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Il y a 332 citations sur le quelqu'un.
Dans cette ville froide et impersonnelle, il est réconfortant de rencontrer quelqu'un d'accointable. Jean-Louis Rochefort — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
L'amour véritable n'est pas une question d'engagement légal ou religieux. C'est une question de choix. Choisir de s'acliquer à quelqu'un tous les jours. François Voltaire — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
On ne peut acuponcturer quelqu'un sans comprendre sa douleur, son histoire. C'est toute la complexité et la beauté de ce métier. Jeanne Dupont — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
« Si quelqu'un dit qu'il ne peut y avoir de miracles (...), et que l'origine de la religion chrétienne n'est pas valablement prouvée par eux : qu'il soit anathème! Si quelqu'un dit qu'il peut se faire qu'on doive quelquefois, selon le progrès de la science, attribuer aux dogmes proposés par l'église un autre sens que celui qu'a entendu et qu'entend l'église : qu'il soit anathème! » Roger Martin du Gard — Jean Barois
Du moment qu'on aime, on n'est pas libre. Mais ce n'est tout de même pas pareil d'aimer quelqu'un qui se croit des droits sur vous ou quelqu'un qui ne s'en croit aucun. auteur
Aligner, v. a. (fig.). Aligner quelqu'un c'est le corriger, le mettre à la raison, le faire marcher droit. Va, petit bandit, je te ferai aligner par ton père. Drôles que vous êtes, on vous alignera, on vous arrangera. J. Humbert — Nouveau glossaire genevois
Divers usages du sucre. Le sucre est entré dans le monde par l'officine des apothicaires. Il devait y jouer un grand rôle; car, pour désigner quelqu'un à qui il aurait manqué quelque chose essentielle, on disait : c'est comme un apothicaire sans sucre. Brillat-Savarin — Physiologie du goût
Jamais il n'avait vu quelqu'un d'aussi grêle. Ce garçon n'avait que la peau sur les os et chacune de ces articulations gonflées par le rachitisme apparaissait comme autant d’erreurs de la nature. Gérard de Villiers — JAG : Le monde fracturé
Nouveaux coups de feu : « Ça claque trop sec ! c'est du pistolet. On attaque quelqu'un je parie. On se bagarre ». Jean Rogissart — Passantes d’Octobre
À cette époque où les mots avaient un poids, traiter quelqu'un de 'bâtonnable' était à la fois un jugement moral et une sentence implicite. Pierre Dubois — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Avec des pèlerins comme ça pour mettre leur grain de sel partout, je vais me faire rire si j’ai pas bouclé quelqu'un en deux coups de cuiller à pot, grommela le poulet. Ange Bastiani — Le coup du Père Noël
Si l'on prend par exemple la notion d'absence, sous sa forme la plus courante : nos chers absents, je me suis absenté, quelqu'un est venu chez moi pendant mon absence, les absents ont toujours tort, on remarque tout de suite que l'absence n'est pas pure négation, elle suppose l'unité des absents dans l'être. Il y a un être de l'absence. Jean-Paul Sartre — Carnets de la drôle de guerre
SCAPIN.- Cachez-vous. Voici un spadassin qui vous cherche. (En contrefaisant sa voix.) "Quoi ? Jé n'aurai pas l'abantage dé tuer cé Geronte, et quelqu'un par charité né m'enseignera pas où il est ?" (À Géronte avec sa voix ordinaire.) Ne branlez pas. (Reprenant son ton contrefait.) "Cadédis, jé lé trouberai, sé cachât-il au centre dé la terre." (A Géronte avec son ton naturel.) Ne vous montrez pas. (Tout le langage gascon est supposé de celui qu'il contrefait, et le reste de lui.) "Oh, l'homme au sac !" Monsieur. "Jé té vaille un louis, et m'enseigne où put être Géronte." Vous cherchez le seigneur Géronte ? "Oui, mordi ! Jé lé cherche." Et pour quelle affaire, Monsieur ? "Pour quelle affaire ?" Oui. "Jé beux, cadédis, lé faire mourir sous les coups de vaton." Oh ! Monsieur, les coups de bâton ne se donnent point à des gens comme lui, et ce n'est pas un homme à être traité de la sorte. "Qui, cé fat dé Geronte, cé maraut, cé velître ?" Le seigneur Géronte, Monsieur, n'est ni fat, ni maraud, ni belître, et vous devriez, s'il vous plaît, parler d'autre façon. "Comment, tu mé traites, à moi, avec cette hautur ?" Je défends, comme je dois, un homme d'honneur qu'on offense. "Est-ce que tu es des amis dé cé Geronte ?" Oui, Monsieur, j'en suis. "Ah ! Cadédis, tu es de ses amis, à la vonne hure." (Il donne plusieurs coups de bâton sur le sac.) "Tiens. Boilà cé que jé té vaille pour lui." Ah, ah, ah ! Ah, Monsieur ! Ah, ah, Monsieur ! Tout beau. Ah, doucement, ah, ah, ah ! "Va, porte-lui cela de ma part. Adiusias." Ah ! diable soit le Gascon ! Ah !En se plaignant et remuant le dos, comme s'il avait reçu les coups de bâton. Molière — Les fourberies de Scapin
Moi-même j'avais l'impression que j'avais au cerveau une fuite que quelqu'un essayait de bloquer avec des pierres. Ils sont tombés dans les pommes à cinq mille cinq cents, et ils m'ont même regardé mettre le masque à oxygène. Romain Gary — Les trésors de la mer Rouge
Alors, je n'ai plus aucune chance de le joindre à Antibes ? Ah non. sa chambre doit déjà être occupée par quelqu'un d'autre. Peut-être par Monsieur. Il me désigna le grand blond à tête de cheval qui prenait toujours des notes sur son carnet. Et il n'y a aucun moyen de savoir où il est ? Patrick Modiano — Dimanches d'août
Si tu as le livre, tu le laisserais en bas à son nom. C'est pour envoyer à quelqu'un d'intéressé. Merci à l'avance. Et j'espère à bientôt ( ?) Amicalement, Georges Bataille Georges Bataille — Choix de lettres
La raison du plus fort est toujours la meilleure :Nous l'allons montrer tout à l'heure.Un Agneau se désaltéraitDans le courant d'une onde pure.Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure,Et que la faim en ces lieux attirait."Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?Dit cet animal plein de rage :Tu seras châtié de ta témérité.— Sire, répond l'Agneau, que votre MajestéNe se mette pas en colère ;Mais plutôt qu'elle considèreQue je me vas désaltérantDans le courant,Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,Et que par conséquent, en aucune façon,Je ne puis troubler sa boisson.— Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,Et je sais que de moi tu médis l'an passé.— Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère.— Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.— Je n'en ai point.— C'est donc quelqu'un des tiens :Car vous ne m'épargnez guère,Vous, vos bergers, et vos chiens.On me l'a dit : il faut que je me venge."Là-dessus, au fond des forêtsLe Loup l'emporte, et puis le mange,Sans autre forme de procès. Jean de La Fontaine — Le Loup et l’Agneau
Zénon douta toujours si quelqu'un avait averti le prieur des Cordeliers, ou si au contraire celui-ci en offrant à un voyageur de monter dans son coche à Senlis savait avoir affaire au philosophe dont on brûlait sur la place publique un ouvrage fort controversé. Marguerite Yourcenar — L'Œuvre au Noir
Alors lui me répondit avec un air de reproche triste « Au moins, vous savez bien, frère, que je suis changé maintenant et qu'il y a quelque chose qui est bien fini ce n'est pas de cela que vous voulez parler ? » Et, moi, je serrai la main de mon frère Yves, en essayant de sourire comme quelqu'un qui aurait tout à fait confiance. Pierre Loti — Mon frère Yves
Vivent les mariés, qu'ils s'embrassent vociféra quelqu'un et d'autres voix répétèrent ce cri. Vladimir Nabokov — Invitation au supplice