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Citations sur le n'est-il pas

Il y a 118 citations sur le n'est-il pas.

• Le pardon, cette force tranquille qui apaise les tempêtes du cœur, n'est-il pas le geste le plus bénissable que l'on puisse offrir à son prochain?

• Le rôle du philosophe n'est-il pas de questionner l'analysabilité de notre monde, pour en révéler les strates cachées ?

• Ce "non-lieu" n'est-il pas propice à toutes les apesanteurs sociales, sentimentales, familiales, culturelles.

• Le mariage est souvent vue comme une alliance sacrée, mais n'est-il pas avant tout une coacquisition de vie, de rêves et de responsabilités?

• Et Adam, le sexfriend moche de Girls, n'est-il pas craquant juste parce qu'il envoie promener Hannah ?

• Émotionner est assurément un vilain mot. Ne l'admettons pas dans le Dictionnaire, dira-t-on, ne lui donnons point le droit de cité; émouvoir suffit. - À quoi je réponds: Non, émouvoir ne suffit pas; car il est des cas où j'emploierai émotionner et où j'en aurai besoin. Et, par exemple, si je veux définir la manière de tel historien moderne qui, à force de dramatiser l'histoire, l'a énervée; qui, en peignant les hommes de la Révolution, les a décrits dans un détail minutieux et impossible, comme Balzac fait pour ses héros de roman; si, parlant de cet historien, je dis: « N..., dans son histoire de la Révolution et dans les scènes qu'il y retrace, ne se contente pas d'exciter les sentiments de pitié ou d'indignation, il ébranle les nerfs; il ne se contente pas d'émouvoir, il veut émotionner; » - eh bien! émotionner, dans ce cas-là, je le demande, n'est-il pas français et selon l'acception la plus juste ? Il est vrai qu'en l'introduisant dans le Dictionnaire...

• Au surplus, qu'on examine sans prévention l'effet social que produirait nécessairement l’épicurisme phalanstérien : l'homme habitué à ne marcher que sur des tapis moelleux, […], peut-il être doué du moindre courage? Le gastrolâtre n'est-il pas naturellement enclin à l'égoïsme? L'homme adonné aux voluptés érotiques n'est-il pas étranger aux élans de la piété?

• L'usage de l'épexégèse dans le discours politique est souvent décrié, perçu comme une redondance superflue, mais n'est-il pas plutôt le signe d'un désir ardent de clarification ?

• Le dieu des esprits, le dieu de l'éternelle vérité, n'est-il pas un dieu jaloux? Son culte et le soin de sa gloire ne tiennent-ils pas le premier rang parmi toutes les œuvres que les créatures peuvent opérer?

• Le philosophe qui s'égare dans ses pensées est souvent vu comme un imbriaque aux yeux du monde, mais n'est-il pas le plus sobre d'esprit?

• Partir de l'individuel n'est-il pas le chemin le plus court pour toucher à l'universel?

• Le destin de l'être humain n'est-il pas leptodonte, finement ciselé entre les griffes du hasard et les murmures du temps?

• L'artiste, dans son essence, n'est-il pas le grand palliateur des maux de ce monde, transmuant la souffrance en beauté?

• L'homme, dans son arrogance, se voit comme un géant, mais face aux montagnes éternelles, n'est-il pas microdactyle?

• L'art du romancier n'est-il pas de dompter le langage paraphasique pour en faire jaillir une poésie brute et authentiquement humaine?

• L'amour propre est souvent discret, et pourtant, en y regardant de plus près, n'est-il pas cet ostentateur qui se drape dans la fausse modestie?

• Le destin de l'homme n'est-il pas comme celui de l'ouarine ? Toujours à la recherche d'un équilibre dans une existence suspendue entre ciel et terre.

• Au surplus, qu'on examine sans prévention l'effet social que produirait nécessairement l'épicurisme phalanstérien : l'homme habitué à ne marcher que sur des tapis moelleux, […], peut-il être doué du moindre courage? Le gastrolâtre n'est-il pas naturellement enclin à l'égoïsme? L'homme adonné aux voluptés érotiques n'est-il pas étranger aux élans de la piété?

• Dans le labyrinthe de nos désirs, le prométhéum n'est-il pas ce feu moderne que nous cherchons à maîtriser sans vraiment comprendre sa nature profonde ?

• La musique des mots, comme celle des notes, réside parfois dans l'agencement des accents. Un proparoxyton n'est-il pas à la phrase ce que le contretemps est au rythme?