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Citations sur la série B
Il y a 15 citations sur la série B.
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Plusieurs films et TV série B archipopulaires américains, repris en France en 1992-1996, abordent ces divers mariages et remariages, entre parents et parents par alliance.
Anne Ancelin-Schutzenberger — Aïe -
Le 27 août 1964, dans une petite salle de la banlieue de Florence, le mythe de l'Ouest prend du plomb dans l'aile. Une poignée de spectateurs découvrent un bon petit western rital, maquillé en série B made in USA, qui écorne délibérément la légende imprimée par John Ford.
Vincent Mirabel — L'Histoire du cinéma : Pour les Nuls -
Cinquante-sept ans, une gueule de vedette pour « série B » américaine
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Le 27 août 1964, dans une petite salle de la banlieue de Florence, le mythe de l'Ouest prend du plomb dans l'aile. Une poignée de spectateurs découvrent un bon petit western rital, maquillé en série B made in USA, qui écorne délibérément la légende imprimée par John Ford.
Vincent Mirabel — L'Histoire du cinéma : Pour les Nuls -
À vrai dire, elle avait tourné quelques autres films à Hollywood après avoir participé aux ultimes tentatives avortées de Castle, mais c'étaient des nanars de série B. Pour elle, ces fragments étaient son dernier travail « sérieux ».
Théodore Roszak — La Conspiration des ténèbres -
C’est dans ce contexte que PlanRadar a annoncé jeudi 20 janvier avoir bouclé un tour de table de près de 60 millions d’euros, co-dirigé par Insight Partners et Quadrille Capital. Ce nouveau financement, le plus important en B2B de série B jamais réalisé en Autriche, permettra à la PropTech d’accroître son expansion internationale, ainsi que son développement technologique. En outre, la start-up prévoit de créer plus de 200 nouveaux postes aux États-Unis, en Australie, en Asie, et en Amérique Latine, doublant ainsi ses effectifs mondiaux pour l’année à venir.
Batiweb — PlanRadar signe la plus grosse levée de fonds B2B d’Autriche -
L’histoire de « Robocop », série B primaire hérissée d’une ironie ultra-sophistiquée, résume à elle seule l’ADN du premier film 100 % hollywoodien de Paul Verhoeven : dans un Detroit ravagé par le chômage et l’insécurité, une multinationale conçoit, à partir du corps d’un flic fraîchement tué, un robot-justicier d’une efficacité redoutable. Seulement voilà, plutôt que servir les intérêts de ses concepteurs (et encore moins les idéaux de la démocratie), la part humaine de Robocop se rebiffe…
L'Obs — « Robocop », blockbuster anticapitaliste -
Cette luxueuse série B très ensoleillée n’a ni le génie des « Aventuriers », ni l’émotion du « Grand Bleu », ni l’intensité des « Grands fonds », mais ne s’en laisse pas moins zieuter avec un plaisir délictueux. La faute, entre autres, aux bikinis trop étroits des Jessica Alba et Ashley Scott. Avec de vrais squales et, en tête d’affiche, le regretté Paul Walker.
Soirmag — À la télé ce soir: «Bigfoot Junior» et «Les touristes» - Soirmag -
Deux ans après une levée de 8 millions de dollars, la plateforme de repas préparés Taster annonce une série B de 37 millions de dollars réalisée auprès des fonds Octopus Venture (Secret Escapes, Cazoo, ...), Battery, LocalGlobe, HeartCore et Rakuten, GFC et Founders Future, afin de développer son système de licence.
Maddyness - Le média pour comprendre l'économie de demain — Taster mise sur la franchise pour poursuivre sa croissance -
On a beau se dire que les bains de boue, c’est bon pour la peau, que la vase est source de vie, que les oiseaux limicoles y réalisent des festins de mollusques, que le phytoplancton et la photosynthèse s’y reproduisent avec une forme de lubricité toute écologique, quand vos orteils s’enfoncent dans cette matière molle, flasque, spongieuse, ça dégoûte, ça écœure, ça répugne. Et ça vous rappelle inévitablement ces films de série B où le méchant se fait engloutir entièrement par des...
SudOuest.fr — Et zut, c’est marée basse !Fouras, Châtel, Aytré, etc. -
Julien Rantier, 37 ans, habite en Italie depuis une vingtaine d’années. Très jeune, cet espoir de Nîmes Olympique a quitté le Gard pour l’Atalanta Bergame. De l’autre côté des Alpes, il a pas mal bourlingué, jouant, entre la série A et la série B près de 450 matches en professionnel. Désormais, il évolue à Carpeneto (série D, l’équivalent du National 2) et s’occupe de la section jeune de ce club situé tout près de Piacenza où il vit. Marié à une Italienne, père de deux enfants de 10 ans et 8 ans, c’est là-bas qu’il fait sa vie, dans un pays aujourd’hui meurtri.
midilibre.fr — "On entend la sirène des ambulances" - midilibre.fr -
L'Exorciste du Vatican est l'exemple type de la série B bien fade qui n'a visiblement rien d'intéressant à raconter malgré quelques bribes d'incarnation sporadiques. Un jaculatoire filmique pas nécessairement déplaisant à suivre mais qu'on oublie aussitôt devant le manque d'idées, heureusement incarné par un Russel Crowe ultra investi flirtant avec les bis. Pas terrible quand même !
L'Info Tout Court — Critique L'Exorciste du Vatican : série B jaculatoire -
La catégorie de l’étrange n’est qu’une petite porte d’entrée de ce cinéaste qui ramène toujours à l’incarnation organique ses préoccupations métaphysico-sexuelles dont les destinées sont portées par des femmes et en particulier par l’actrice fétiche du cinéaste Elina Löwensohn qui se retrouve dans la quasi-totalité de ses films. Avec une économie assumée de moyens renvoyant les films de série B et Z au rang d’inventions visuelles méconnues, Bertrand Mandico trace à sa manière un nouveau sillon décomplexé du cinéma français.
Club de Mediapart — Excentricité métaphysico-sexuelle cinéphilique | Le Club de Mediapart -
En série B dames, avec l’absence de la grande favorite Élodie Bossut (B0, Vedrinamur), la voie royale était ouverte pour la jeune Candice Lardinois (B2, Vedrinamur). Elle s’est emparée de son premier titre provincial chez les seniors. Elle s’est imposée facilement 3-1 (11-4, 11-5, 8-11, 11-7) face à Eloïse Duvivier (B4, Malonne).
DH Les Sports + — Tennis de table : doublé pour Louis Laffineur et première pour Candice Lardinois au championnat provincial - DH Les Sports+ -
En ce qui me concerne, je suis content d’avoir vu des choses un peu plus dures durant mon enfance. Ça m’a aidé. Ce type d’histoire et d’ambiance m’a permis de mieux maîtriser les abstractions de la vie. Pourquoi faire ce genre de catégories, enfants, teenagers, adultes, série A, série B, série Z… Nous sommes tous des organismes vivants et nous savons comment réagir devant ces images.
« Les grands cinéastes : Tim Burton », Tim Burton, Cahiers du cinéma, décembre 1992, p. 24