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Citations sur le sa

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• Le vieux sage du village m'a conté l'histoire des capripèdes, ces êtres légendaires qui foulent la terre de leurs sabots fendus, rappelant à l'homme sa nature primitive.

• Dans son dernier reportage sur l'agriculture bio, le journaliste décrit sa visite dans une champ de caproniers: 'Le fraisier, plus connu sous le nom de capronier, offrait une symphonie de petits fruits rouges gorgés de soleil, prêts à être cueillis.'

• Dans l'intimité de l'atelier, le capsage est moins une corvée qu'une danse silencieuse où chaque feuille trouve sa place avant la métamorphose du hachoir.

• Dans le dédale des couloirs du pouvoir, il se faufilait, subtil captateur, usant de son charme et de sa ruse pour parvenir à ses fins.

• Comme l'explique le géologue dans son étude, capter l'eau à sa source permet de préserver sa pureté et garantit une qualité irréprochable pour les consommateurs.

• La jeunesse, avec son esprit captivable et sa soif d'aventures, constitue le terreau fertile sur lequel germent les révolutions.

• Dans le clair-obscur de sa cage, le tigre tourne en rond, illustrant avec une triste éloquence la dure réalité de la captivité : un magnifique prédateur sauvage réduit à l'état de prisonnier, loin de son habitat naturel.

• Dans sa revue de détails, le journaliste notait scrupuleusement chaque élément du paysage, conscient que même la plus petite observation était capturable et pouvait enrichir son récit.

• Ensuite, on ne peut pas considérer que la composition spécifique des captures nous renseigne sur la composition de l’avifaune car chaque espèce a sa « piégeabilité » particulière ; le rapport entre l'abondance et le nombre de captures est donc hautement variable selon les espèces.

• Dans le froid mordant de l'hiver, le livreur, capuchonné et enveloppé dans son manteau, poursuivait sa tournée obstinément.

• L'ingénieur, après avoir inspecté sa locomotive, décida qu'il était temps de la capuchonner pour en contenir la vigueur jusqu'à l'aurore.

• Mais d’autres fois se mettait à tomber la pluie dont nous avait menacés le capucin que l’opticien avait à sa devanture.

• Rien ne manquait que deux ou trois capucinades pour que le malheur de sa vie fût en règle.

• Les capybaras vivent en petits groupes sous la férule d'un mâle dominant accompagné de quatre à six femelles. L'individu de sexe mâle se reconnaît à sa glande frontale dont le liquide lui sert à marquer son territoire. Les petits, adorablement potelés, naissent au printemps. Protégé dans la région d'Iberâ, le capybara est élevé et chassé dans le reste du pays pour sa peau dont on tire un cuir souple. Les communautés traditionnelles le considèrent comme un plat de choix.

• Une autre arriva, puis une troisième, une quatrième ; alors, ce fut un caquetage assourdissant ; toutes parlant en même temps, chacune racontait sa journée.

• Le surlendemain, à l’heure où tout le monde était aux champs, le mayeur fumait sa pipe à la porte, assis sur la caquetoire, ou, si vous l’aimez mieux, le banc aux caquets.

• Dans le tumulte de la bataille, le carabin, agile et précis, maniait sa carabine avec une habileté sans pareille, déterminant l'issue des escarmouches avant même qu'elles ne se produisent.

• Dans l'immensité du microcosme, le carabique se distingue par sa persévérance, semblable à celle de l'homme face aux adversités de la vie.

• Le caracin, dans sa tranquille étendue d'eau, ignore les tumultes du monde extérieur, tout comme l'homme sage reste indifférent aux caprices de la fortune.

• Un jour, en bateau, voulant manier la godille à grand renflement de biceps, il tombait dans la Loire ; une autre fois, qu’il caracolait à la portière du landau, sa bête le serrait si durement contre la roue, qu’on était obligé de le garder et cataplasmer à la chambre plusieurs jours.