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Citations sur la pierre
Il y a 70 citations sur la pierre.
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Cependant que la cloche éveille sa voix claireA l’air pur et limpide et profond du matinEt passe sur l’enfant qui jette pour lui plaireUn angelus parmi la lavande et le thym,Le sonneur effleuré par l’oiseau qu’il éclaire,Chevauchant tristement en geignant du latinSur la pierre qui tend la corde séculaire,N’entend descendre à lui qu’un tintement lointain.Je suis cet homme. Hélas ! de la nuit désireuse,J’ai beau tirer le câble à sonner l’Idéal,De froids péchés s’ébat un plumage féal,Et la voix ne me vient que par bribes et creuse !Mais, un jour, fatigué d’avoir enfin tiré,Ô Satan, j’ôterai la pierre et me pendrai.
Stéphane Mallarmé — Le Sonneur -
Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe à la main, attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant. Sans un bruit, d'un jaillissement doux de bête nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur les verrous, avec ses quatre étages contenant chacun deux berlines pleines de charbon. Des moulineurs, aux différents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres, vides ou chargées à l'avance des bois de taille. Et c'était dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers, cinq par cinq, jusqu'à quarante d'un coup, lorsqu'ils tenaient toutes les cases. Un ordre partait du porte-voix, un beuglement sourd et indistinct, pendant qu'on tirait quatre fois la corde du signal d'en bas, "sonnant à la viande", pour prévenir de ce chargement de chair humaine. Puis, après un léger sursaut, la cage plongeait silencieuse, tombait comme une pierre, ne laissait derrière elle que la fuite vibrante du câble.
Émile Zola — Germinal -
Charles descendit dans la salle, au rez-de-chaussée. Deux couverts, avec des timbales d’argent, y étaient mis sur une petite table, au pied d’un grand lit à baldaquin revêtu d’une indienne à personnages représentant des Turcs. On sentait une odeur d’iris et de draps humides, qui s’échappait de la haute armoire en bois de chêne, faisant face à la fenêtre. Par terre, dans les angles, étaient rangés, debout, des sacs de blé. C’était le trop-plein du grenier proche, où l’on montait par trois marches de pierre. Il y avait, pour décorer l’appartement, accrochée à un clou, au milieu du mur dont la peinture verte s’écaillait sous le salpêtre, une tête de Minerve au crayon noir, encadrée de dorure, et qui portait au bas, écrit en lettres gothiques : « À mon cher papa. »
Gustave Flaubert — Mme Bovary -
Continuant notre route nous passions devant un vieux château en pierre. Il dressait sa masse carrée sur une sorte de plateforme à flanc de montagne, avec des vignobles en terrasses, chaque cep attaché à un tuteur, les vignes sèches et brunes, et la terre prête pour la neige, et le lac tout en bas, plat et gris comme de l'acier.
Ernest Hemingway — L'adieu aux armes -
Je n'en sait rien" reconnaît Jean-Pierre Spadone. "Soit c'est un feu de paille et ça retombera très vite et on aura la satisfaction d'avoir créer quelque chose et d'avoir porter notre pierre à l'édifice de la lutte contre le virus, mais il n'est pas impossible que cette colonne ne devienne un espèce de meuble à l'entrée des magasins, un peu comme le porte-parapluie, et que les gens prendront l'habitude de se laver les mains".
