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Citations sur le nom de Dieu

Il y a 22 citations sur le nom de Dieu.

• Tuer au nom de Dieu est une aberration, il faut croire avec liberté, sans offenser, sans imposer, ni tuer.

• Le nom de Dieu a trop servi.

• Tu n'invoqueras pas le nom de Dieu avant d'avoir épuisé tous les mots de cinq lettres.

• Et tous ces mets criaient des choses nonpareillesMais nom de Dieu !Ventre affamé n’a pas d’oreillesEt les convives mastiquaient à qui mieux mieux.

• Tonnerre de nom de Dieu ! gronda Tacherot, un garçon comme toi...Veux-tu que je te dise ? ... Tu n'es qu'un cavé... de la fleur de nave... Tu seras toujours roulé.

• — Ah ! tu es là, toi, fils de garce ! Tu es là, sacré nom de Dieu de fils de garce ! Tu es là, sacré nom de Dieu de bordel à cul de fils de garce !Pierson pencha la tête de côté d’un air connaisseur :— Pas mal ! dit-il de sa voix douce. Pas mal ! Encore un tout petit peu plus d’ampleur, peut-être…Alexandre regarda Maillat, et sa colère tomba. — (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote, 1949, réédition Le Livre de Poche, page 215)

• Et c’est tout naturellement que Freud en vient à hiéroglyphiser le rêve et le Nom de Dieu dans la tradition de Molitor qui écrivait : « Les Saintes Ecritures étant le grand mystère de la révélation de Dieu, qui est la plénitude de toutes choses, sont le hiéroglyphe des hiéroglyphes sans fin ».

• Au nom de Dieu ! sire, me dit-il, dès qu’il crut pouvoir prendre la parole, si le roi n’y met bon ordre, les issues de son appartement seront encombrées à tel point par la plèbe nobilisée, que l’approche en deviendra impossible aux personnes d’un certain rang.

• Ma belle mère elle a fait voir son cul, Sacré nom de dieu qu’il était large, son cul (bis). On pouvait jouer au pet’che d’ssus Sacré nom d’un chien, qu’il était large... son cul (bis).

• Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de Biên Hòa, pas tellement loin de Saigon. "Les volets rouges"... et la taulière, une blonde comaque... Comment qu'elle s'appelait, nom de Dieu ? – Lulu la Nantaise.

• C’est Rigault qui commande la manœuvre ; comme un sergent qui gourmande des recrues, comme un chien de berger qui harcèle un troupeau, il aligne les uns et aboie après les autres.— Quatre par quatre, en serre-file. À votre rang, nom de Dieu !…Des mots graves :— Ceux qui ont des pistolets, en tête !Des mots drôles :— Les taffeurs au centre ! — (Jules Vallès, L’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

• Et tous ces mets criaient des choses nonpareillesMais nom de Dieu !Ventre affamé n’a pas d’oreillesEt les convives mastiquaient à qui mieux mieux.

• Allons, avance ! Plus près, nom de Dieu ! et en face ; je n’ai pas besoin de renifler ton moutardier.

• Le visage d’Honoré s’empourpra de colère. Salaud de vétérinaire. Le nom de Dieu de fricoteur.

• Ce type-là mettait des années-lumière à faire n’importe quoi. Tous des fainéants, les empaffés. Mais qu’il se grouille, nom de Dieu !

• Mais au nom de Dieu que je continue

• Tu sais pas ce qu’il me rappelle ? C’t’espèce de drôlerie qu’on buvait dans une petite taule de Biên Hòa, pas tellement loin de Saïgon. « Les volets rouges »… et la taulière, une blonde comac… Comment qu’elle s’appelait, nom de Dieu ?

• Je m’en doutais que vous fricassiez ensemble !... j’aurais dû le foutre dehors depuis longtemps... nom de dieu de cateau !

• En arrivant chez les Messelon, Honoré entendit la rumeur infâme des calotins. Sans perdre la tête il arrêta la voiture au ras de la fenêtre, sauta du siège dans la cuisine, courut au placard prendre l’entonnoir qui servait à couler le boudin et, l’embouchant comme il eût fait un porte-voix, hurla par deux fois :« Nom de Dieu de nom de Dieu de bordel de merde ! »

• Le dhikr a des degrés qui sont le dhikr verbal et le dhikr du cœur. Le dhikr de la langue signifie louer et remercier Dieu, Tout-Puissant, dans la langue, prononcer le nom de Dieu pour chaque travail, réciter les supplications et les noms divins.

• Ainsi, le premier livre de la Torah que l’hébreu intitule “Dans un commencement” est à la fois le plus conny et le plus connu des récits bibliques, les traductions en étant souvent biaisées ou carrément évincées. La kabbale est surtout fascinée par le premier chapitre de la Genèse qui décrit les engendrements successifs des émanations divines où le nom de Dieu (YHWH) n’apparaît plus mais où une force impersonnelle apparaît par le “Il”.

• Bien que Blondel prenne ses distances par rapport à certains courants du catholicisme social, tel que le Sillon enfermé dans son immanentisme évident, il est néanmoins clair que, dans son « manifeste anti-maurrassien », il faille rejeter tout nationalisme d’exclusion ou « intégriste » (32). Il en va de même pour le pape François, selon lequel, « au nom de Dieu qui a créé tous les êtres humains égaux en droits, en devoirs et en dignité », nous sommes tous « appelés à coexister comme des frères entre [nous], pour peupler la terre et y répandre les valeurs du bien, de la charité et de la paix » (33).