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Citations sur le sa - Page 60
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Un blaireau, mon cousin, est mort dans son terrier:C’est moi qui suis son héritier,J’ai conservé sa peau, mets-la dessus la tienne,Et retourne à la cour.
Jean-Pierre Claris de Florian — Le Renard déguisé -
Par la futurition, l’homme est dans le temps comme auteur de sa temporalité interne. Comme jouissant d’un délai destinal, l’homme est dans le temps comme acteur de la vie qui lui a été assignée, du temps qui lui a été fixé.
Xavier Zubiri — L’Homme -
Les objets de ménage prédominaient ; parmi ceux-ci le vase de nuit en tôle émaillée tenait une place importante ; je crois fort qu'il servait à des usages nombreux et très différents de sa destination primitive. — Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland
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Bien mieux qu’à la mairie de Villefranche où Monsieur, malgré sa destitution en tant qu’adjoint au maire, continue de siéger au conseil municipal.
Aline Rigaud — Adeline Fleury -
Une fois déconstruite, cette tendance nous apparut comme le résultat d’un mécanisme d’identification projective par lequel des parties d’elle-même, en l’occurrence des parties mauvaises, issues de sa destructivité, étaient inconsciemment projetées à l’extérieur, et faisaient retour sur un mode persécutoire.
Jean Besson — Traitement psychothérapique d’une jeune schizophrène -
La profusion de détails gracieux ne nuit en rien à l’ensemble qui conserve toute sa majesté.
Gustave Fraipont — Les Vosges -
L'opération de détalonnage des portes consiste à recouper la partie inférieure de l'ouvrant sur toute sa largeur.
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La pulsation archiprécipitée des artères du malheureux Durandin, plutôt que l’envie de se défaire d’un homme qui en voulait à sa vie, lui firent lâcher la détente de l’arme qui tremblait dans sa main ; mais le hasard le servit mieux que son adresse, et, le coup parti, Rouzé tomba frappé.
Honoré de Balzac — Croquis et fantaisies : Une charge de dragons -
Enfin Desplein prit plaisir à se livrer à toute sa verve d’athée, et ce fut un flux de plaisanteries voltairiennes, ou, pour être plus exact, une détestable contrefaçon du Citateur.
Honoré de Balzac — La Messe de l’athée -
J’avais ressenti de façon purement charnelle l’omniprésence du dollar dans notre vie quotidienne, sa nécessité fondamentale. Et comme il m’en manquait toujours un peu plus qu’à la majorité de mes camarades, j’avais développé à son égard un amour mêlé de détestation.
Philippe Labro — L’étudiant étranger -
Viscéralement opposé, par son vécu, aux totalitarismes, il participe activement au projet Manhattan en appliquant toute sa puissance mathématique à des contributions appliquées portant sur la statistique, l’analyse numérique, l’hydrodynamique, la détonique, les ordinateur, la météorologie, la balistique…
François Lavallou — John von Neumann -
Son imperméable fripé détonnait avec sa nouvelle élégance : il en fit une boule et la jeta dans la corbeille à papiers. Qu'on le rasât de près, qu'on lui fît un massage facial, et une manucure : il serait d'attaque.
Claude Cariguel — L'insolence -
À huit heures et demi, au moment où son ancien commis passait sa robe de chambre et secouait les idées confuses du réveil, bâillait, se détortillait, demandait pardon à son ancien patron, Birotteau se trouva face à face avec le tigre affamé de vengeance dans lequel il voulait voir son seul ami.
Honoré de Balzac — Histoire de la Grandeur et de la Décadence de César Birotteau -
Il fut justement obligé de faire un détour pour éviter sa belle-mère
Émile Zola — Conquête de Plassans -
T’as eu des mots avec sa bonne femme, elle risque de te détroncher facilement.
Hervé Le Corre — Après la guerre -
En agitant au-dessus de sa tête des mains gonflées, aux ongles en deuil
Maurice Druon — Les Grandes familles -
Saint Jérôme dans son cabinet n’avait pas sur sa cheminée une pendule ; premièrement, parce qu’étant dans une grotte, il n’avait pas de cabinet ; deuxièmement, parce qu’il n’avait pas de cheminée ; troisièmement, parce que les pendules n’existaient pas.
Victor Hugo — L’Homme qui rit -
Aujourd’hui quinze février, le roi est venu à Paris avec sa Gabrielle ; elle avait un capot et une devantière pour porter à cheval, de satin couleur de zizolin, en broderies d’argent avec du passement d’argent mis en bâtons rompus…
Émile Gaboriau — Les cotillons célèbres -
« C’est là que je me suis trouvée bonne actrice… me dit Claire au soir de sa première rencontre avec les psychologues-experts, j’ai fait la fille dévastée anéantie, je crois que j’ai vraiment réussi à cacher ma joie. »
Michel Houellebecq — Sérotonine -
H. était et resta un déveinard ; cette nuit même, en chargeant son pistolet signaleur, il se tira une fusée dans la tige de sa botte et dut être évacué avec des brûlures graves.
Ernst Jünger — Orages d’acier -
Dès la classe de troisième, Laïla a déjà choisi son futur métier : elle sera développeuse Web. Un Salon de l’Etudiant et un guide consacré aux métiers de l’Internet la confortent dans sa décision : "Ce métier est beaucoup plus logique qu’on ne le croit. C’est un peu comme si on imbriquait des Lego en permanence les uns dans les autres, c’est super ludique, en fait", souligne Laïla.