France Bleu — Relance éco : à Delle l'entreprise Axone Spadone à la pointe de l'innovation sur les distributeurs de gel -
[…] L’œuvre littéraire de Zola est immense. Vous venez d’entendre le président de la Société des gens de lettres en définir le caractère avec une admirable précision. Vous avez entendu le ministre de l’Instruction publique en développer éloquemment le sens intellectuel et moral. Permettez qu’à mon tour je la considère un moment devant vous.Messieurs, lorsqu’on la voyait s’élever pierre par pierre, cette œuvre, on en mesurait la grandeur avec surprise. On admirait, on s’étonnait, on louait, on blâmait. Louanges et blâmes étaient poussés avec une égale véhémence. On fit parfois au puissant écrivain (je le sais par moi-même) des reproches sincères, et pourtant injustes. Les invectives et les apologies s’entremêlaient. Et l’œuvre allait grandissant.Aujourd’hui qu’on en découvre dans son entier la forme colossale, on reconnaît aussi l’esprit dont elle est pleine. C’est un esprit de bonté. Zola était bon. Il avait la grandeur et la simplicité des grandes âmes. Il était profondément moral. Il a peint le vice d’une main rude et vertueuse. Son pessimisme apparent, une sombre humeur répandue sur plus d’une de ses pages cachent mal un optimisme réel, une foi obstinée au progrès de l’intelligence et de la justice. […]
Anatole France — Éloge funèbre d’Émile Zola -
Et je m'aperçus, en me retournant, que toutes les tombes étaient ouvertes, que tous les cadavres en étaient sortis, que tous avaient effacé les mensonges inscrits par les parents sur la pierre funéraire, pour y rétablir la vérité.
Guy de Maupassant — La Main gauche -
Où étais-je ? Où étais-je ? Je voulais savoir à tout prix, je voulais parler, je voulais arracher la sphère de cuivre qui emprisonnait ma tête. Mais je capitaine Nemo vint à moi et m'arrêta d'un geste. Puis, ramassant un morceau de pierre crayeuse, il s'avance vers un roc de basalte noir et traça ce seul mot : Atlantide.
Jules Verne — Vingt mille lieues sous les mers -
L’avenir seul dira si M. Pierre Descaves possède une main de fer dans un gant de velours ou une main de velours dans un gant de fer.
Françoise Giroud — Nouveaux portraits -
Que faire? Prier Françoise de la conduire à Saint-Florentin, sous prétexte de faire des courses? Aller à la poste? Elle se sentait perdue. Pierre de Feux entra. les yeux gris rencontrèrent les siens.
Thérèse de Saint Phalle — Le Tournesol -
M. Godeau était là dressé contre le pilier de granit, plus rongé que la pierre et dur comme elle.
Jouhandeau — M. Godeau -
Est-elle godaine ! s’écria-t-il avec une grossière emphase. En entendant ces mots, Francine recouvra la parole. Pierre ? Hé ! bien. Il va donc tuer mademoiselle.
Honoré de Balzac — Les Chouans -
Il était tout petit enfant encore quand sa grand-mère lui disait, tout en filant sa quenouille, car il était difficile de le faire tenir en place, et l'on était sûr de le trouver précisément dans l'endroit où il n'aurait pas dû être : « Petit-Pierre, mon garçon, souviens-t'en, pierre qui roule n'amasse pas mousse ! »
Félix-Henri — « Pierre qui roule » -
Criez toujours, citoyens affamés. Les murailles des palaces vous renvoient vos cris, car vos cris sont comme des pierres qui roulent… et pierre qui roule n’amasse pas mousse.
Association de solidarité Loiret Algérie — Nous allons sauter les barrières : Lettres d’Algérie -
Va mon vieux, va comme j'te pousse, à gauche, à droit', va ça fait rien. Va pierr' qui roule amass' pas mousse, j'm'appell' pas Pierre et je l'sais bien ».
Aristide Bruant — « Philosophe » -
Les garçons de quinze ans qui vont en classe ont trop besoin de leur raison pour expliquer comment il se fait que « pierre qui roule n'amasse pas mousse » alors que « la fortune sourit aux audacieux »
Raymond Dumay — Le printemps des hommes -
Ils étaient saouls comme des grives et, réveillés en sursaut ils ne savaient plus ce qu'ils faisaient. Si Jacques ne lui avait pas carrément enlevé le carafon des mains, monsieur Pierre aurait arrosé le corps avec du punch.
