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Citations sur le ses - Page 311

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• Recruté ce mois de juin, par le service Enfance Jeunesse du Centre intercommunal d’action sociale Chalosse Tursan, Stéphane Picard a pris dans la foulée ses fonctions de codirecteur des accueils de loisirs dudit territoire...

• Le directeur et éventuellement le codirecteur de la publication doit être majeur, avoir la jouissance de ses droits civils et n’être privé de ses droits civiques par aucune condamnation judiciaire.

• L’art de recevoir remonte à la renaissance, à l’époque où Louis XII et François Ier découvrent l’Italie, son architecture, sa peinture, mais aussi son art culinaire et celui de la réception. Henri II, fils de François Ier épouse Catherine de Médicis, italienne, qui amènera dans ses bagages un certain Frangipani, qui donnera son nom à la pâte d’amande, et la fourchette. On ne dîne en France à cette époque qu’avec une cuillère, un couteau et… ses doigts ! L’art de recevoir va ainsi progressivement se codifier jusqu’au 18e siècle.

• 1. La néo-liturgie a été fabriquée de façon ouvertement anti-traditionnelle. Il fallait retrouver la pureté de la liturgie des premiers siècles par-delà, comme a osé le dire l’un de ses principaux fabricants, la « corruption grégorienne », à savoir de saint Grégoire le Grand. Cela suffit pour ne reconnaître aucune légitimité à cette « réforme ». Rien dans l’Eglise ne peut se faire contre la tradition, surtout quand on pousse l’impiété jusqu’à parler de la corruption dont se serait rendu responsable le principal codificateur de la liturgie latine, l’un des plus grands papes et docteurs de l’Eglise.

• Les tweets de cette codeuse de 27 ans sont suivis à la loupe par toute la Silicon Valley et les investisseurs à Wall Street. Depuis l'appartement de ses parents à Hong Kong, elle déniche les nouvelles fonctionnalités des applications les plus célèbres avant qu'elles soient accessibles au public.

• Ces « dispositions extravagantes » contrevenant « manifestement » aux exigences du droit français, Laura Smet a donc demandé à ses avocats « de mener toutes les actions de droit » pour les contester. David Hallyday, le frère de Laura Smet, sera « codemandeur » dans cette procédure, selon son propre avocat, Jean Veil.

• Pour se prémunir du cocuage et se garantir une femme qui l’aime et lui doive tout, Arnolphe a acheté une fillette de 4 ans et l’a élevée dans l’ignorance totale. Aujourd’hui elle a 17 ans : il va enfin pouvoir l’épouser – comme la société le lui permet, comme son cœur le désire et comme ses pulsions le lui dictent. Mais il semblerait bien qu’acheter une femme ne suffise pas pour la posséder… d’autant qu’Agnès semble être bonne élève à l’École de la vie.

• …il la conduirait devant le maire et devant le curé, se disant à lui-même, en manière de consolation, que, s’il était dans son destin de devenir cocu, il le serait certainement moins longtemps que s’il avait suivi l’exemple de ses anciens camarades et s’était comme ces derniers marié vers la trentaine.

• Un homme du monde, très parisien aussi et très initié, dont Zola avait fait la connaissance chez Flaubert, déjeuna au café Anglais avec lui, en tête à tête, dans un cabinet particulier ; et là, après le café, sur le champ de bataille même, l’ancien viveur, fouillant dans ses souvenirs de haute cocotterie, se confessait au romancier et lui racontait ce qu’il avait plus ou moins observé chez toutes : comment elles passent leur journée ; — comment elles se laissent aimer ; — à table, leurs goûts de perruche ; — leur tenue envers les domestiques, les créanciers, le monsieur qui paye ; — la question de l’amant de cœur, etc., etc. — (Paul Alexis, Émile Zola. Notes d’un ami)

• Le charcutier tue le porc, le dépèce et prépare ses cochonneries dans la même soupente à côté du fumier. Les animaux sont tués sans aucun contrôle effectif du vétérinaire, c'est dire quelle horrible mixture est présentée au public.

