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Citations sur le quatre-vingts

Il y a 17 citations sur le quatre-vingts.

• De vingt à quarante ans, on voudrait avoir. De quarante à soixante, on voudrait être. De soixante à quatre-vingts, on voudrait ne pas avoir été.

• C'est classe, de choisir de mourir à vingt-sept ans. Ou à quatre-vingts ans. Entre les deux, ça ne ressemble à rien.

• Les transports en commun, c’est bien ; sauf qu’aux heures de pointe t’as l’impression de danser un slow avec quatre-vingts personnes en même temps !

• La sensualité s'éteint à quatre-vingts ans.

• Nous bricolons plus ou moins notre vie pendant soixante à quatre-vingts ans, et ensuite, quand nous savons à peu près comment il faudrait vivre, il nous faut mourir.

• J’ai vu plus de quatre-vingts ans de douleurs, et chaque heure de joie s’est toujours brisée sur une semaine d’angoisses !

• Pendant quatre-vingts ans tu te sens en danger de mort et un jour tu avais raison, tu meurs.

• Le tout c'est d'avoir du génie à vingt ans et du talent à quatre-vingts.

• J'ai remarqué qu'à partir de quatre-vingts ans on mourait beaucoup.

• Taine reporta sa peur et sa haine de la Commune sur le peuple de Quatre-Vingt-Treize, « bête vautrée sur un tapis de pourpre »

• Elle avait quatre-vingts ans, et moi douze ou treize, quelque chose comme ça. Elle m'a dit "On ne se rend pas compte, mais une vie, c'est si vite passé."

• M. Arnauld (...) à quatre-vingts ans (...) soutint magnifiquement les quatre thèses voulues : la première appelée Sorbonnique (...) ; la seconde dite Mineure ordinaire (...) ; la troisième, Majeure ordinaire (...) ; et la quatrième et dernière, appelée l’acte de Vesperies...

• Un accès de folie publique, cela se voit. Cela s’était déjà vu quatre-vingts ans auparavant. On sort de Louis XIV comme on sort de Robespierre, avec un grand besoin de respirer ; de là la Régence qui ouvre le siècle et le Directoire qui le termine. Deux saturnales après deux terrorismes. La France prend la clef des champs, hors du cloître puritain comme hors du cloître monarchique, avec une joie de nation échappée. (…)

• Pour la troisième année consécutive, la FFMC03 (fédération des motards en colère de l’Allier) s’est mobilisée en faveur des enfants du centre hospitalier de Moulins-Yzeure. L’an dernier, une cinquantaine de motards avaient distribué quatre-vingts jouets.

• Depuis 8 heures, ce matin, environ quatre-vingts élèves du lycée Clos Maire à Beaune, principalement des élèves de première en série générale, se sont rassemblés pour dire non à la réforme du baccalauréat.

• Le 5 mars 2020, cela fera quatre-vingts ans que les membres du Politburo du Parti communiste (bolchevique) d’Union soviétique signèrent l’ordre «ultrasecret» d’«appliquer le châtiment suprême: la peine de mort par fusillade» - en capitales dans l’original - à 14.700 Polonais, «anciens officiers, fonctionnaires, propriétaires terriens, agents de police [etc.]», ainsi qu’à «11.000 [Polonais] membres de diverses organisations contre-révolutionnaires d’espions et de saboteurs […]». Un langage idéologique et paranoïaque qui, depuis novembre 1917, caractérisait le discours bolchevique. Dans la foulée, Nikita Khrouchtchev, à l’époque patron communiste de la Pologne soviétisée, ordonnait la déportation au goulag des familles des exécutés, soit 65.000 femmes et enfants, bientôt accompagnées de près d’un million d’autres Polonais.

• Là encore il avait « senti juste ». Un dealer de rue y avait dissimulé une trentaine de barrettes prêtes à la revente, soit quatre-vingts grammes de résine de cannabis.