Accueil > Citations > Citations sur le nom scientifique
Citations sur le nom scientifique
Il y a 84 citations sur le nom scientifique.
-
Pour les chercheurs du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization (CSIRO) en Australie, inventer de nouveaux noms les a inévitablement conduits à des références à la culture pop. Une espèce de mouche nouvellement identifiée a reçu un surnom qui est tout à fait approprié en fonction de sa palette de couleurs. Son nom scientifique est Humoralethalis sergius, mais vous pouvez simplement l’appeler la mouche Deadpool. Ils ne sont pas aussi terrifiants que les frelons meurtriers, mais ils sont certainement toujours bien adaptés pour 2020.
Marseille News .net — Voici la mouche assassin «Deadpool» - Marseille News .net -
De termites ! D’un insecte qui mesure environ un centimètre de long – pour être très précis le nom scientifique de cette espèce c’est Syntermes Dirus ! – et dont on vient de découvrir qu’il a construit, au nord-est du Brésil, un immense réseau de termitières de 230.000 kilomètres carrés ! C’est la superficie de la Grande-Bretagne ! 2.000 fois la surface de Paris. La plus grande structure jamais construite par une seule espèce d’insecte !
Europe 1 — Ce réseau de termitières qui fait 2.000 fois la taille de Paris ! -
Causée par un parasite, le trypanosome, qui donne son nom scientifique à la maladie, la trypanosomiase humaine africaine (THA) est mortelle si elle n'est pas diagnostiquée et traitée à temps.
L'Obs — L'Afrique veut en finir avec la maladie du sommeil -
Nous, on n'a pas vu la biche, pas vu le chevreuil, mais la promenade est ponctuée de hennissements s'échappant de centres équestres voisins. De paisibles vaches saluent notre passage comme si c'était leur seule attraction de la journée. Et dans le ciel plane, souveraine, une buse. La nature est enivrante. On quitte le bois de Saint-Lambert et la prairie nous accueille. Ici, dit-on, poussent de nombreuses plantes de milieux humides comme la Reine-des-prés. Son nom scientifique (Spirée ulmaire) est moins glamour mais il nous rappelle qu'il a inspiré celui de l'aspirine.
leparisien.fr — Les plus belles randos d’Ile-de-France : dans la vallée de Chevreuse, sur les pas de Jean Racine - Le Parisien -
C’est le nom scientifique de l’élevage du ver à soie qui est lui-même la chenille d’un papillon, le Bombyx mori.
RTBF — Tout est bon dans le ver à soie, parole de chats ! - rtbf.be -
Le fait de se curer le nez porte un nom, le saviez-vous ? Il s’agit de la rhinotillexomanie, un nom scientifique pour un geste si simple qui de plus, paraît dégoûtant. Mais pourquoi s’adonne-t-on à cette pratique ? En réalité, il s’agirait à première vue d’une réaction assez naturelle ayant deux motivations différentes. La première est que nous tirons une certaine satisfaction à « nettoyer » notre nez et la seconde est que ce dernier est toujours à notre disposition de même que nos doigts et ceci n’est pas forcément le cas d’un paquet de mouchoirs, sauf pour les plus prévoyants !
Sciencepost — Vilaine manie : Mais pourquoi se cure-t-on le nez ? -
Le lemongrass est une plante à forte odeur citronnée provenant de Madagascar, de l’Inde et du Sri Lanka. Son nom scientifique est Cymbopogon citratus. Renfermant de nombreuses propriétés thérapeutiques, cette plante occupe une place importante en médecine douce. En aromathérapie, par exemple, on profite des vertus offertes par l’huile essentielle extraite de ses parties aériennes.
Presse santé — Quels sont les usages de l’huile essentielle de lemongrass ? -
Le safoutier de son nom scientifique «Dacryodes edulis» est un arbre fruitier cultivé dans presque toutes les provinces de la RD Congo. La feuille et l’écorce de cet arbre tropical servent à la pharmacopée, d’après les experts. Le fruit est comestible.
Radio Okapi — Technique de culture et d’entretien d’une plantation des safoutiers | Radio Okapi -
De son nom scientifique pacifastacus leniusculus, la bête porte le nom usuel d’écrevisse signal, ou écrevisse de Californie. Introduite en France dans les années 1970, c’est une espèce invasive qui a porté un coup de grâce aux écrevisses autochtones dont elles ont pris la place. Plus grosses, plus agressives, plus fertiles, elles occupent la même niche écologique et pullulent.