Jean Giono — Les Âmes fortes -
Félicité, plus utile que la mouche du coche, faisait parfois toute la besogne en bourdonnant aux oreilles de Pierre.
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
JULIETTE. – Ô Roméo ! Roméo ! pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m’aimer, et je ne serai plus une Capulet.ROMÉO, à part. – Dois-je l’écouter encore ou lui répondre ?JULIETTE. – Ton nom seul est mon ennemi. Tu n’es pas un Montague3, tu es toi-même. Qu’est-ce qu’un Montague ? Ce n’est ni une main, ni un pied, ni un bras, ni un visage, ni rien qui fasse partie d’un homme… Oh ! sois quelque autre nom ! Qu’y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom. Ainsi, quand Roméo ne s’appellerait plus Roméo, il conserverait encore les chères perfections qu’il possède… Roméo, renonce à ton nom ; et, à la place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi tout entière.ROMÉO. – Je te prends au mot ! Appelle-moi seulement ton amour et je reçois un nouveau baptême : désormais je ne suis plus Roméo.JULIETTE. – Quel homme es-tu, toi qui, ainsi caché par la nuit, viens de te heurter à mon secret ?ROMÉO. – Je ne sais par quel nom t’indiquer qui je suis. Mon nom, sainte chérie, m’est odieux à moi-même, parce qu’il est pour toi un ennemi : si je l’avais écrit là, j’en déchirerais les lettres.JULIETTE. – Mon oreille n’a pas encore aspiré cent paroles proférées5 par cette voix, et pourtant j’en reconnais le son. N’es-tu pas Roméo et un Montague ?ROMÉO. – Ni l’un ni l’autre, belle vierge, si tu détestes l’un et l’autre.JULIETTE. — Comment es-tu arrivé jusqu’ici, dis-le moi, et qu’y viens-tu faire? Les murs du verger sont élevés et difficiles à escalader. Songe qui tu es; ces lieux sont pour toi la mort si quelqu’un de mes parents vient à t’y rencontrer.ROMÉO. — Des ailes légères de l’amour j’ai volé sur le haut de ces murailles; car des barrières de pierre ne peuvent exclure l’amour; et tout ce que l’amour peut faire, l’amour ose le tenter: tes parents ne sont donc point pour moi un obstacle.JULIETTE. — S’ils te voient, ils te tueront.
William Shakespeare — Roméo et Juliette -
Vous que le printemps opéraMiracles ponctuez ma stance Mon esprit épris du départ Dans un rayon soudain se perd Perpétué par la cadenceLa Seine au soleil d’avril danse Comme Cécile au premier balOu plutôt roule des pépitesVers les ponts de pierre ou les cribles Charme sûr La ville est le val […]
Louis Aragon — Feu de joie -
Elle voyait aussitôt les dalles noires et blanches du vestibule, l'escalier de pierre, la cretonne fleurie de sa chambre − elle respirait l'odeur fraîche, un peu sure, des couloirs aux volets toujours mi-clos, elle s'emparait de la maison tout entière.
Bernanos — Joie -
R.-L. Dupuy a mieux qu'un violon d'Ingres ; il en a deux le dessin et la sculpture. Il a une prédilection pour la pierre de taille et le travail des « bois flottés Il passe la plus grande partie de ses vacances dans son habitation de troglodyte aux Baux-de Provence où il s'en donne à cœur joie dans les rochers.
Pierre Bruneau — Magiciens de la publicité -
Passant, souviens-toi que sur cette pierre, ci de face placée, saint Clément, d'après la tradition, a prié.
Barrès — Colette Baudoche -
Henri cueille la Fleur Bleue et délivre Mathilde de son enchantement, mais il va de nouveau la perdre tout engourdi dans sa douleur, il est métamorphosé en pierre.
