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Citations sur le sa

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• « Poupou », c'était le symbole d'une France de province attachée à sa terre et proche de ses sous. Une certaine idée d'une nation de sport qui ne gagnait jamais et se reconnaissait dans cet homme dur au mal et courageux. Raymond était la figure le plus « poupoulaire » du pays de nos parents, une icône : « Un jour, raconta-t-il, Jacques (Anquetil) m'a dit « Raymond, tu continues à m'emmerder. Ma fille sait dire « Poupou » avant « Papa » »

• La vallée de la Senne est célèbre pour sa concentration importante de producteurs de lambic, une bière de fermentation spontanée qui sert de base à la préparation des gueuzes. La plupart d'entre eux sont installés en Brabant flamand, à l'exception du Wallon Tilquin, établi à Bierghes (Rebecq). Cette gueuzerie profitera de l'occasion pour proposer à la dégustation de nombreuses versions fruitées (pêche jaune, mûre-rhubarbe, airelle sauvage…) et toute une variété de gueuzes produites à partir de différents cépages (Syrah, Pinot noir, gris et meunier, Riesling, Mourvèdre…)

• Elle a visité plusieurs fois la Geuzerie Tilquin. Elle est implantée à Bierghes, c'est la seule gueuzerie de Wallonie. "Pierre Tilquin travaille de manière totalement artisanale. J'ai apprécié sa geuze à l'ancienne qui développe des arômes multiples et les gueuzes aux fruits aux saveurs subtiles. Il m'a demandé d'écrire cet ouvrage de recettes à base de ses produits. Je me suis remise au fourneau. La gueuze est un produit digeste qui allège la cuisson. Elle peut agrémenter un menu complet, du potage au dessert", explique Nicole Darchambeau.

• L'Office de l'environnement du canton du Jura interdit l'utilisation de tout produit phytosanitaire contenant du nicosulfuron en Ajoie. Cet herbicide a été régulièrement détecté depuis 2018 dans les principaux cours d'eau du district. Le nicosulfuron, « largement utilisé pour désherber les cultures de maïs, s'avère très toxique pour les organismes aquatiques », a indiqué jeudi l’Office jurassien de l’environnement. Sa forte toxicité a été « démontré scientifiquement », a-t-il précisé.

• Le travail du dendrochronologue se poursuit en laboratoire. La méthode, inventée par un astronome américain à la fin du XIXe siècle, consiste à analyser les anneaux que l’on aperçoit sur le bois: plus on en compte, plus l’arbre est âgé. Pour dater précisément un échantillon, il faut comparer sa courbe de croissance avec une chronologie de référence qui montre l’évolution du bois en question face au climat. Un procédé qui permet de dater le bois… à la saison près. «Pour ce village de la baie de Bevaix par exemple, on a su quand les maisons avaient été construites, réparées, puis abandonnées», note Fabien Langenegger.

• Le projet prend son envol en mai 2024. Le DPI+ sera déployé dans les deux hôpitaux. Sa mise en place à l'Hôpital du Valais nécessitera plusieurs années préparatoires. Les équipes métiers et informatiques des HUG et de l’HVS collaboreront pour le co-développer, le co-gouverner et le co-financer. Chaque hôpital garantit la sécurité de son système et la protection de ses données. Le DPI+ fonctionne en multilingue. Cet élément est important pour l’Hôpital du Valais, institution bilingue, car il s’agit de répondre aux besoins spécifiques de l’hôpital et de respecter les particularités de ses centres hospitaliers. 

• M. Ramaphosa doit maintenant nommer un cabinet au sein d'un nouveau gouvernement de coalition après que son parti, le Congrès national africain, a perdu sa majorité parlementaire lors des élections du mois dernier. Il a été réélu président par les législateurs vendredi, après que le principal parti d'opposition et un troisième parti plus petit ont rejoint l'ANC dans un accord de coalition pour co-gouverner l'économie la plus industrialisée d'Afrique.

• Critiqué pour ses positions erratiques face au Covid-19, en difficulté dans les sondages, où la Ligue rassemble à peine 25% des électeurs ces dernières semaines, contre 34% aux européennes de mai 2019, le "capitaine" cherche depuis des mois à rebondir au niveau national, mais aussi en interne. Le président léguiste de la Vénétie, Luca Zaia, nouvelle coqueluche de l'extrême droite pour sa bonne gestion de la pandémie, devrait ainsi gagner haut la main dans son bastion.

