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Citations sur le pus

Il y a 150 citations sur le pus.

• Il apparaît alors un écoulement séreux, sanglant ou jaunâtre, épais comme du pus mais abactérien.

• Le pus présent dans les lésions d’actinobacillose est un pus blanc laiteux, inodore, visqueux, renfermant des grains parfois difficiles à observer.

• Je pus mener à bien (comme analyste, programmeur, perforateur et opérateur) trois gros programmes : tabulation de fonction pour l’astrolabe Danjon (sans problème mathématique réel), résolution numérique d’un problème plus complexe de cheminées d’équilibre (équation différentielle non linéaire avec singularité à l’origine) posé par le professeur Aldo Ghizetti, et, enfin, un essai sur une méthode de calculs des zéros d’un polynôme proposée par le professeur Derwidué.

• Le cryptocoque est cultivable à 38°, en ensemenant, avec du pus aseptique d'abcès, de la gélose au crottin de cheval recouverte d'une macération de ganglions du même animal : […].

• Les joues de Jess s'étaient colorées de rouge. Comme souvent, je ne pus retenir un sourire en le voyant piquer une de ses saintes colères ayatollesques.

• Un campement à la bordure d’une forêt, et éclairé par quelques bougies, donne d’étranges apparences ; je crus voir une falaise et des cavernes ; je revis ce lieu plus d’une fois ; jamais je n’y pus reconnaître ma première impression ; […].

• Il me fit la courte échelle et je pus atteindre la corde qui devait révéler mon départ et qui assura mon retour. Puis il me fit passer mon balluchon.

• Quand l’aube revint, l’embarcation était plus proche et je pus distinguer la voile à bourcet d’une petite barque.

• Quand je pus secouer l’invincible et délicieuse torpeur qui liait mes membres, j’étais sur la rive opposée à Gizèh, adossé à un palmier, et mon noir dormait tranquillement à côté de la cange qu’il avait tirée sur le sable.

• D'un seul coup, brutalement, le flotteur gauche s'engagea. Je fus emmené dans un « cheval de bois » à gauche, que je pus contrecarrer quelque peu en accélérant.

• Le cryptocoque est cultivable à 38°, en ensemençant, avec du pus aseptique d’abcès, de la gélose au crottin de cheval recouverte d’une macération de ganglions du même animal : […].

• Je ne pus réussir à attraper un seul requin […]. Et cependant, lorsque je tuais l'un d'entre eux avec ma carabine sprinfield, c'était aussitôt une bataille féroce autour du festin cannibale.

• Heureusement, j'ai visité le laboratoire des catacombes de M. Milne-Edwards, et je pus l'entretenir de la faune et de la flore obscuricoles et cavernicoles, dont, au besoin, il se pourra repaître...

• C'était la mascotte de l'équipe. Elle l'a fait taxidermiser quand il est mort à l'âge de vingt-trois ans. En frôlant la cheminée, je pus constater à quel point la dépouille confinait au cauchemardesque.

• Dans les veines d'un poème malade coule parfois le remède cathérétique des mots, capables de ronger les chairs fongueuses de l'âme pour en extirper le pus noir de nos tristesses.

• Je résolus de fumer un peu pour me distraire. Cependant, quoique je fusse un culotteur de pipes renommé, je ne pus pas ; dès la seconde bouffée, le cœur me tourna et je cessai.

• (Figuré) — D'un seul coup, brutalement, le flotteur gauche s'engagea. Je fus emmené dans un « cheval de bois » à gauche, que je pus contrecarrer quelque peu en accélérant. — (Jean Mermoz, Mes Vols, p.62, Flammarion, 1937)

• D'un autre côté, la haie, en cet endroit, étant moins fourrée qu'ailleurs, ce devait être sur ce point que les meurtriers l'auraient franchie.Passant et repassant devant la statue, je m'arrêtai un instant pour laconsidérer. Cette fois, je l'avouerai, je ne pus contempler sans effroi son expression de méchanceté ironique ; et, la tête toute pleine des scènes horribles dont je venais d'être le témoin, il me sembla voir une divinité infernale applaudissant au malheur qui frappait cette maison. 

• Je résolus de fumer un peu pour me distraire. Cependant, quoique je fusse un culotteur de pipes renommé, je ne pus pas; dès la seconde bouffée, le cœur me tourna et je cessai

• Cette image était celle de la petite pièce de mon oncle Adolphe, à Combray, laquelle exhalait en effet le même parfum d’humidité. Mais je ne pus comprendre et je remis à plus tard de chercher pourquoi le rappel d’une image si insignifiante m’avait donné une telle félicité.