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Citations sur le sa

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• Dans son dernier article culinaire, l'auteur célèbre la polyvalence du cèleri : une plante potagère qui, de ses tiges croquantes à ses racines comestibles, trouve sa place dans une multitudes de recettes.

• Dans sa dernière publication, le magazine spécialisé dévoile l'évolution technologique du célérimerètre, cet instrument sophistiqué qui enregistre fidèlement chaque kilomètre parcouru par nos véhicules.

• Le cours du temps lui-même est un céléripède, emportant nos jours en sa course effrénée vers un futur toujours insaisissable.

• Issu du céleri ordinaire, le céleri-rave en diffère par sa racine charnue, qui atteint souvent la grosseur de deux poings, et par les pétioles de ses feuilles, creux et peu développés.

• La célestite, avec sa teinte bleutée, est la poésie minérale qui raconte l'épopée des océans figés en cristal.

• Puis, les allées et venues des moineaux au rayon des pâtes, en face de sa caisse, retiennent son attention. Les piafs se faufilent sous les comptoirs et les plus culottés s'attaquent aux paquets de cellophane sous les rayons.

• Dans la trame de notre être, la cellulosité tisse sa présence invisible, fondement intangible de nos origines les plus profondes.

• Le celticisme, dans sa plus pure expression, se manifeste non seulement à travers la langue mais aussi par le biais des traditions immémoriales qui continuent de vibrer au cœur de nos terres ancestrales.

• Il est vrai qu’en 1911 Urbain a cru avoir découvert ce troisième constituant de l’ytterbium de Marignac : dans une de ses fractions finales apparaissaient, en effet, 24 raies spectrales nouvelles. En même temps, Urbain constata que le paramagnétisme de sa préparation diminuait dans des proportions considérables. Sa valeur se réduisit au tiers, ou même au quart de celle observée dans une préparation qu’il croyait être l’élément 71 pur. Se basant sur cette constatation, Urbain annonça, en 1911, la découverte d’une nouvelle terre rare à laquelle il proposa d’appliquer le nom de celtium. L’apparition de raies spectrales, en partie très intenses, et, surtout, la décroissance considérable de la susceptibilité nous fit présumer que ce celtium était contenu en proportions élévées dans la préparation étudiée par Urbain.

• Comme un artiste devant sa toile vierge, l’annonce du celtium par Urbain était une esquisse audacieuse sur la palette encore inexplorée du tableau périodique.

• Dans sa forme la plus extrême, cette négation du Moyen Âge peut être assimilée à certaines formes de celtomanie.

• Enfin, […], on a chauffé plusieurs heures le fer dans sa gaine de platine vers 1000° ou 1100°. […]; examinant le fer après les mesures, on l'a trouvé blanc et brillant à la surface et imprégné de platine intérieurement par cémentation.

• Le regard de l'avare ne discernait pas la beauté du monde environnant; seul scintillait à ses yeux la cenchrite, symbole de sa quête insatiable de richesses.

• La cendraille dispersée par le vent racontait une histoire ancienne, celle d'un feu qui avait brûlé trop vite et ne laissait derrière lui que le souvenir grisâtre de sa passion.

• L'artiste, dans son atelier, s'affairait à cendrer méthodiquement sa toile, incorporant de fines volutes de cendres pour donner à son œuvre une texture et une profondeur uniques.

• Dans l'atelier poussiéreux, le peintre s'acharnait à cendrer sa toile jusqu'à ce que naisse du gris la lumière d'un matin brumeux.

• Dans le plus sombre recoin de la cuisine, elle frottait les casseroles, une véritable Cendrillon, jusqu'au jour où un talent scout l'a repérée et a transformé à jamais sa destinée.

• Il ne soupçonnait pas que sa protégée détestait ces repas pris en commun. Elle eût préféré jeûner dans sa chambre que d’avoir à affronter cette cène.

• Cueillie avant sa complète maturité, la baie s’y conservera sans moisir, […], affinant la saveur de sa pulpe qui affriande merles et grives mieux que cenelles d’épine blanche.

• Dans les temps médiévaux, le paysan travaillait sans relâche sur ses terres, non pas pour accumuler des richesses, mais pour satisfaire le censier qui réclamait sa part à chaque récolte.