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Citations sur le quand je pense

Il y a 17 citations sur le quand je pense.

• Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé.

• Je ne fais rien du tout quand je pense tout faire.

• - Quand je pense que j'ai 26 ans et je ne suis pas mariée... - Je suis follement angoissée ! Mais moi au moins, j'ai un mari !

• – Quand je pense...Chaque période débutait par ce « quand je pense » étonnant chez une personne qui pensait si peu.

• Quand je songe aux cités-dortoirs qui pervertissent nos paysages, aux « fourre-gens » insipides, à peine inaugurés que déjà délabrés, où l’on cultive les inimitiés ; quand je pense aux bidonvilles qui continuent de s’étendre jusque dans les mentalités, les soupiraux béants sur des émanations sulfureuses, je ne me fais pas trop d’illusions sur les lendemains.

• Ce qui par avance me fige d'horreur quand je pense à une agression possible de l'Allemagne c'est qu'elle emploiera les gaz toxiques et que les villes, particulièrement Paris, trinqueront, comme jamais elles n'auront trinqué.

• Et quand je pense que mon père l'a décoré et fait comte et que le lendemain ce vilain n'a pas eu honte de porter la main sur lui

• – Tu veux me faire pleurer ?… Et quand je pense à l’argent, à nos « moyens d’existence » !… Il faudra apprendre à mendier. Je nous vois mendiant à Lyon. C’est la dernière ville au monde où je voudrais être mendiant !

• Quand je songe aux cités-dortoirs qui pervertissent nos paysages, aux « fourre-gens » insipides, à peine inaugurés que déjà délabrés, où l’on cultive les inimitiés ; quand je pense aux bidonvilles qui continuent de s’étendre jusque dans les mentalités, les soupiraux béants sur des émanations sulfureuses, je ne me fais pas trop d’illusions sur les lendemains.

• Quand je songe aux cités-dortoirs qui pervertissent nos paysages, aux « fourre-gens » insipides, à peine inaugurés que déjà délabrés, où l’on cultive les inimitiés ; quand je pense aux bidonvilles qui continuent de s’étendre jusque dans les mentalités, les soupiraux béants sur des émanations sulfureuses, je ne me fais pas trop d’illusions sur les lendemains.

• "— Ah ! monsieur le marquis ! monsieur le marquis ! quand je pense que le grand roi Henry, devant mes yeux, mit dans sa poche ses gants de chamois parce que la pluie les gâtait ; quand je pense que M. de Rosny lui refusait de l’argent, quand il en avait trop dépensé ; quand je pense… — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, Michel Lévy frères, 1863)

• Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;J’ai chaud extrême en endurant froidure :La vie m’est et trop molle et trop dure.J’ai grands ennuis entremêlés de joie.Tout à un coup je ris et je larmoie,Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;Tout en un coup je sèche et je verdoie.Ainsi Amour inconstamment me mène ;Et, quand je pense avoir plus de douleur,Sans y penser je me trouve hors de peine.Puis, quand je crois ma joie être certaine,Et être au haut de mon désiré heur,Il me remet en mon premier malheur.

• Et quand je pense que ces mecs là se font caillasser par des petites frappes avec un grand vide sidéral entre les oreilles !

• Au début de l’ADSL, il était possible d’avoir une adresse IPv4 fixe et un enregistrement PTR personnalisé, permettant l’auto-hébergement. Aujourd’hui, l’adresse IPv4 fixe (par défaut) a presque disparue, et l’enregistrement PTR personnalisé ne semble plus maintenu. Et il faut y rajouter l’IPv6 qui n’est mis en place que par petits pas. L’auto-hébergement est devenu quasiment impossible sans contournement. Par exemple, je loue un serveur privé virtuel qui me sert de relais pour pouvoir envoyer mes courriels. Quand je pense que j’ai une connexion 1Gbps/600Mbps je trouve que c’est ridicule.

• Yana Seel: « C’est d’abord un grand honneur pour moi de faire partie d’une équipe comme Lotto Soudal. Je suis l’équipe depuis longtemps et je ressens toujours beaucoup de passion et de ferveur quand je pense à Lotto Soudal. C’est aussi l’une des plus anciennes équipes du peloton, signe d’une grande stabilité et d’une longue tradition. Même si je suis née au Kazakhstan, je me sens principalement belge. Travailler pour Lotto Soudal, c’est comme revenir à la maison. En même temps, je réalise que rejoindre une équipe avec une telle tradition comprend son lot de responsabilités. Je souhaite dès lors donner le meilleur de moi-même pour l’équipe. » 

• Et quand je pense qu’il y a encore des pauvres gens ici ou ailleurs pour idolâtrer ces tocards et leurs pratiques

• Il est certain que ce n’est pas une petite étape... Encore moins quand je pense à ce qui m’attend pour le reste de l’année, tout cela est assez intimidant. Oui, je suis un peu stressée et, comme souvent, j’ai hâte d’être dans deux trois jours après le départ. C’est là que je commence à me sentir mieux.