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Citations sur le redressement judiciaire

Il y a 29 citations sur le redressement judiciaire.

• Or, rappelle le député, « une procédure de redressement judiciaire commence par une période d’observation d’une durée maximale de six mois, renouvelable une fois. Pendant cette période d’observation, il sera impossible à l’entreprise en difficulté de candidater pour un marché de plusieurs années, l’empêchant par là même de redresser sa situation ». Aussi appelle-t-il de ses vœux un changement de la réglementation.

• Dans l’hypothèse la plus pessimiste, le juge pourrait constater la fictivité de la société ou étendre une procédure de redressement judiciaire d’une société commerciale dont dépend la SCI à cette dernière (Cass.com. 18/07/1989 n°88-13279).

• Le dentelier Desseilles, l'un des fleurons de l'industrie de la dentelle de Calais employant 87 salariés, a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), a-t-on appris mardi auprès de son directeur général.

• Le dentelier Desseilles, l'un des fleurons de l'industrie de la dentelle de Calais employant 87 salariés, a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), a appris l'AFP ce mardi 31 octobre auprès de son directeur général.

• En 2005, les salariés des Aciéries de Ploërmel, des Bretons têtus et taiseux qui se font un peu violence pour raconter leur histoire, ont repris leur entreprise en redressement judiciaire sous forme de Scop (société coopérative de production). « La coopérative : une solution en acier »

• C'est une entreprise historique de l'agglomération castelroussine : FPPI (France Production Parquet Innovation), fruit du rachat en 2013 de l'ancienne parqueterie berrichonne d'Ardentes, elle compte une cinquantaine de salariés. Mi-décembre, elle a été placée en redressement judiciaire avec une période d'observation de six mois. Pour ses dirigeants, ces difficultés sont le fruit des décisions stratégiques prises l'an passé. 

• La parqueterie a quitté la famille Janod, après quatre générations de savoir-faire. Depuis le 9 octobre, Anthony Cherabieh est le nouveau dirigeant du fonds de commerce. Il a remporté l’appel d’offres à l’issue du redressement judiciaire de l’entreprise. Pour marquer le coup, la parqueterie Janod a été renommée Parqueterie Janod 1930. Le Bourguignon d’origine, ancien directeur dans l’industrie métallurgique, avait pour projet de reprendre une PME. Il explique son choix : « L’entreprise maîtrise un savoir-faire local. C’est important pour moi de le faire perpétuer en le faisant de...

• Le tribunal de commerce de Rouen a chargé l’administrateur judiciaire de tester cette dernière possibilité avec un appel à candidatures lancé jusqu’au 19 décembre. Cela concerne à la fois la structure CNMEP, dernier manutentionnaire havrais indépendant dans le conteneur qui emploie 265 dockers et jusqu’à 500 avec les prêts journaliers de main-d’œuvre, et la structure commerciale Compagnie nouvelle de manutention portuaire (CNMP) qui compté 31 salariés. Cette dernière n’était pas formellement sous redressement judiciaire mais elle en subit le contrecoup....

• Elle avait déjà été placée en redressement judiciaire en mai 2020 et reprise dans la foulée par le groupe franco-turc SY, qui est toujours son actionnaire, et qui avait déjà acquis l’enseigne Sinéquanone en 2019. La société avait commencé à se restructurer et supprimé 27 postes en juin 2023 dans le cadre d’un PSE, a indiqué le porte-parole à l’AFP fin août.

• "C'est le deuxième redressement judiciaire en trois ans, il y a donc beaucoup d'inquiétude, de défiance, de peur", selon la syndicaliste qui espère que sera évitée "au maximum une casse sociale". La société avait commencé à se restructurer et avait supprimé 35 postes en juin 2023 dans le cadre d'un PSE, a rappelé Angélique Idali. Elle avait déjà été placée en redressement judiciaire en mai 2020 et reprise dans la foulée par le groupe franco-turc SY, qui est toujours son actionnaire, et qui avait déjà acquis l'enseigne Sinéquanone en 2019. SY International emploie en direct 1.500 personnes.

• En l’espèce, une société a été placée en redressement judiciaire et a obtenu l’arrêté d’un plan. Or, dans le cadre de cette procédure, la société débitrice a porté à la connaissance du mandataire une créance chirographaire détenue par l’un de ses créanciers.

• Maître Nicolas Lafay met en lumière dans cette chronique notamment deux affaires de tribunaux administratifs dans lesquels, d’un côté, un candidat en redressement judiciaire a été exclu ; de l’autre, un attributaire a remis des attestations fiscales désuètes, ayant conduit à l’annulation de la procédure…

• L'entreprise Oxygen Phone (ex Remade), basée à Poilley a été à nouveau placée en redressement judiciaire ce vendredi 23 septembre.

• Basée à la Trinité-Porhoët (Morbihan), La Trinitaise, entreprise spécialisée dans la découpe de dindes, a été placée en redressement judiciaire le 19 février 2020 par le tribunal de commerce de Rennes (Ille-et-Vilaine) qui lui accorde un sursis de six mois afin de trouver un partenaire. Elle emploie 137 salariés.

• « Contrairement aux bruits qui courent nous avons bien rouvert », tient à préciser Marie Faugère, gérante du Relais de Comodoliac. Cet établissement bien connu des Saint-Juniauds et des environs, qui fait à la fois hôtel et restaurant, est ouvert depuis plus de 40 ans. Pourtant, l’entreprise est placée en redressement judiciaire depuis six mois. Explications.