• Sur ses cheveux auburn relevés en chignon, Eugenie portait le diadème kokochnik émeraude de Greville que lui a prêté sa grand-mère la reine Elizabeth II et dont les émeraudes soulignaient le vert de ses yeux. Cette tiare, signée Boucheron, avait été créée pour Mrs Greville, figure de l'aristocratie britannique en 1919, puis léguée à la famille royale. Aux oreilles de la mariée se balançaient des dormeuses en diamants et émeraudes offertes par son futur époux, idéalement assorties à son diadème. À ses pieds, Eugenie d'York avait choisi de chausser des escarpins open-toes assortis, de la marque britannique Charlotte Olympia.

• A savoir. Nommée la reine des fraises, la gariguette est la variété la plus cultivée en France. On adore sa forme allongée, sa couleur rouge vermillon et sa saveur sucrée acidulée.

• Le grand public ne le sait pas, mais la success story de la fraise gariguette démarre avec son inventrice, cette chercheuse en génétique fière d’avoir émargé à l’Inra, l’Institut national de recherche agronomique, toute sa carrière. « On ne dit pas inventrice, corrige-t-elle. C’est comme si vous aviez inventé vos enfants, tout juste peut-on dire que vous avez participé à leur existence. » Sauf que sélectionner une nouvelle variété de fruit est un brin plus complexe que faire des bébés.

• Les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) sont sur le territoire depuis hier lundi 11 décembre. Le général Yann Latil, commandant supérieur des FANC est arrivé avec sa délégation à bord de l'avion militaire, le CASA CN-235. Il a pris ses fonctions sur le Caillou au mois d'août dernier, ce premier déplacement est donc protocolaire, mais aussi pour re-préciser les missions de l'armée. Le général Yann Latil au micro d'Alexandra Lassiaille et Louis Métivier. 

• Ce geste est celui de la microcaresse des «mains lavées », ou le geste de celui qui cherche sa place.

• J’ai l’impression qu’il prend beaucoup plus confiance en lui. Au début de la série, il se faisait harceler par tout le monde, car sa mère est professeur dans le collège et qu’elle l’appelle « choupinet ». Jules était un peu pote avec tout le monde mais sans plus. Cette saison, il y a l’arrivée d’un nouveau personnage avec qui il va vivre une amourette. C’est quelque chose de nouveau à jouer. Côté écriture, ils nous arrivent de mettre les choses à notre sauce. Et finalement, le rendu est toujours meilleur, cela donne quelque chose de plus naturel que le mot à mot.

• Mais le coco-fesses est en danger. Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui a placé l’espèce dans sa liste rouge, il ne resterait guère plus que 8 282 cocotiers dans le monde et vivant à l’état sauvage, répartis dans moins de six sites et sur les seules îles seychelloises de Curieuse et Praslin.

• Comme des centaines d'enfants précarisés, Loujain, une fillette de six ans, vit avec sa famille dans une chambre d'hôtel de Marseille, sans cuisine. Mais grâce à un camion-cuisine pionnier en France, sa mère Fatima lui mitonne à nouveau des poivrons au four.

• Grâce à sa puissante systémie ascendante et descendante, LBG-01F34 protège efficacement la vigne en période de croissance active. Il pénètre très rapidement dans la plante, se mettant ainsi à l’abri du lessivage, dès 2 h après le traitement.

• Le fameux psychiatre et psychanalyste Robert Neuburger se trouvant trop sérieux sur les photos prises jusqu’ici, il nous a proposé de nous montrer sa vigne. J'en profite pour chercher à en savoir plus sur sa vie privée, sa systémie à lui…

• Le flonicamide est un pesticide utilisé par les agriculteurs contre la prolifération des pucerons. Son utilisation est contrôlée et limitée dans le temps en raison de sa dangerosité pour les abeilles et insectes pollinisateurs selon l’Agence nationale sécurité sanitaire alimentaire nationale (Anses). Sur l’homme, il peut provoquer des « lésions oculaires graves » et « une sévère irritation des yeux ».

• Le pédopsychologue conseille de "ne pas se mettre à sa place. Il ne faut pas mettre une pression excessive son enfant avec l'idée que l'école est nécessairement quelque chose qu'on aime et dans laquelle on doit s'investir effectivement et affectivement." Lui laisser, parfois, l'occasion de faire juste le minimum pour que l'enfant puisse simplement poursuivre son parcours scolaire.