Mirecourt Pêche. Les écrevisses de Californie, une espèce invasive -
Elle semble loin l'époque où, dans les années 90, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) avait recensé un pic de 300 000 malades atteints de trypanosomiase humaine africaine (THA). Causée par un parasite, le trypanosome, qui donne son nom scientifique à la pathologie, et transmise par les piqûres de la mouche tsé-tsé, la maladie du sommeil est mortelle si elle n'est pas diagnostiquée et traitée à temps. Au XXe siècle, elle a provoqué des hécatombes.
Franceinfo — En Afrique, la maladie du sommeil transmise par la mouche tsé-tsé est en passe d'être éradiquée -
Également appelé par le nom scientifique suivant : stratocumulus volutus. Selon l’Organisation Météorologique Mondiale, un volutus est
actu.fr — Quel était cet impressionnant nuage aperçu hier dans le ciel de Vendée ? | Le Journal des Sables -
Le 26 janvier 2017, 76 cas avaient été répertoriés dans 20 écoles primaires, situées dans 4 districts différents. La parotidite virale (le nom scientifique pour les oreillons) est une maladie très contagieuse qui concerne surtout les enfants âgés de 4 à 8 ans : concrètement, il s'agit d'une inflammation des glandes salivaires - situées à l'avant des oreilles, d'où le nom - provoquée par un paramyxovirus.
Topsante.com — Aux États-Unis, une épidémie d'oreillons menace l'État... - Top Santé -
Il s'agit tout simplement d'une couleuvre dont le nom scientifique est Lycodon Aulicus, aussi connue comme Indian Wolf Snake.
Le Defi Media Group — Vu à Terre-Rouge ! | Defimedia -
Cumulus mediocris est le nom scientifique d’un type de nuages. Même si des médiocres accumulés peuvent provoquer des nuages à l’horizon !
Connectionivoirienne — L'Inspection générale d'Etat (IGE) dément les rumeurs de détournements de 232 milliards de fcfa en deniers publics (Réseaux sociaux ) - Connectionivoirienne -
D’abord, pour le prochain cinq à sept, retenez le nom scientifique de la gueule de bois: «veisalgie», néologisme créé en l’an 2000 à partir du mot norvégien kveis («malaise qui suit la débauche») et de la racine grecque algia («douleur»). Ce qui explique tout et se glisse bien dans la conversation (1).
L’actualité — Quoi faire si vous avez une sale gueule... de bois | L’actualité -
Le bébé de l’orque épaulard se nomme le veau. C’est d’ailleurs le nom scientifique donné aux petits de nombreuses espèces de cétacés.
MOMES.net — Présentation de l'orque | MOMES.net -
En français, on le nomme cordyle cataphracte ou zonure. Les Anglais lui préfèrent le terme d’Armadillo girdled lizard, armadillo signifiant tatou en français. Son nom scientifique est ouroborus cataphractus. Ce lézard, qui semble avoir inspiré toutes les représentations de dragons de par le monde, est une espèce endémique de l’Ouest de l’Afrique du Sud. Une espèce menacée.
Franceinfo — Le cordyle, lézard au look de dragon, menacé en Afrique du Sud -
Elle recommence à pointer le bout de son nez… Au printemps dernier, la punaise diabolique, de son nom scientifique Halyomorpha Halys, avait envahi les habitations et les jardins. Cette espèce, si elle est inoffensive pour l’humain, provoque des dégâts considérables dans les vergers.
midilibre.fr — Les arboriculteurs gardois redoutent le retour de la punaise diabolique - midilibre.fr -
Car en fait il s'agissait d'un énorme crapaud et plus précisément d'une "crapaude", que l'humidité ambiante avait fait sortir de sa cachette. Car chacun doit savoir que chez cette nature d'amphibien la femelle est beaucoup plus grosse que le mâle. Une obésité naturelle qui n'a aucune corrélation avec son nom scientifique qui est en latin : « bufo-bufo » (prononcer boufo).
midilibre.fr — Brignon : le mari berné par un crapaud - midilibre.fr -
Avez-vous déjà entendu parler d’un composé chimique dont le nom scientifique est monoxyde de dihydrogène (ou DHMO, acronyme de l’anglais DiHydrogen MonOxyde). Comme moi il y a peu, vous ne connaissez peut-être pas ce nom. Et pourtant, cela fait plus de 35 ans que les premiers lanceurs d’alertes ont tenté de démontrer l’importance de la maîtrise de ce composé chimique intimement lié à la survie de l’espèce humaine.
La Libre.be — Pandémie et infodémie: la terreur de vivre au temps d’un Coronavirus - La Libre