent la controverse.

• Maurice Martenot présente au public en 1928 l’un des premiers instruments de musique électronique au monde : les Ondes Musicales, connues depuis sous le nom d’Ondes Martenot. L’Itinéraire vous propose de partir à la découverte de cet instrument aux sonorités inouïes et proches de la voix humaine de la main de l’ondiste Nathalie Forget, interprète reconnue et professeur d’Ondes Martenot au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Ce concert sera présenté et commenté par le compositeur Grégoire Lorieux.

• La musique électronique a connu un essor fulgurant grâce à l'utilisation ingénieuse de la technologie numérique-analogique, ouvrant ainsi la voie à une infinité de possibilités sonores.

• Quand on cherche des musiciens, le répertoire est un critère indispensable. La polyvalence du saxo vous permet de choisir l’ambiance que vous voulez pour votre événement. Souvent, on joue du jazz, smooth jazz, bossanova, latin jazz, musique électronique, chill out, lounge, deep house, etc. Dans les sessions de saxophone pour les discothèques, toutes les variations de musique électronique (house, deep house, progressive, etc) sont les plus recherchées.

• Le snipper, cet effet si subtil et intrigant qui rend la musique électronique contemporaine irrésistiblement hypnotique.

• Sur Facebook, l’événement a déjà bien circulé, 3 000 personnes ayant annoncé leur participation et 13 000 se disant « intéressées ». Pourtant, le multisons, rassemblement de musique électronique en plein air, prévu dans le Finistère le week-end du 26 et 27 octobre, semble avoir du plomb dans l’aile. Du moins sous une formule autorisée.

• Créé en 1920 par l’inventeur russe Léon Theremin, le thérémine est un instrument de musique électronique composé d’un boîtier et de deux antennes, une verticale et une horizontale. Le théréministe commande la hauteur de la note jouée en approchant ou éloignant sa main gauche de l’antenne verticale. Le volume du son émis est, lui, géré de la même façon par la main gauche avec l’antenne horizontale.