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Il y a 32 citations sur le nom vernaculaire.
Connue sous le nom vernaculaire de 'hafle', la Coryphena hippurus séduit les chercheurs et les pêcheurs par ses couleurs iridescentes et ses performances athlétiques hors du commun dans les eaux tropicales. (Citation fictive)
Autrefois connu sous le nom vernaculaire de 'nouret', le Pleurotus ostreatus, ou pleurote en huître, demeure un champignon prisé tant pour ses qualités gastronomiques que médicinales. (Citation fictive)
Dans l'univers de la botanique, les salsolées se distinguent comme une tribu des Atriplicinées, principalement représentée par le genre Salsola, souvent désigné sous le nom vernaculaire de soude. (Citation fictive)
Autrefois connue sous le nom vernaculaire de 'bubbola', l'agaric élevé figure parmi les champignons les plus mystérieux étudiés par les botanistes du dix-neuvième siècle. (Citation fictive)
Connu sous le nom vernaculaire de 'pommerage', l'hellébore fétide se dresse souvent dans les paysages de l'Aunis, arborant une allure à la fois robuste et mystérieuse, révélée par ses fleurs verdâtres aux reflets pourpres. (Citation fictive)
Le Triclaria malachitacea, connu sous le nom vernaculaire de crick, captive par son plumage vert vibrant qui se fond harmonieusement dans l'écosystème luxuriant des forêts humides du sud-est côtier brésilien, tout en illustrant un dimorphisme sexuel marqué. (Citation fictive)
Dans les eaux turbides de l'Atlantique ouest, le cucuri, ancien nom vernaculaire du requin nez noir, règne en prédateur discret parmi les récifs coralliens et les mangroves. (Citation fictive)
La brouille-blanche, autrefois connue sous le nom vernaculaire de la renoncule aquatique, continue de capter l'attention par son élégance discrète dans les étendues d'eau douce. (Citation fictive)
Le titon, connu en entomologie sous le nom vernaculaire d'Amaryllis, est une espèce de papillon remarquable par ses ailes aux teintes éclatantes. (Citation fictive)
Quant au terme de Kiribati, il correspond à la façon vernaculaire d’écrire l’anglais Gilberts (pluriel de Gilbert), nom du capitaine britannique Thomas Gilbert qui, de concert avec le capitaine John Marshall, a sillonné ces îles lors d’un voyage entre Sydney et la Chine en 1788. Cette appellation des îles Gilbert —ou Gilberts, comme il était de tradition d’écrire dans les anciennes cartes où les îles de l’archipel prenaient systématiquement le pluriel en français— est apparue ainsi pour la première fois sur une carte dressée et écrite en français par une expédition russe dirigée par un amiral estonien. Ce même nom de Gilberts a ensuite été utilisé par les habitants, de préférence au nom vernaculaire de Tungaru, qui l’ont prononcé [kiribès], le [g] et le [l] n’existant pas en gilbertin.Le nom des habitants et de la langue du pays a toujours été Gilbertese (en anglais) et Gilbertin/gilbertin (en français), cette dernière forme étant apparue en 1888 avec l’arrivée des missionnaires catholiques du Sacré-Cœur (tous francophones). Ainsi, les formes traduites de l’anglais Gilbertais (nom) ou gilbertais (adjectif), (Gilbertien/gilbertien, Gilbertain/gilbertain) ou encore Kiribatien/kiribatien (comme dans le dictionnaire Le Robert ou l’arrêté français du 4 novembre 1993 semblent refléter plutôt une méconnaissance des rapporteurs en la matière. On peut utiliser à la rigueur le terme peu français de I-Kiribati. Les textes juridiques du pays utilisent en général l’expression "Kiribati language" pour désigner la langue des Gilbertins, mais on trouve parfois l’expression "Gilbertese language". […] Les 94 000 habitants des Kiribati (les Gilbertins ou plus rarement Kiribatiens) sont géographiquement éparpillés dans des îles parfois très éloignées, mais il existe une très grande unité démolinguistique. […] Au contraire, les observateurs attentifs de la société gilbertine, dont Sir Arthur Grimble (1888-1956), ont surtout constaté une grande homogénéité d’ordre linguistique, probablement unique dans le Pacifique surtout si l’on tient compte del’éparpillement extrême des archipels. […] D’une part ,la très grande majoritédes habitants , soit au moins97 ,2 %, parlentlekiribati(oug i lb e rt in )unelang uemicronésienne defamilleaust ron és ien nedugroupe malayo-polynésieno r i ental .