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Citations sur le saint-georges

Il y a 34 citations sur le saint-georges.

• La semaine dernière, le prince Charles de Bourbon des Deux-Siciles, duc de Castro, s’est rendu en banlieue parisienne pour remettre la traditionnelle Bourse de Saint-Georges à des étudiants scolarisés à Antony. Le grand maître de l’ordre constantinien de Saint-Georges était accompagné de ses filles, les princesses Maria Carolina et Maria Chiara, qui ont échangé avec les étudiants.

• Au premier jour de la visite, le duc et la duchesse de Castro ont visité le somptueux parlement hongrois avec leurs deux filles. Ils ont également pu admirer la Sainte couronne hongroise d’Étienne 1er, exposée sous le dôme du parlement. Le président du parlement hongrois ainsi que le vice-premier ministre hongrois les accompagnaient. Au cours du dîner officiel organisé en soirée au monastère des Carmélites, le prince Charles a remis les insignes de grand officier de l’ordre sacré et militaire constantinien de Saint-Georges à Kristóf Szalay-Bobrovniczky, ministre hongrois de la Défense.

• Carine Dos Santos qui assure l'accueil de la boutique Gadepam, fait aussi partie des artisans qui vendent leurs créations. La jeune femme, issue du village palikur Savane à Saint-Georges revendique un métissage Galibi -Palikur. Bachelière, elle se destinait à la comptabilité. Finalement ses connaissances lui permettent d'être employée de l'association Gadepam tout en poursuivant une activité artisanale avec sa mère :

• Éphémère et fragile, un papillon lune a terminé ses jours chez un résident de Saint-Georges le 21 juin dernier. Considéré comme l’un des plus beaux papillons nocturnes au Québec, il est toutefois rare de s’en approcher de si près.

•  À découvrir : Un sarcophage mérovingien et des fonts baptismaux du 13ème siècle, un exceptionnel haut-relief du 15ème siècle représentant Saint-Georges combattant le dragon afin de délivrer la princesse (fonts baptismaux et haut-relief classés aux Monuments Historiques en 1923).

• Une démarche de médiation est en cours depuis le mois d’octobre entre l’aluminerie Alcoa et le Regroupement des citoyens du quartier Saint-Georges dans le dossier de l’action collective concernant la contamination aux HAP.

• "La célèbre vente des Hospices de Beaune attend une petite sœur", par cette phrase datée du 13 mai 1962 était annoncé la naissance de la première vente aux enchères des Hospices de Nuits. Cette année-là, 69 pièces de vins (des fûts de 228 litres) de Nuits Saint-Georges étaient vendues sous le marché couvert de la ville. 

• La Chambre de commerce de Saint-Georges (CCSG) présentera son 33e Gala de l’entreprise beauceronne le 21 mai prochain au Georgesville. Dix-sept Jarrets seront décernés au cours de cette soirée dans autant de catégories.

• La célèbre enseigne Pitaya, spécialisée dans les recettes thaïes cuisinées au wok, ouvre une nouvelle adresse à Nancy dans la rue Saint-Georges en plein centre-ville.

• Cet exil, la Camargue en fut la mémoire outragée. Le hurlement moqueur d’une enfance disparue : une enfance qui, vibrant aux rythmes des gardians et des marécages, osait – sorte de Saint-Georges sauroctone – vivre son temps.

• La pierre tombale de la reine Elizabeth II a été officiellement dévoilée samedi, avec la publication d’une photo par le palais de Buckingham, cinq jours après son inhumation à la chapelle Saint-Georges du château de Windsor.

• Après le lièvre à la royale, les ris de veau restent son plat favori. Christophe Fasan, le chef du restaurant Emile, place Saint-Georges à Toulouse, ne se lasse pas de ce met, au menu dans son établissement toute l'année, «tout comme le cassoulet».

• La visite de chantier des mercredis 13 et 20 avril du Palais des congrès, dont les travaux se terminent, sera certainement très suivie. Du côté des visites guidées, les participants pourront par exemple découvrir les villas des années 1950 à Pontaillac le 30 avril. Les plus sportifs feront une balade à vélo dans les pas de l’architecte Marc Quentin le 16 avril. Les villas modernistes de Saint-Georges et Vaux seront quant à elles à découvrir le 23 avril.

• «Hier soir des jeunes Lyonnais, en soutien aux victimes de l'attaque sur la conférence Palestine de samedi, se sont rendus dans le Vieux Lyon pour rappeler qu'aucun quartier ne doit être laissé aux mains des fascistes», a commenté le chef de file du groupe antifa Jeune Garde Lyon, Raphaël Arnault. Une référence à l'attaque de militants pro-palestiniens lors d'une conférence donnée rue Saint-Georges samedi soir. Une quarantaine de militants d'ultradroite avait brisé les vitres de la maison des passages et blessé trois personnes. Un suspect a depuis été interpellé et placé en détention provisoire.