• Se disant victime d’une injustice, Christophe Cédat a déposé un référé en justice pour obtenir au plus tôt la réouverture de son établissement. Et il envisage même une action au pénal par la suite pour défaut de procédure. “Cette fermeture c’est une condamnation supplémentaire pour le café. Nous avons à nouveau perdu toute notre marchandise que nous avions achetée pour le service traiteur. Et rouvrir le 2 juin était vital pour notre entreprise qui est en redressement judiciaire depuis octobre dernier”, déplore le propriétaire.

• La mort dans l’âme, il s’est donc résolu en juin à déposer le bilan de son entreprise, pour la mettre à l’abri des créanciers qu’il ne pouvait rembourser. Le tribunal de commerce a placé Sym en redressement judiciaire le 10 juillet. L’enseigne, qui emploie 120 personnes et compte 80 boutiques, dont 57 détenues en propre, a six mois devant elle. M. Marello n’exclut pas de présenter un plan de relance. Sinon, il faudra chercher un ou des repreneurs pour éviter la liquidation. Un échec symptomatique de la façon dont toute une génération de marques se retrouve balayée par les mutations en cours.

• Le rotativiste Roto Centre Orléanais qui emploie 46 personnes a été placé en redressement judiciaire le 6 septembre avec une période d'observation de six mois.

• L'enseigne Camaïeu survivra-t-elle à la tempête ? Placée en redressement judiciaire il y a plusieurs semaines, la marque de prêt-à-porter féminin lutte pour le maintien de près de 4 000 emplois. Mercredi, selon des sources concordantes, pas moins de sept offres de reprise, cinq partielles et deux complètes, ont été présentées devant le tribunal de commerce de Lille. Une audience finale doit avoir lieu le 24 juillet prochain. Une première offre complète a été formulée par l'actuel management de la société en association avec trois fonds d'investissement déjà actionnaires de l'enseigne, à savoir CVC, Farallon et GoldenTree.

• Le groupe de cosmétiques connu pour sa marque Lierac a été placé en redressement judiciaire par le Tribunal de commerce de Paris. La pandémie a précipité la chute de l'entreprise familiale, fragile depuis plusieurs années. A l'origine des premiers soins capillaires à base de plantes il y a cinquante ans, sa cession n'est pas exclue.

• Dans le groupe Camaïeu, louons le sang froid des 3 200 salariés en France (+ 800 dans le monde), répartis dans les 634 magasins et le siège social de Roubaix. Ceux-ci n’en finissent pas de découvrir des vertes et des pas mûres alors que leur entreprise est placée en redressement judiciaire depuis mars et que les offres des repreneurs fermes et définitives sont attendues ce vendredi au tribunal de commerce de Lille. Si bien que la colère sociale est montée d’un cran et que la CGT appelle ce lundi à une grève reconductible. Les autres syndicats pourraient embrayer dans ces débrayages à l’issue des assemblées générales du jour.

• MAVIC avait sollicité l'ouverture d'un redressement judiciaire le 2 mai dernier afin de trouver une solution de reprise pérenne.

• La crise sanitaire aura été l'obstacle de trop pour L'Amy. Cette entreprise née en 1810, l'une des plus anciennes de la vallée lunetière de Morez (Jura), a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Lons-le-Saunier le 2 juin, à sa demande. « C'est une démarche prudentielle, maintenant les gros travaux commencent, nous avons des plans que nous allons étudier », explique Dominique Alba, le PDG de ce petit groupe adossé au suisse ILG depuis 2015.

• En redressement judiciaire depuis le 3 janvier, suite à une année 2018 où le secteur du leavers pour la lingerie a connu de grandes difficultés, Noyon Dentelle se prépare actuellement à vivre un nouveau plan social. Henri-Philippe Durlet, président du dentellier calaisien, envisage 75 suppressions de postes (sur 168 salariés). Il évoque l’avenir de la société, de son leavers et la concurrence asiatique

• La créance est également réputée irrécouvrable au jour du jugement d'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire ou à la date du prononcé de la liquidation judiciaire de l'entreprise cliente.

• Placé en redressement judiciaire au mois de mai, la direction de Naf Naf, a choisi le groupe Sy International pour reprendre une grande partie des magasins NAF NAF. Le groupe de l’homme d’affaires franco-turc Selçuk Yilmaz possède également l’enseigne française , déjà repreneur de Sinequanone en novembre. Face à son concurrent direct, le français Beaumanoir (propriétaire de Morgan), l’homme d’affaires franco-turc a présenté une meilleure offre qui permettra de garder le plus d’emplis chez Naf Naf.

• L'horizon s'éclaircit pour les quelque 5 300 salariés de La Halle. Alors que Conforama vient de tomber dans l'escarcelle de la maison mère de But, l'enseigne de vêtements et de chaussures filiale de Vivarte, en redressement judiciaire depuis le 2 juin, sera finalement en grande partie reprise par le groupe Beaumanoir. Une entreprise bretonne, propriétaire notamment de Morgan, Cache-Cache et Bonobo.

• Beaucoup espèrent que ce 12 mai soit prononcé un redressement judiciaire pour la principale messagerie de presse française disposant de 22 000 points de vente dans le pays. Mais la liquidation judiciaire est aussi une option car Presstalis est en cessation de paiements.

• Le leader mondial des alumines de spécialité s’est mise aux normes pour le fer, l’arsenic ou l’aluminium. Mais l’interruption des travaux en raison du Covid-19 comme la situation en redressement judiciaire d’Alteo, qui cherche un repreneur, ont été pris en compte pour obtenir un nouveau délai.