[…]On estime aussi que30 %des G i lb e rt in sparlent aus s i langlais commelangueseconde .M oinsde400locuteursontlanglaisc ommelangue maternelle.Def açongénérale,l anglaisest perçudansl esîl esG ilb ertàlaf oi s c ommelanguesecondeetunalang ue étrangère.Lebil inguisme da nscepay sestencoreloindelaco upeaux lèv res .Lesgens instrui tstendentaoréservelanglai sdanssaforme écr iteetprivilégierlegilbe rtina lor al.Legilb ertinnest parléquep arle s G i lb e r t ins.—(Jacques Leclerc,L’Aménagementlinguistiquedanslem onde:K ir ib at i ,28décembre2015)
La Paruline à gorge jaune, autrefois désignée sous le nom vernaculaire de 'cou-jaune', illustre l'évolution du langage ornithologique depuis le XIXe siècle. (Citation fictive)
La science nous offre des noms latins, comme conyza glutinosa, mais c'est avec son nom vernaculaire 'psiadie' qu'elle chante dans les prairies de mon enfance. Étienne Lavoisier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Le Forpus, connu sous le nom vernaculaire de perruche-moineau, est un petit toui aux couleurs vives, symbole de la diversité aviaire. (Citation fictive)
« Le peïcoua, connu sous le nom vernaculaire de corb, est un poisson robuste prisé pour sa chair savoureuse. » (Citation fictive)
Le noddi s’est mérité son nom vernaculaire anglais (« noddy ») à cause de son manque flagrant de méfiance à l’égard de l’espèce humaine, se laissant approcher et même saisir physiquement sans difficulté, et se mettant parfois dans des situations de vulnérabilité qui semblaient incompréhensibles aux explorateurs européens qui découvrirent d’abord ces oiseaux. Ainsi, selon quelques témoignages de ces marins, les noddis venaient se poser fréquemment sur les vergues des navires qui s’approchaient de l’une ou l’autre des immenses colonies situées sur quelque îlot isolé de toute autre terre. Vraisemblablement, ce trait de comportement, que l’on a retrouvé chez de multiples espèces d’oiseaux insulaires et privés de tout contact avec nos semblables, comme dans l’avifaune de la Nouvelle-Zélande, des îles Galapagos, des îles et archipels de l’océan Indien, etc., reflétait simplement l’ignorance programmée de ces oiseaux quant à l’instinct de collectionneur ou de chasseur de notre espèce. Si ce manque de méfiance est propre aux noddis, c’est principalement dû au mode...
Son nom vernaculaire de banane de mer lui vient de sa forme vaguement « bananoïde ». Bernard Séret — Poissons de mer de l’Ouest africain tropical
L’appellation mouche à merde est un nom vernaculaire ambigu désignant en français de nombreuses espèces de mouches, notamment la scatophage du fumier (Scathophaga stercoraria), mais aussi les autres espèces du genre Scathophaga comme Scathophaga furcata, ou celles du genre Calliphoridae. Mouche à merde sur francoise1.unblog.fr — 21 avril 2012
L'omphalode printanière, souvent désignée sous son nom vernaculaire de petite bourrache, continue de captiver les botanistes pour sa résilience et sa délicate floraison bleue, rappelant ainsi son appartenance passée au genre des cynoglosses. (Citation fictive)
Le nom vernaculaire Gecko, ainsi que celui de cette famille, provient du malais «Gekoq», qui est une onomatopée correspondant au cri d'un gecko indonésien. midilibre.fr — A Castries, on rencontre parfois des geckos - midilibre.fr
Le Pissenlit, ou "dent-de-lion", est un nom vernaculaire ambigu en français. On appelle "pissenlit" diverses plantes à tige généralement creuse et dont l’inflorescence est un capitule plat et jaune. Cela détermine généralement l’emploi du nom "pissenlit" pour les désigner. ladepeche.fr — Villeneuve-sur-Lot. Le pissenlit : "une dent de lion" - ladepeche.fr