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Citations sur le perdre

Il y a 75 citations sur le perdre.

• Il y a des gens si ennuyeux qu'ils vous font perdre une journée en cinq minutes.

• Il est moins grave de perdre que de se perdre.

• Posséder, c'est se perdre.

• Si j'ai perdu mes jours dans la volupté, ah ! rendez-les moi, grands dieux, pour les reperdre encore.

• Qui veut en effet sauver sa vie la perdra, mais celui qui perd sa vie à cause de moi la trouvera.

• Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il reste seul ; s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. Qui aime sa vie la perd ; et qui hait sa vie en ce monde la conservera en vie éternelle.

• Comme rien n'est plus précieux que le temps, il n'y a pas de plus grande générosité qu'à le perdre sans compter.

• Ce n'est pas que je sache bien employer mon temps, mais c'est que je sais bien le perdre ; et, soit dit sans me vanter, c'est peut-être la première de toutes les sciences.

• Comble de l’inattention : se perdre dans la foule et aller chez le commissaire de police donner son signalement.

• Vieillir, c’est savoir perdre.

• Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.

• Quand on n'a rien à perdre, on peut bien tout risquer.

• Les révolutions font perdre beaucoup de temps.

• Perdre la mémoire, c'est perdre le contact avec le monde.

• Pour gagner, il faut accepter de perdre.

• Pour gagner, il faut risquer de perdre.

• Le coût fait perdre le goût.

• Prêter argent fait perdre la mémoire.

• Mieux vaut perdre sa montre que de perdre son temps.

• Ceux qui ont beaucoup à espérer et rien à perdre seront toujours dangereux.

• Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j'attends.

• J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté ; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie.

• Pouvais-je souffrir qu'une femme fût perdue pour moi sans l'être par moi ?

• Un tas d'hommes perdus de dettes et de crimes.

• On perd la plus grande partie de sa jeunesse à coups de maladresses.

• Ce qui reste finit par nous rendre ce qu'on a perdu.

• Il faut perdre son âme. Mais comment ?

• Des adjectifs marquant la possibilité et construits avec les suffixes -able, -ible et -uble, il n’a été tiré que très peu de verbes, cette dérivation étant sans doute éloignée du génie de notre langue. On se gardera donc d’employer les verbes crédibiliser et décrédibiliser apparus il y a quelque temps déjà et l’on se souviendra que le verbe créditer et ses dérivés, ainsi que les périphrases où figurent ces verbes, sont plus appropriés pour exprimer l’idée que telle action, telle attitude fait perdre ou augmente le crédit dont jouissait quelqu’un ou quelque chose.

• Vous le perdez par vos flatteries.

• L’envieux fut heureux pour la première fois de sa vie. Il avait entre les mains de quoi perdre un homme vertueux et aimable.

• Après le souper elle joua au quinze, elle perdit de mauvaise grâce , paya de plus mauvaise grâce encore , & se coucha de fort méchante humeur.

• \Mais aussi parce que nous nous trouvons à la veille d’une tragédie. L’angoisse monte, celle de perdre nos proches, ou simplement celle de mourir.

• 1° Le sieur Normand (Désiré-Joseph), demeurant à Saint-Michel-d'Halescourt (Seine-et-Inférieure), né le 15 août 1850 à Blaton (Belgique), d'un père ayant perdu la qualité de Français à la suite du traité de 1814.

• Je fus stupide et naïf, je méritai ce qui m’arriva. Je me fis détrousser. Peu m’importait l’argent que je perdis. On me trahit.

• Travaillant dix heures par jour, mais grand perdeur de temps, s'oubliant en lectures et tout prêt à faire un tas d'écoles buissonnières autour de son œuvre

• Fabrice s'approcha du cheval et passa la bride dans son bras gauche, sans perdre de vue le soldat qui s'éloignait lentement

• Il jugea donc à propos d'attendre le jour et de rester à l'ancre : mais la marée perdant beaucoup plus qu'on ne l'avait présumé, les chaloupes restèrent à sec à trois heures du matin

• Si réduite que soit dans ceci la part de la danse, elle n'en exerce pas moins une action sur l'état auquel son association à la voix, et surtout à la sainteté des syllabes émises dans le souffle, doit conduire le récitant animé du désir de se perdre en Dieu

• Pour l'empêcher de se perdre dans les détails, pour rendre un peu de vie à une interprétation « traditionnelle » à l'excès, il ne faudrait qu'un grand chef d'orchestre

• Ajoutez que dès les premiers pas, on risque de perdre pied dans la littérature myrmécophile. Elle est aussi abondante que la littérature apicole […].