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Citations sur le ORL

Il y a 59 citations sur le ORL.

• Des essais cliniques ont eu pour but de radiosensibiliser des tumeurs pour lesquelles des arguments indirects laissaient envisager l’existence de cellules hypoxiques (tumeurs cérébrales, tumeurs du col utérin ou tumeurs ORL).

• Bea a raison, il s'agit d'un travail d'orfèvre, d'artiste et pas de simple ORL qui devrait réasymétriser ou limer de l'os :( .

• L’enquête « 3 jours d’anesthésie en France », réalisée en 1996, a montré que l’ambulatoire représentait 27 % des anesthésies. En chirurgie ORL, 89 % des adénoïdectomies et des myringotomies étaient réalisées en ambulatoire. L’amygdalectomie ne représentait que 5 % des actes opératoires ORL réalisés ainsi.

• Santé - ORL : l'opération rouge-gorge est lancée !

• Le vertige positionnel paroxystique bénin (VPPB) est le plus fréquent de tous les vertiges. Quelle cause ? La fatigue ? Quelle durée ? Est-ce grave ou bénin ? Quel traitement ou quelle manoeuvre pour le soigner ? Le point avec le Dr Anne-Sophie Hue, ORL à Versailles.

• Encore une maladie nouvelle ? Pas vraiment, disons une maladie mal connue, peu diagnostiquée, et sous-évaluée. La polypose nasosinusienne est une maladie inflammatoire chronique du nez et des sinus, elle touche 4 % de la population. Cette maladie aboutit à la fabrication de polypes qui génèrent une obstruction nasale, avec perte d’odorat et perte de goût. Le professeur Ludovic Le Taillandier de Gabory est ORL au CHU de Bordeaux, il prend en charge des patients qui souffrent de cette pathologie, d’origine inconnue à ce jour.

• Le protocole de chimiothérapie TPF est une association de trois médicaments. Cette polychimiothérapie est utilisée en association dans la lutte contre certains cancers ORL comme le cancer du larynx et de l’hypopharynx. Ce protocole est prescrit en deuxième ligne de thérapie, lorsqu’un premier traitement a échoué. Le TPF est utilisé en association avec des séances de radiothérapie et s’est montré le plus efficace comme chimiothérapie d’induction avant les séances de radiothérapie pour préserver le larynx. Le protocole de chimiothérapie TPF et également efficace dans le contrôle des métastases.

• Mal de gorge intense, impossibilité d’ouvrir la bouche et de déglutir… Le phlegmon amygdalien correspond à une infection bactérienne des tissus profonds dans la région des amygdales. Le plus souvent, il s’agit d’une complication d’une angine virale. Cette urgence médicale touche le sujet jeune et l’enfant. Elle est traitée par antibiotiques et par drainage de l’abcès suppurant. Explications avec le docteur Amine Harichane, ORL et chirurgien cervico-facial.

• À la différence de l’otite moyenne aigüe qui occasionne de fortes douleurs, l’otite séreuse passe souvent inaperçue chez le jeune enfant. Quels sont les signes pour la reconnaître ? Comment la soigner ? Le point avec le Pr. Nicolas Leboulanger, ORL et chirurgien cervico-facial pédiatrique, membre de la SFORL.

• Le montant des dépassements d’honoraires des médecins a doublé en moins de quinze ans. Cette pratique est courante chez certains spécialistes comme les gynécologues, les ORL et les chirurgiens. Les dépassements peuvent représenter entre 20 et 60 % de la facture totale.

• Sonup ajoute une offre à son escarcelle : Odizi. Cette nouvelle solution permet aux ORL de proposer une audiométrie vocale dans le bruit, de façon simple,...

• Sonup ajoute une offre à son escarcelle : Odizi. Cette nouvelle solution permet aux ORL de proposer une audiométrie vocale dans le bruit, de façon simple, rapide, et auto-administrée.

• Puisqu'il est un des cinq sens les plus importants à préserver, Entendre accorde une attention particulière à votre audition. Pour être équipé d'une aide auditive, deux options s'offrent à vous. Premièrement, votre ORL vous a détecté une perte d'audition et vous délivre une ordonnance pour un appareillage auditif. Deuxièmement, vous pouvez prendre rendez-vous directement dans votre centre Entendre pour un test auditif gratuit. Si l'audioprothésiste constate une perte auditive, il vous préconisera un rdv chez un ORL, médecin référent, seul habilité à délivrer une ordonnance pour un premier appareillage.

• Par ailleurs, le Pr Salomon a évoqué "une recrudescence des cas d’anosmie" signalée par le Conseil national des ORL : il s’agit d’une "disparition brutale de l’odorat sans obstruction nasale et qui peut survenir de façon isolée", a-t-il précisé. Dans ce cas, "il faut appeler son médecin traitant et éviter toute automédication sans avis spécialisé".

