Accueil > Citations > Citations sur l'oh
Il y a 70 citations sur l'oh.
Alors, apercevant sur la route une de ces bosses ralentisseuses, il lui disait « Tu veux que papa fasse un badaboum ? » Oh oui ! qu'il voulait, le petit bonhomme, le papa accélérait à fond et les voilà tous deux en train de faire un grand bond dans la voiture […]. Eric Landroy — Papa
« Oh bien alors ! […] c’est comme si vous promettiez de devenir bientôt un des nôtres. Je suis d’ores et déjà certaine de votre conversion. » Henri Louatron — À la messe noire ou le Luciférisme existe
thomas. − (...) Alle n'avait qu'à inviter rien qu'la famille, c'était tout ce qu'il fallait. margot. − Oh ben oui, rien qu'la famille! S'il n'y avait eu qu'la famille, gn'y aurait pas eu d'noce. thomas. − Dis donc, femme, tu n't'aperçois pas que p'tit à p'tit nous f'sons comme tout le monde; nous mangeons le bien des gens, et nous nous moquons d'eux après. C'n'est pas trop ben, da. margot. − J'sais ben ça; mais c'est que ça amuse. Leclerq — Proverbes dramatiques,Le Savetier et le financier
Elle s’interrompit, pour montrer Gervaise, que la pente du trottoir faisait fortement boiter.— Regardez-la ! S’il est permis !… Oh ! la banban !Et ce mot : la Banban, courut dans la société. — (Émile Zola, L’Assommoir, ch. III, pp. 91-92)
J'entends des bails atroces sur moi. À c'qu'il paraît, j'te cours après ? Mais ça va pas, mais t'es taré, oh ouais Mais comment ça, le monde est tit-pe ? Aya Nakamura — Djadja
Lorsque le matin j’arrive dans la cour de l’usine, (...) je vous entends murmurer : « Oh ! Y’en a marre d’aller travailler ! D’aller bosser ! D’aller... Je ne sais quelles expressions triviales — d’aller turbiner ! » Qu’est-ce que ça veut dire, ça, hein ? On a l’impression que ça vous ennuie de venir travailler dans mon usine ! — (Fernand Raynaud, J’m’amuse, dans Heureux !, Éditions de Provence/La Table Ronde, Paris, 1975)
Ils avaient une maison à eux. […]. Oh ! une vraie cabane ! couverte de chaume, bâtie en pisé, fermée par des volets qui claquaient au vent. Émile Thirion — La Politique au village
Ils avaient une maison à eux. […]. Oh ! une vraie cabane ! couverte de chaume, bâtie en pisé, fermée par des volets qui claquaient au vent ; […]. Émile-Ambroise Thirion — La Politique au village
« — Et une cannette, qu’est-ce que c’est au juste ?— Vous ne savez pas ce que c’est qu’une cannette ? oh ! Puisque je vous ai dit hier que les cannetières étaient des machines à préparer le fil pour les navettes ; vous devez bien voir ce que c’est.— Pas trop. »Rosalie la regarda, se demandant évidemment si elle était stupide ; puis elle continua :« Enfin, c’est des broches enfoncées dans des godets, sur lesquelles s’enroule le fil ; quand elles sont pleines, on les retire du godet, on en charge les wagonets qui roulent sur un petit chemin de fer, et on les mène aux ateliers de tissage ; ça fait une promenade ; j’ai commencé par là ; maintenant je suis aux cannettes. » — (Hector Malot, En famille, 1893)
— Oh ! sire, dit l’amiral, la reine Catherine…— Est une brouillonne. Avec elle il n’y a pas de paix possible. Ces catholiques italiens sont enragés et n’entendent rien qu’à exterminer. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845 , volume I , chapitre III)
M. Eyssette hausse les épaules :— Si c’est Jacques qui y va, dit-il, la cruche est cassée, c’est sûr.— Tu entends, Jacques, — c’est madame Eyssette qui parle avec sa voix tranquille, — tu entends, ne la casse pas, fais bien attention. M. Eyssette reprend : — Oh ! tu as beau lui dire de ne pas la casser, il la cassera tout de même. Ici, la voix éplorée de Jacques : — Mais enfin, pourquoi voulez-vous que je la casse ? — Je ne veux pas que tu la casses, je te dis que tu la casseras, répond M. Eyssette.
– Plus tard, quand nous aurons de l’argent, nous ferons relever papa et mon frère, et creuser un caveau de famille. »Elle joignit les mains.« Un caveau, Lucien ! Oh ! une simple grille, une grille avec une plaque de cuivre. C’est propre, tu sais, et puis ça fait moins…– Moins quoi ? Non, crois-moi, c’est un caveau qu’il faudrait. Je ne dis pas un caveau avec des grandes choses de marbre dessus... mais tout de même un vrai caveau,...