Novalis — Henri d’Oftringen -
Nous avions un synopsis de cinq-six pages sur le sujet, puis s’est posée la question de la programmation", confie sur Europe 1 Pierre Monjanel, directeur collection de Plus belle la vie, chargé d’orchestrer l’écriture des scénarii.
Europe1 — La série "Plus belle la vie" avait anticipé le coronavirus -
Ah ! dit-il, voilà donc comme tu veux me tromper, maudite femme ! Je ne sais à quoi il tient que je ne te mange aussi : bien t'en prend d'être une vieille bête. Voilà du gibier qui me vient bien à propos pour traiter trois ogres de mes amis, qui doivent me venir voir ces jours-ci.Il les tira de dessous le lit, l'un après l'autre. Ces pauvres enfants se mirent à genoux, en lui demandant pardon ; mais ils avaient affaire au plus cruel de tous les ogres, qui, bien loin d'avoir de la pitié, les dévorait déjà des yeux, et disait à sa femme que ce seraient là de friands morceaux, lorsqu'elle leur aurait fait une bonne sauce. Il alla prendre un grand couteau ; et en approchant de ces pauvres enfants, il l'aiguisait sur une longue pierre, qu'il tenait à sa main gauche. Il en avait déjà empoigné un, lorsque sa femme lui dit : " Que voulez-vous faire à l'heure qu'il est ? n'aurez-vous pas assez de temps demain ?- Tais-toi, reprit l'Ogre, ils en seront plus mortifiés. - Mais vous avez encore là tant de viande, reprit sa femme : voilà un veau, deux moutons et la moitié d'un cochon !- Tu as raison, dit l'Ogre : donne-leur bien à souper afin qu'ils ne maigrissent pas, et va les mener coucher.
Charles Perrault — Le Petit Poucet -
Le dernier livre de M. Pierre Loti, Le Pêcheur d’Islande, nous donne cette note attendrie, jolie, captivante, mais inexacte qui doit, par le contraste voulu avec les observations cruelles et sans charme auxquelles nous sommes accoutumés, faire partie de son grand succès.
Maupassant — Gil Blas -
Je leur donnerai un cœur loyal, je mettrai en eux un esprit nouveau : j’enlèverai de leur chair le cœur de pierre, et je leur donnerai un cœur de chair.
11 — 19 et 36 -
Un bon vivant qui consacrait sa vie à la bonne chère et à l’amour, s’était logé dans un entresol au-dessus de la cuisine d’un restaurateur et au-dessous de la chambre de sa belle ; et, quand il voulait jouir du double avantage de sa position, il lançait au plafond une pierre qui, retombant sur le parquet, avertissait à la fois cette belle et ce restaurateur toujours fidèles à l’appel. Pouvait-il mieux faire d’une pierre deux coups ?
Pierre-Marie Quitard — Dictionnaire étymologique -
Et d’ailleurs, je voulais être à la fois son père, son bienfaiteur, et, lâchons le mot, son amant ; faire d’une pierre deux coups, une bonne action et une bonne amie.
Honoré de Balzac — La Comédie humaine -
Aux frais de son éditeur, membre du comité, rappelle-t-il en plissant les yeux, il faisait donc d’une pierre deux coups en se renseignant aussi sur la tombe de mon père. Joignant l’astuce à l’économie, il s’est donc rendu dans ce pays montagneux (…)
Alix de Saint-André — Papa est au Panthéon -
Jérôme, décide, de son côté, d’épouser Juliette, faisant ainsi d’une pierre deux coups, il la libère de son prétendant officiel, et il aide Jérôme à reconquérir Alissa délivrée de ses scrupules.
André Gide — La porte étroite -
La garce elle me vitriole et il faut que je la boucle. Quelle haine. Elle m’a toujours haïe, elle a fait d’une pierre deux coups en me mariant à Albert, elle assurait ses plaisirs et mon malheur. Je ne voulais pas l’admettre, je suis trop propre, trop blanche, mais ça saute aux yeux.
