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Citations sur le patronat
Il y a 16 citations sur le patronat.
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Sous les Mérovingiens et les Carolingiens, l’habitude du patronat n’a fait que se développer, non seulement sous l’influence de coutumes germaniques, mais surtout sous l’effet de l’anarchie régnante.
Henri Sée — Les classes rurales et le régime domanial en France au Moyen Âge -
L’éloge vibrant du libéralisme traditionnel, c’est l’attitude de tous les patronats de la terre.
Georges Pompidou — intervention au Conseil des ministres du 21 janvier 1965 citée par Alain Peyrefitte -
Le Conseil national du patronat français tient aujourd'hui son assemblée générale semestrielle
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Sur fond de restrictions budgétaires, les syndicats sont aussi remontés contre "les ponctions régulières de l’Etat" sur les fonds gérés paritairement avec le patronat (formation professionnelle etc) et sur le budget de Pôle emploi.
AFP — La CGT boycotte les voeux du président de la République -
On peut soutenir qu’une orientation négociatrice du patronat détermine un syndicalisme plus participant ou inversement qu’un syndicalisme d’orientation plus participante conduit à des rapports de négociation dans l’entreprise.
Claude Durand — « Conditions objectives et orientations de l’action syndicale » -
Depuis le mois de juin, le gouvernement et le patronat n'ont cessé d'affirmer que la « fuite en avant » par une expansion accélérée était le seul moyen de compenser les pertes et les charges accrues qui ont résulté de la grève générale de mai-juin
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Quant au pouvoir d'achat des salaires, il a augmenté de plus de 10 % en un an. Assemblée générale du patronat français, Combat,19-20 janv. 1952, p. 5, col. 1.
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Il était donc bon de rappeler que le rôle de la vraie gôche a toujours été de veiller à ce que cette soumission se passe bien, de s’assurer que les cerveaux et bras disponibles ne se prennent pas de l’envie saugrenue de vouloir échapper à cette sujétion ; qu’ils ne renouent pas avec la volonté de leurs ancêtres d’abolir le salariat et le patronat (Charte d’Amiens, 1906) ce rêve fou dont on a su les guérir à l’exception de quelques anormaux tenaces dont s’occupent nos polices.
Mediapart — « Veulent pas bosser ! » (par Arsouille Rupin) | Le Club -
Ces chiffres doivent cependant être pris avec précaution. Pas seulement parce que la courbe du chômage risque de se réinverser aussitôt (les signes d’une récession mondiale pointent déjà leur nez, la croissance est réduite depuis début 2022 et le chômage a déjà un peu remonté au 2e trimestre). Mais aussi parce que les emplois créés sont en fait quasiment tous en alternance. Le patronat profite à plein des aides supplémentaires accordées par Macron qui rendent ces emplois quasi gratuits. À l’inverse, la part des 15-64 ans en CDI s’est réduite.
L’Anticapitaliste — Pour baisser le chômage, une solution : embaucher ! | L’Anticapitaliste -
Le président du patronat avait déjà fait savoir début juillet ce qu’il exigeait pour sa coopération avec le gouvernement et les syndicats en menaçant publiquement de supprimer les lutte sociales. Les «grèves d’avertissement» de courte durée des dockers lui avaient «fortement déplu», a-t-il déclaré aux journalistes à Berlin. Il a appelé à un «état d’urgence national» qui pourrait briser les grèves – en d’autres termes, à la mise en œuvre d’une sorte de loi martiale contre les grévistes.
World Socialist Web Site — Les syndicats et les employeurs allemands conspirent contre la classe ouvrière dans un nouveau cycle d’«action concertée». - World Socialist Web Site -
Au terme d’une longue séquence de négociation, la CFDT, majoritaire dans la branche, obtient une revalorisation des rémunérations conventionnelles minimales, le renforcement des dispositifs de protection sociale et des engagements du patronat pour l’amélioration des conditions de travail.
L'actualité sociale décryptée par la CFDT - Syndicalisme Hebdo | CFDT — NAO 2022 : la CFDT obtient des avancées pour les routiers - Syndicalisme Hebdo | CFDT -
Le Conseil national des chômeurs et chômeuses et le Conseil du patronat du Québec joignent leurs voix pour demander une réforme du programme d’assurance-emploi. Voilà un accord qui semblera, aux yeux de plusieurs, inusité, voire contre nature. Nous pouvons convenir qu’une telle rencontre est assez rare, tout comme nous pouvons assumer que la démocratie demeure un défi de tous les jours, un exercice sensible qui, justement, prend forme avec cette composition de nos différences et la recherche de canaux d’entendement.
Le Devoir — [Opinion] Voix unies pour une réforme de l’assurance-emploi | Le Devoir -
Le patronat demande malgré tout aux candidats aux présidentielles de « remettre le couvert ». Le Président de la puissante fédération patronale de la métallurgie ne réclame pas moins qu’un nouvel allègement des cotisations sociales de 17 milliards d’euros assorti d’une baisse de 35 milliards des impôts payés par les entreprises.
Les blogs d'Alternatives Économiques — Réformer les prélèvements fiscaux et sociaux dans l’entreprise. | Ensemble | Jean-Christophe Le Duigou | Les blogs d'Alternatives Économiques -
Le salaire minimum a 71 ans. Car avant le Smic, la France a eu le Smig : le salaire minimum interprofessionnel garanti, instauré par la loi du 11 février 1950. Son premier objectif était de restaurer la liberté de négociation des salaires et notamment des négociations collectives. Car rappelons-le, depuis 1939, les salaires étaient bloqués par l’État. Patronat et syndicats souhaitaient en 1950 le rétablissement de la discussion et de la fixation des salaires. Ce que...
SudOuest.fr — Du Smig au Smic, sept décennies de fluctuations -
Pas d’argent magique ? Comment peut-on entendre cela quand les aides aux entreprises, au patronat durant le COVID ont coûté pas moins de 70 milliards d’euros d’après Les Échos. En réalité ce sont 206 milliards d’euros qui ont été transférés des finances publiques aux poches de la bourgeoisie d’après le site gouvernemental « Vie Publique ». Pas d’argent magique quand les profits du CAC40 qui n’ont jamais été aussi importants atteignent 160 Milliards d’euros en 2021 ? Et ce ne sont que les profits du CAC40 !
Révolution Permanente — « Avec 575 euros, on ne vit pas » : Macron recadré par des passants à Dijon -
EXCLUSIF – Le moment était certainement mal choisi pour qu’une dissension surgisse au sein du patronat de l’édition. Pourtant, et au dernier moment, le Syndicat national de l’édition a refusé de signer un engagement impliquant auteurs et ministère de la Culture. Depuis mai 2021, Roselyne Bachelot avait confié à Pierre Sirinelli la mission de conduire les négociations interprofessionnelles. Et à partir de juillet 2021, une feuille de route chaotiquement tenue fut suivie. Elle vient de déraper dans un très mauvais virage.
ActuaLitté.com — Les éditeurs “plantent” Roselyne Bachelot : un camouflet qui passe très mal