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Il y a 25 citations sur le niveau de vie.
Les Français commencent à comprendre que c’est l’entreprise qui crée la richesse, qui détermine notre niveau de vie et notre place dans la hiérarchie mondiale. François Mitterrand — Challenge - 1er Mai 1984
D’après l’IPP, un organisme lié à l’École d’économie de Paris (PSE), la plus importante progression (en pourcentage) s’observe chez les 1 % les plus riches, avec un gain moyen de 2,8 %, puis chez les ménages situés entre le 6e et 7e centile et encore ceux entre le 11e et le 16e centile de niveau de vie (+2 % environ), soit une partie de la classe populaire. Le premier centile équivaut au 1 % de Français les plus pauvres, et le centième centile aux 1 % les plus riches. Ouest-France.fr — Le niveau de vie a progressé en 5 ans, sauf pour les 5 % les plus pauvres
Sous l’angle mathématique, il y a donc inadéquation entre la progression du numérateur et celle d’un dénominateur dont la croissance, sous l’effet d’une immigration suralimentée, vient amplifier le phénomène d’érosion du niveau de vie observée au Canada, peut-on déduire. Le Devoir — Chronique – Immigration et niveau de vie ne riment pas | Le Devoir
«Percevoir un minimum social ne protège pas de la pauvreté.» C’est le constat d’une nouvelle étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) qui montre que les trois quarts des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) vivaient en 2018 sous le seuil de pauvreté (fixé usuellement à 60 % du niveau de vie médian de l’ensemble de la population de France métropolitaine, 1 063 euros par mois en 2018). Le niveau de vie médian des personnes vivant dans un ménage bénéficiaire d’un minimum social l’année précédente était alors de 940 euros par mois en France (hors Mayotte). Libération — RSA : 3 bénéficiaires sur 4 sont pauvres monétairement – Libération
Parmi les évolutions les plus marquantes, la proportion de ménages qui estiment opportun d'épargner a rebondi (+5 points sur un mois), après deux mois de nette baisse. Un indicateur décevant pour le gouvernement qui mise beaucoup sur une reprise de la consommation via les gains de pouvoir d'achat et la désépargne des Français. Le pessimisme des ménages français quant aux perspectives d'évolution du niveau de vie s'accroît aussi de nouveau « nettement », ajoute l'Insee. Les Echos — L'économie française tarde à donner des signes de reprise tangible | Les Echos