• Une adénolymphite mésentérique, aussi appelée adénite mésentérique, est une maladie inflammatoire d’origine virale, ou plus rarement bactérienne (Yersinia). Elle correspond à l’inflammation des tissus lymphatiques qui entourent l’appareil digestif. Cette pathologie survient volontiers suite à une infection ORL ou respiratoire, par exemple une otite ou une rhinopharyngite.

• Avec son équipe composée d’une cinquantaine de personnes dont 20 médecins ORL et 13 médecins stomatologues, ce sont près de 1500 opérations qui sont réalisées chaque année ainsi que des centaines de consultations pour le traitement des affections des “nez-gorge-oreille”, du cou et de la bouche. 20 000 patients s’y rendent chaque année.

• Neuf chambres réservées à l’enregistrement du sommeil des patients, un compartiment dédié, deux infirmières. Et un médecin, ORL de formation, spécialisé en somnologie.

• Le mal de gorge est un motif de consultation fréquent qui peut révéler de nombreuses pathologies. Quelles sont les principales maladies de la gorge ? Leurs symptômes ? Comment les traiter ? Le point avec le Dr Bruno Cohen, médecin ORL et chirurgien cervico-faciale à Paris.

• Entretien. Le Dr Humbert Gojon, médecin ORL et président du Syndicat des médecins libéraux Réunion, tient à faire entendre la voix de son organisation, alors que le projet de loi du pass vaccinal est examiné par les parlementaires.

• «Si on commence à abîmer son système auditif à 18 ans, on prépare des générations de sourds», s'alarme le Dr Alain Londero, ORL à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris, rappelant que le vieillissement s'accompagne aussi d'une baisse de l'acuité auditive.

• Pourtant, son mal-être n’est pas une fatalité. S’il est vrai qu’il n’existe pas de traitement médicamenteux, d’autres solutions sont efficaces. « On peut arriver à supprimer complètement la sensation acouphénique, notamment grâce à la théorie de l’habituation », assure le Dr Dorothée Douchement, ORL spécialiste des acouphènes exerçant au cabinet Nord ORL à la clinique de la Louvière, à Lille. Mais « habituation » ne signifie pas « débrouillez-vous ».

• Le diagnostic se fait à la maternité ou lors des premières semaines. Et se règle par une incision, aux ciseaux, du frein. Un généraliste, un pédiatre ou un ORL réalise cette frénotomie, une opération rapide, sans anesthésie, le frein étant peu innervé et vascularisé.

• « Quand on chauffe l’hiver et que le taux d’humidité est également plus bas, ⦍le saignement de nez⦎ a tendance à se produire », explique le Dr Simon Darveau, ORL à l’hôpital Sainte-Croix de Drummondville.

• Pour se protéger des bruits au-delà de 80 dB, nous utilisons un réflexe dit stapédien : le muscle dans l'oreille moyenne se contracte et limite l'intensité sonore transmise à l'oreille interne. Or ce mécanisme ne fonctionne pas aux fréquences élevées, d'où cette gêne supplémentaire face aux sons aigus. Plus encore, dans le cerveau, "le cortex auditif chargé d'analyser les sons est relié à l'amygdale, une zone impliquée dans la douleur et les émotions négatives, notamment la peur en cas de danger", explique Sophie Boucher, médecin ORL au CHU d'Angers.

• « Les sons puissants sont capables d’entraîner des lésions de l’oreille interne au niveau des cellules ciliées, précise le professeur Nguyen, ORL à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Plus la stimulation sonore est intense et prolongée, plus le risque de lésions est important. Ces traumatismes sonores provoquent une perte d’audition transitoire le plus souvent et des acouphènes. Il arrive parfois que ces troubles persistent malgré une prise en charge adaptée. »

• L’air ambiant est le principal vecteur de pénétration des germes mais la cavité buccale mais la sphère ORL peuvent aussi l’être. En pénétrant les alvéoles pulmonaires, une inflammation se forme. Les alvéoles vont s’emplir de pus et de liquide.

• En décembre dernier, l’installation du Dr Vasile Manoila, oto-rhino-laryngologiste (ORL), prévue à Pithiviers, avait fait débat au conseil municipal. Finalement, le spécialiste a fait le choix de ne pas poser ses valises en mars, comme prévu, à Pithiviers.