Simone de Beauvoir — La femme rompue -
Il ne croit pas, ce geôlier, que j’aie à me plaindre de lui et de ses sous-geôliers. Il a raison. Ce serait mal à moi de me plaindre ; ils ont fait leur métier, ils m’ont bien gardé ; et puis ils ont été polis à l’arrivée et au départ. Ne dois-je pas être content ? Ce bon geôlier, avec son sourire bénin, ses paroles caressantes, son œil qui flatte et qui espionne, ses grosses et larges mains, c’est la prison incarnée, c’est Bicêtre qui s’est fait homme. Tout est prison autour de moi ; je retrouve la prison sous toutes les formes, sous la forme humaine comme sous la forme de grille ou de verrou. Ce mur, c’est de la prison en pierre ; cette porte, c’est de la prison en bois ; ces guichetiers, c’est de la prison en chair et en os. La prison est une espèce d’être horrible, complet, 129 indivisible, moitié maison, moitié homme. Je suis sa proie ; elle me couve, elle m’enlace de tous ses replis. Elle m’enferme dans ses murailles de granit, me cadenasse sous ses serrures de fer, et me surveille avec ses yeux de geôlier. Ah ! misérable ! que vais-je devenir ? qu’estce qu’ils vont faire de moi ?
Victor Hugo — Le dernier jour d’un condamné -
Vous que le printemps opéraMiracles ponctuez ma stanceMon esprit épris du départDans un rayon soudain se perdPerpétué par la cadenceLa Seine au soleil d’avril danseComme Cécile au premier balOu plutôt roule des pépitesVers les ponts de pierre ou les criblesCharme sûr La ville est le val […]
Louis Aragon — Le Mouvement perpétuel -
Pierre Mauroy sait bien que, pour forcer la main des ministères et des administrations, il est parfois nécessaire de brûler ses vaisseaux en prenant des engagements publics avant de savoir comment les mettre en œuvre.
Franz-Olivier Giesbert — Le vieil homme et la mort -
Elle est debout sur mes paupièresEt ses cheveux sont dans les miens,Elle a la forme de mes mains,Elle a la couleur de mes yeux,Elle s’engloutit dans mon ombreComme une pierre sur le ciel.Elle a toujours les yeux ouvertsEt ne me laisse pas dormir.Ses rêves en pleine lumièreFont s’évaporer les soleils,Me font rire, pleurer et rire,Parler sans avoir rien à dire.
Paul Eluard — Capitale de la douleur -
Ma négritude n’est pas une pierre, sa surdité ruée contre la clameur du jourma négritude n’est pas une taie d’eau morte sur l’œil mort de la terrema négritude n’est ni une tour ni une cathédrale
Aimé Césaire — Cahier d’un retour au pays natal -
Il l’entendit enfin, sonore, vibrante de larmes et de défi à la fois : « Me voilà sur le chemin de Damas comme saint Paul, maître Pierre ! Ne m’oubliez pas, maître Pierre ! Auberi ! Adieu ! Auberi ! » Puis la voix se perdit parmi les autres. Toutes, elles s’éloignèrent peu à peu ; ceux qui étaient restés suivaient des yeux le cortège, qui avançait sur la route pierreuse, le long des rochers.
Zoé Oldenbourg — La Pierre angulaire -
J’ai perdu le nom de cet homme, son nom d’état civil, mais comme il logeait et prenait ses repas chez nous, j’ai appris qu’il portait le blase de « la Fraternité du Bugey, Tailleur de Pierres du Devoir ».
Henri Vincenot — La Billebaude -
Le démêlage de la laine est manuel, tandis que les graines du coton sont généralement extraites à l’aide d’une pierre plate assortie d’une tige cylindrique de fer.
Aminata Dramane Traoré — Mille tisserands en quête de futur -
Quelle pierre infernale que le mépris! Il cicatrise tout ce qui saigne
Barb. d'Aurev. — Memor. 1