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Citations sur le préimplantatoire

Il y a 14 citations sur le préimplantatoire.

• Les raisons de la perte d’environ la moitié des embryons pendant cette période préimplantatoire restent mal comprises.

• Or, le diagnostic préimplantatoire rendrait possible une intervention en amont, avant le transfert de l’embryon né par procréation médicalement assistée. Il ne s’agit donc pas, selon les parlementaires, d’une question de principe, mais d’une question de délai.

• D’autres cliniques exposantes concurrentes implantées dans d’autres pays proposent quant à elles le choix du sexe du bébé conçu in vitro, avant l’implantation par la réalisation d’un diagnostic préimplantatoire[1]. Les embryons conçus qui ne seront pas du sexe choisi finiront à la poubelle.

• Un tel scénario est-il envisageable en France ? Le diagnostic préimplantatoire (DPI) est autorisé en France depuis 1999. En 2013, 161 enfants sont nés suite à une FIV couplée à un DPI. Cette technique est très étroitement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004, modifiée le 7 juillet 2011, et sa pratique est réglementée par l’Agence de Biomédecine.

• Au vu de ces recherches, le diagnostic préimplantatoire se désintéressera-t-il du nombre de chromosomes ? Il est permis de l’espérer.

• Vendredi 13 septembre, les députés de la commission bioéthique ont examiné la possibilité d’élargir le diagnostic préimplantatoire aux anomalies chromosomiques, dont la trisomie 21.

• Selon le comité interpartis favorable à la nouvelle loi, le diagnostic préimplantatoire (DPI) est une technique strictement réglée.

• Le diagnostic posé, elle essaie encore une fois et essuie un nouvel échec. «J’avais alors deux possibilités: continuer à tomber enceinte par voie naturelle et prendre le risque de perdre le fœtus, en espérant qu’un jour je parvienne à transmettre une gamète équilibrée ou alors me rendre à l’étranger pour bénéficier d’un diagnostic préimplantatoire.» Le choix est vite fait: «C’était trop d’attente et de souffrance de continuer sans PMA et DPI».

• Sarah accepte de témoigner, car elle regrette que le débat autour du diagnostic préimplantatoire ne soit trop souvent accaparé par «ceux qui ne savent pas». Ceux qui ignorent l’angoisse d’accompagner un enfant malade jour après jour.

• En 2019, 352 couples ont choisi de faire un diagnostic préimplantatoire, comme l’autorise la LPMA depuis sa révision, soit 137 de plus qu’un an plus tôt. 65 naissances ont été enregistrées après un diagnostic préimplantatoire. Cela correspond à 3% des naissances survenues à l’issue d’une procréation médicalement assistée par fécondation in vitro pratiquée en 2019.

• Des professionnels de la reproduction et des patients plaident, dans une tribune au « Monde », pour inscrire dans la future loi de bioéthique la possibilité d’un diagnostic préimplantatoire des anomalies du nombre de chromosomes dans un contexte de fausse couches à répétition ou d’échecs répétés de fécondation in vitro.

• FIGAROVOX/TRIBUNE - Le diagnostic préimplantatoire des embryons pour détecter la trisomie 21 sera débattu par les députés à partir de ce lundi soir. Dans une tribune citoyenne, des parents, médecins, éducateurs spécialisés... dénoncent une dérive eugéniste.

• Diagnostic préimplantatoire  : ce que dit la loi, ce que dit l’Église

• « Nous devons accompagner les couples en étendant le diagnostic préimplantatoire »