Nathalie Helal — « Comment je suis devenue développeuse informatique » -
Cet homme du XVIIe siècle qui n'a pas froid aux yeux, qui a voyagé dans une grande partie de l'Europe, qui a publié en 1808 un livre où il proposait un plan audacieux de nouvelles relations sexuelles et où il jetait les bases du féminisme moderne, va s'apercevoir qu'il était encore loin d'imaginer le degré de dévergondage que certains milieux pouvaient atteindre, que ses propres nièces, sous des dehors cafards, forment une bande de partouzardes fieffées, qui se gaussent de sa naïveté.
Émile Lehouck — Vie de Charles Fourier -
Polly Ann Pringle est une jeune fille bien comme il faut, une élève modèle que même sa meilleure amie Anastasia n’arrive pas à dévergonder…
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Propager au sein de sa base un rejet puissant des institutions dès qu’elles n’obéissent pas à ses diktats. Face à celles-ci, sa base a vite basculé de la confiance à la méfiance, puis à la défiance et au stade terminal, à une déviance sociétale parfois même violente.
Josée Legault — « La fin du cauchemar? » -
Voir ses défauts, sa négativité en action, mettre en évidence le corps ténébreux de soi-même, c'est-à-dire l'ensemble des comportements automatisés qui nous empêchent de nous libérer, nommer son ivrognerie ou les déviations égotiques qui nous mènent par le bout du nez, […].
Christian Charrière — L’œil d'émeraude: chroniques -
Yvon, en sa qualité d'adjoint, est encore venu me bassiner avec la déviation de Virail. La départementale passe au mitan du bled. Ils ont posé un panneau, limitation à 45 km/h. <> Claude Courchay <> Quelqu’un dans la vallée
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Chrysis avait toujours ignoré cela, le devin ayant dit à sa mère combien il est dangereux de révéler aux gens les prophéties dont ils sont l'objet.
Pierre Louÿs — Aphrodite -
Les rives latérales droites peuvent être réalisées [...] par ruellée maçonnée avec 'dévirure', cette dernière ayant pour but de rejeter l'eau en évitant sa stagnation dans la zone contiguë au mortier.
Ursula Bouteveille — Mise en œuvre couverture et des toitures-terrasses -
On se répétait à Orsenna le défi de sa devise insolente : « Fines transcendant », et on ne manquait guère d’en nuancer l’énoncé d’ironie en se rappelant pour combien de ses membres exilés elle avait pris souvent un sens amèrement concret.
Julien Gracq — Le Rivage des Syrtes -
Il fit inscrire sa devise parmi celle des combattants, en cachant son visage et son nom, comme la loi l’ordonnait.
Voltaire — Zadig ou la Destinée -
Il se tut. Les autres devisaient toujours paisiblement. Il répéta sa question. Ils s’obstinaient à ne point faire la moindre attention à lui.
H. G. Wells — La Guerre dans les airs -
La vitesse de circulation de la monnaie croissait ainsi de jour en jour et sa répudiation définitive semblait devoir être prochaine.
Wilfrid Baumgartner — Le Rentenmark (15 Octobre 1923 - 11 octobre 1924) -
Permettez-moi de remplir auprès de vous, dans l'intérêt d'un homme trop longtemps privé de sa liberté, un devoir de conscience et d'honneur
Chateaubriand — Mémoires d'outre-tombe -
Dans sa jeunesse, il a dévoré Jules Verne.
Il ne lit pas les livres — il les dévore. -
Il remet à la dévote sa feuille cléricale, au concierge sa gazette nationaliste, où pullulent les faits-divers (rubrique des « chiens écrasés » ), à la midinette son journal à nouvelles et à feuilletons, à chacun de quoi se fournir d'opinions pour toute la journée.
Sergines — « Les Échos de Paris » -
J’espère que ses dévotions feront choix d’un temps plus beau lors de sa prochaine visite à l’église de Saint-Jean.
Walter Scott — Ivanhoé -
Ils comprenaient parfaitement que s’ils l’avaient arrêté, c’est qu’il avait voulu se laisser prendre, qu’il avait probablement un intérêt puissant à agir ainsi, surtout après le soin qu’il avait mis à dérober sa piste à tous les yeux, et à trouver un repaire tellement impénétrable que les Indiens eux-mêmes, ces fins limiers que rien ordinairement ne peut dévoyer, avaient renoncé à le chercher plus longtemps.
Gustave Aimard — Les Trappeurs de l’Arkansas -
Le dextran est inerte et, à cause de sa taille, ne peut diffuser d’une cellule à l’autre, ce qui permet à cette substance de remplir deux des conditions d’un bon marqueur cellulaire, la spécificité et l’innocuité.
Nicole Le Douarin — Des chimères -
La dextrocardie consiste dans le déplacement du cœur à droite de sa situation normale.
Louis Gallavardin — Précis des maladies du cœur et de l’aorte -
En fait, sa réputation vient du fait que les dholes attaquent en groupe et tuent rarement leur proie du premier coup.
Connaissez-vous le dhole? — cambodgemag.com -
Allé chez Daune. Fait rougir sa femme, le diable sait pourquoi
Barb. d'Aurev. — 1erMemor. -
La lampe éteinte, Félicité ne put dormir. Les yeux fermés, elle faisait de merveilleux châteaux en Espagne. Les vingt mille francs de rente dansaient devant elle, dans l’ombre, une danse diabolique. Elle habitait un bel appartement de la ville neuve, avait le luxe de M. Peirotte, donnait des soirées éclaboussait de sa fortune la ville entière. Ce qui chatouillait le plus ses vanités c’était la belle position que son mari occuperait alors.
Émile Zola — La Fortune des Rougon