• Cette exploration du marché Bronchoscopie ORL mondial par Market.biz analyse les perspectives et tendances de croissance historiques et actuelles pour la période 2022 à 2030 afin de mieux comprendre les principaux moteurs du marché. a été utilisé une technique d’exploration unique pour faire une étude approfondie des développements du marché mondial Bronchoscopie ORL et tirer des conclusions concernant l’éventualité du développement futur de l’industrie. Cette approche de rapport de marché Bronchoscopie ORL combine l’exploration primaire et secondaire pour aider les juges à déterminer la qualité et la responsabilité des données.

• Avoir la gorge enflammée est un symptôme fréquent et le plus souvent bénin. Souvent lié à une infection virale, il est parfois le signe d'une pathologie plus grave ou de troubles digestifs. Quelles causes ? Quand faut-il s'inquiéter ? Toutes les réponses avec le Dr Gaëtan Trotin, médecin oto-rhino-laryngologiste (ORL).

• Un chirurgien ORL allemand veut mettre au point un implant cochléaire capable de stimuler par optogénétique le nerf auditif, afin d’offrir une meilleure résolution de fréquence que les dispositifs faisant appel à des électrodes.

• Entre autres maladies ORL qui seront opérées lors de cette édition, les fentes labio-palatisés (becs de lièvres), les malformations congénitales du nez et des oreilles et les perforations tympaniques. Le directeur des soins a indiqué que les tumeurs vasculaires vont aussi être opérées.

• Lors d'une radiographie, des médecins ORL ont d'abord découvert qu'elle avait un corps étranger dans le nez, autour duquel s'était développée progressivement une concrétion calcaire, appelée rhinolithe, source de ses maux.

• Rapidement, les ORL ont expliqué au couple qu'une opération de reconstruction et une tympanoplastie ne pouvaient se faire en France avant ses 10 ans. « Heureusement, grâce au petit Lucas, nous avons été informés qu'il existait une possibilité d'intervention chirurgicale dès maintenant aux Etats-Unis », raconte Marion Bressowan.

• André Gourbillon, 57 ans, se présente comme un gars "équilibré". Ancien de la marine marchande puis technicien dans le nucléaire. A l’approche de la pré-retraite en 2007, il se soucie d’une cloison nasale déviée, et de ce petit problème de narine toujours bouchée qui le gêne. Un chirurgien ORL de Montélimar a la solution : la turbinectomie.

• Sensation de compression au niveau des yeux, éternuements, nez bouché ou écoulements importants… Vos sinus semblent congestionnés, il s’agit probablement d’une sinusite ! Pour faciliter la guérison de cette infection ORL bénigne et courante, découvrez quelle alimentation adopter et quels sont les aliments à éviter !

• À l'origine du mal des transports, on trouve une perturbation du système de l'équilibre, géré par notre cerveau. «Ce dernier reçoit durant le trajet des informations contradictoires de la part de trois acteurs : la vision, le vestibule (l'organe de l'oreille interne) et la proprioception (la perception de nos mouvements et de la position du corps, NDLR)», précise Didier Bouccara, médecin ORL à l'hôpital européen Georges-Pompidou à Paris.

• Dans un rapport paru au mois d’avril, l’ANSM évoque des “infections sévères de la peau et des tissus mous (dermohypodermites, fasciites nécrosantes…), de sepsis, d’infections pleuro-pulmonaires (pneumonies compliquées d’abcès, de pleurésie), d’infections neurologiques (empyèmes, abcès cérébraux…) ou ORL compliquées (cellulites, médiastinites...), à l’origine d’hospitalisations, de séquelles voire de décès.”

• 337 cas de complications infectieuses avec l’ibuprofène et 49 cas avec le kétoprofène ont été retenus après avoir pris en compte uniquement les cas les plus graves sans facteur de risque ni comorbidité. Il s’agit d’infections sévères de la peau et des tissus mous (dermohypodermites, fasciites nécrosantes,…), de sepsis, d’infections pleuropulmonaires (pneumonies compliquées d’abcès, de pleurésie), d’infections neurologiques (empyèmes, abcès cérébraux…) ou ORL compliquées (cellulites, médiastinites...), à l’origine d’hospitalisations, de séquelles voire de décès.

• Dans le détail, cela correspond à des infections sévères de la peau et des tissus mous (dermohypodermite, fasciite nécrosante), des septicémies, des infections pleuro-pulmonaires (pneumonie compliquée d’abcès, pleurésie), neurologiques (empyème, abcès cérébral) ou ORL (cellulite cervico-faciale, médiastinite), à l’origine d’hospitalisations, de séquelles, voire de décès.

• Les hypothèses : Votre dernier repas comptait de la rhubarbe, de la betterave, de la myrtille, du chou rouge ou des asperges. Leurs pigments colorants (bétanine, pariétine...) résistent aux sucs gastriques et teintent les urines. Idem lors de la prise de certains antibiotiques, antiseptiques ORL et anti-hypertenseurs.