Ils avaient une maison à eux. […] Oh ! une vraie cabane ! couverte de chaume, bâtie en pisé, fermée par des volets qui claquaient au vent. Émile-Ambroise Thirion — La Politique au village
Fouvreaux : Mademoiselle Fiotte, préparez la voiture : je pars pour Orange. - Mademoiselle Fiotte : Pour Orange ? Avec quelle voiture ? - Fouvreaux : La Citron. - Mademoiselle Fiotte : Oh ! Pourvu qu’il n’y ait pas de pépin ! Pierre Dac et Francis Blanche — Signé Furax : Le Boudin Sacré
Daudet, comme un peu grisé par l’électricité de l’orage, dit : « Oh ! c’est positif : dans les choses du con, j’ai été un scélérat. » Edmond et Jules de Goncourt — Journal
— Et il y a cette mort du pauvre vieux Boutin…— Oh ! s’écria-t-il sans la laisser achever, un épileptique qui a succombé dans une crise congestive !… — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893)
Ça veut dire quoi déjà quand on va chez un particulier? Oh là là, c'est autre chose ça. Ça va nous embrouiller. Mezut n'avait pas besoin de ça pour s'y perdre. François Bégaudeau — Entre les murs
SCAPIN. Hé bien, vous voyez combien de personnes tuées pour deux cents pistoles. Oh sus Je vous souhaite une bonne fortune ARGANTE, tout tremblant. Scapin. SCAPIN. Plaît-il ? ARGANTE. Je me résous à donner les deux cents pistoles. Molière — Les Fourberies de Scapin
ARAMINTE - Qu'est-ce que c'est donc que cet air étonné que tu as marqué, ce me semble, en voyant Dorante ? D'où vient cette attention à le regarder ?DUBOIS - Ce n'est rien, sinon que je ne saurais plus avoir l'honneur de servir Madame, et qu'il faut que je lui demande mon congé.ARAMINTE, surprise. - Quoi ! Seulement pour avoir vu Dorante ici ?DUBOIS - Savez-vous à qui vous avez affaire ?ARAMINTE - Au neveu de Monsieur Remy, mon procureur.DUBOIS - Eh ! par quel tour d'adresse est-il connu de Madame ? comment a-t-il fait pour arriver jusqu'ici ?ARAMINTE - C'est Monsieur Remy qui me l'a envoyé pour intendant.DUBOIS - Lui, votre intendant ! Et c'est Monsieur Remy qui vous l'envoie : hélas ! le bon homme, il ne sait pas qui il vous donne ; c'est un démon que ce garçon-là.ARAMINTE - Mais que signifient tes exclamations ? Explique-toi : est-ce que tu le connais ?DUBOIS - Si je le connais, Madame ! si je le connais ! Ah vraiment oui ; et il me connaît bien aussi. N'avez-vous pas vu comme il se détournait de peur que je ne le visse.ARAMINTE - Il est vrai ; et tu me surprends à mon tour. Serait-il capable de quelque mauvaise action, que tu saches ? Est-ce que ce n'est pas un honnête homme ?DUBOIS - Lui ! il n'y a point de plus brave homme dans toute la terre ; il a, peut-être, plus d'honneur à lui tout seul que cinquante honnêtes gens ensemble. Oh ! c'est une probité merveilleuse ; il n'a peut-être pas son pareil.ARAMINTE - Eh ! de quoi peut-il donc être question ? D'où vient que tu m'alarmes ? En vérité, j'en suis toute émue.DUBOIS - Son défaut, c'est là. (Il se touche le front.) C'est à la tête que le mal le tient.ARAMINTE - A la tête ?DUBOIS - Oui, il est timbré, mais timbré comme cent.ARAMINTE - Dorante ! il m'a paru de très bon sens. Quelle preuve as-tu de sa folie ?DUBOIS - Quelle preuve ? Il y a six mois qu'il est tombé fou ; il y a six mois qu'il extravague d'amour, qu'il en a la cervelle brûlée, qu'il en est comme un perdu je dois bien le savoir, car j'étais à lui, je le servais ; et c'est ce qui m'a obligé de le quitter, et c'est ce qui me force de m'en aller encore. Ôtez cela, c'est un homme incomparable.ARAMINTE, un peu boudant - Oh bien ! il fera ce qu'il voudra ; mais je ne le garderai pas : on a bien affaire d'un esprit renversé ; et peut-être encore, je gage, pour quelque, objet qui n'en vaut pas la peine ; car les hommes ont des fantaisies...DUBOIS - Ah ! vous m'excuserez ; pour ce qui est de l'objet, il n'y a rien à dire. Malepeste ! sa folie est de bon goût.ARAMINTE - N'importe, je veux le congédier. Est-ce que tu la connais, cette personne ?DUBOIS - J'ai l'honneur de la voir tous les jours ; c'est vous, Madame.ARAMINTE - Moi, dis-tu ? Marivaux — Les Fausses confidences
Boule de suif se remit à rire en chatouillant sa femme et répétant « Si tu savais Oh si tu savais » Mais elle lui prit les mains « Voyons, reste tranquille, mon chéri, si tu ris tant que ça, tu vas te faire du mal. » Et elle l’embrassa, doucement, sur les yeux. Guy de Maupassant — Boule de suif