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Citations sur le quand on pense

Il y a 32 citations sur le quand on pense.

• Les régions orientales de la Colombie, situées au-delà de la cordillère, ainsi que le Trapèze amazonien ont été pendant des siècles considérées comme des « territoires sauvages », des espaces vides ou des « enfers verts ». Même aujourd'hui quand on pense aux Indiens de l’Amazonie colombienne on les imagine souvent comme groupes d'individus isolés […].

• L'amour est comme le bellicant; il glisse entre nos doigts quand on pense pouvoir le saisir.

• L'amour est comme une arcanie: complexe et insaisissable, il nous échappe juste quand on pense enfin comprendre sa nature énigmatique.

• La vie, c'est un peu comme une recette compliquée; quand on pense avoir réussi, il faut souvent se redépatouiller avec un ingrédient imprévu.

• Les régions orientales de la Colombie, situées au-delà de la cordillère, ainsi que le Trapèze amazonien, ont été pendant des siècles considérées comme des « territoires sauvages », des espaces vides ou des « enfers verts ». Même aujourd'hui, quand on pense aux Indiens de l’Amazonie colombienne, on les imagine souvent comme des groupes d'individus isolés […].

• Les régions orientales de la Colombie, situées au-delà de la cordillère, ainsi que le Trapèze amazonien, ont été pendant des siècles considérées comme des « territoires sauvages », des espaces vides ou des « enfers verts ». Même aujourd'hui, quand on pense aux Indiens de l’Amazonie colombienne, on les imagine souvent comme des groupes d'individus isolés […].

• Les régions orientales de la Colombie, situées au-delà de la cordillère, ainsi que le Trapèze amazonien, ont été pendant des siècles considérées comme des « territoires sauvages », des espaces vides ou des « enfers verts ». Même aujourd'hui, quand on pense aux Indiens de l’Amazonie colombienne, on les imagine souvent comme des groupes d'individus isolés […].

• Les souvenirs de l'enfance ont ce pouvoir étrange de redéstabiliser notre présent, même quand on pense avoir tourné la page.

• Les souvenirs d'enfance ont cette étrange capacité à retrotter dans notre esprit, même quand on pense les avoir oubliés.

• Après une pareille déconfiture, la convalescence avait été longue ; et quand on pense qu’elle l’a tenu dix-sept ans à cuver sa rage et à avaler des couleuvres sans pouvoir s’en tirer, on peut mesurer ce qu’il a mis de patience à tisser cette toile d’araignée où il devait un jour envelopper toute une population.

• L'amour est un vin vieux qui, quand on pense qu'il a fini de fermenter, commence soudain à regrésiller, bouleversant les cœurs avec une douce violence inattendue.

• Quand on pense qu'une personne sur cinq vit des symptômes dépressifs à un niveau tel qu'il devrait recevoir un suivi de santé psychologique, quand on pense que le taux d'idéation suicidaire est trois fois plus élevé que dans le reste de la population et pire encore, que les tentatives de suicide sont deux fois plus élevées que dans le reste de la situation, il y a un problème.

• L'amour est aussi insaisissable que l'épinarde dans son milieu naturel; il glisse entre nos doigts quand on pense le tenir.

• Mettre les pieds dans le plat quand on pense ; les retirer quand on écrit.

• Après tout, ce n'est pas si désagréable que ça de vieillir, quand on pense à l'autre éventualité.

• Dans la vie, quand on pense le dernier acte arrivé, on s'aperçoit souvent que la pièce ne se comprend pas sans son épilogue.

• Il est beau le progrès ! Quand on pense que la police n’est même pas fichue de l’arrêter...

• Bilan : censé éviter le relâchement cutané et soulager le mal de dos, le soutien-gorge ferait le contraire. Quand on pense qu’on s’impose d’en porter pour ne pas blobloter du buste devant tout le monde, c’est ballot. En tout cas, dans une interview à France Info, qui agite grandement la Toile, le docteur Rouillon affirme que «le soutien-gorge est un faux besoin» et que «le sein s’étiole avec le soutien-gorge». Même, les seins des femmes qu’il a suivies et mesurées quatre fois par an «se sont adaptés et améliorés», les muscles peauciers s’améliorent et tout se redresse.

• Que faut-il vraiment retenir de ce recueil, sinon qu’un poète rapaille les nombreux clichés qui prévalent quand on pense aux pays subéquatoriaux, avec leurs lots de ravages naturels, de favelas montrées ici comme des peintures à numéros, ou grouillantes de misère torturée ou de figures extravagantes ? Godin n’est pas un mauvais poète, mais il est de ceux qui ne savent pas contrôler leur désir de chantourner la langue jusqu’à ce qu’elle devienne si malmenée qu’elle s’enfonce. Quand on est capable d’avouer que « les rapprochements inséminaient nos vertiges », on peut tout aussi bien déplorer « le mât de notre stérilité ».

• Qui suis-je ? Que fais-je ? Où vais-je ? À cela s’ajoute une question fondamentale : quel souvenir souhaitez-vous laisser ? Les réponses sont au moins une affaire d’intelligence, de liberté, d’ambition, mais surtout d’état d’esprit. Que construit-on quand on pense que tout est impossible ? Où va-t-on quand on pense que tout est difficile ? Comment devenir quand l’inconnu est une tyrannie mentale qui justifie la catatonie du chronos qui alimente l’autre déviance, celle d’attendre et voir ?