• Pour la teindre, on prépare un bain frais, dans lequel on met une once de cochenille pour chaque livre de laine : lorsque le bain est un peu plus que tiède, & lorsqu'il commence à bouillir, on y met la laine qu'on remue bien sur ses lissoirs ou bâtons, comme on a dû faire pour le bouillon , & on l'y laisse de la sorte pendant une heure; après quoi on la lève , on l'exprime , & on la porte laver à la rivière.

• Ce refus de l’injustice et du nationalisme cocardier se prolonge vingt-cinq ans plus tard par le refus patriotique et combattant du fascisme, de l’occupant et de ses complices français.

• Abraham Knupfer distingue son chapeau à trois cornes, ses aiguillettes de laine rouge, sa cocarde traversée d’une ganse, et sa queue nouée d’un ruban.

• L’homme d’affaires naît en Angleterre en 1945. Après une enfance tourmentée, avec un père alcoolique violent qui se suicide, il plonge lui aussi dans les addictions : alcool, speed, cocaïne. Il réussi malgré tout ses études universitaires avec brio et empoche un doctorat en mathématique avant d’enchaîner les jobs en programmation informatique. NASA, General Electric, Siemens… ils l’embauchent tour à tour, en dépit de sa cocaïnomanie et de son alcoolisme notoires.

• Il est pénible de constater que la cocaïnomanie ne fait plus ses seules victimes parmi des groupes d’individus, toxicomanes ou déséquilibrés.

• Il a toutefois contesté avec véhémence le statut de cobelligérant qui lui a été attribué par les pays occidentaux, mettant en avant le fait qu’il a toujours refusé d’envoyer ses troupes en renfort à la Russie.

• En mars et avril, la vigne étant taillée et profondément déchaussée, on coaltare au gros pinceau la tige dépouillée de ses vieilles écorces,... — (H. DE PARVILLE, Journ. offic. 7 avril 1876, p. 2510, 2e col. — cité par Littré)

• Par-dessus tout, la fuite en avant de monsieur Macky Sall, président de la République et chef de parti politique coalisé à une minorité d’apparatchiks impliqués, pour la plupart, au plus haut point dans le pillage outrancier des biens et deniers publics, plante un malaise permanent qui pourrait rapidement dégénérer en un chaos total de notre société et de ses institutions.

• Chaque soirée passée à ses côtés m’aidait à avancer à pas de géant dans mon domaine. Il était devenu mon coach privé en quelque sorte.

• Bien que le nom de cnidaire puisse sembler peu familier, vous reconnaîtrez probablement ses membres : il s'agit des coraux, des méduses et des anémones.

• Une foule de gens et de gamins suivait en tumulte le train des musiciens et la marche était fermée par un pizzicarolo, célèbre à Rome pour ses embonpoints, brandissant un clystère haut comme un clocher.

• Il en diffère par ses dimensions beaucoup plus faibles, par la présence de deux dents au fémurs antérieurs, par les antennes épaisses et par l’écusson clypéal plus large.

• Ce dimanche matin, les militaires du PGHM ont secourus un groupe de cinq personnes dans la clue d'Aiglun (Alpes-Maritimes). Il s'agit d'un homme de 50 ans, de ses deux filles et leurs petits copains âgés d'une vingtaine d'année.

• FR Gottéron a décidé de se séparer abruptement, en fin de saison, d’Andrei Bykov, clubiste aux 18 campagnes dans l’équipe professionnelle. Sa fidélité et ses services rendus ne sont pas récompensés. 

• Un nez rouge, fagotée comme une cheftaine scout, un chapeau sans forme, Emma, alias Meriem Menant, est une clownesse vagabonde et poétesse qui parle de choses très sérieuses sans avoir l’air d’y toucher. Depuis ses débuts, Meriem a créé des solos, des spectacles avec des musiciens virtuoses, des conférences avec la psychanalyste Catherine Dolto et avec le mathématicien Anatole Khelif, des causeries avec Nathalie Dessay et ne cesse de surprendre.

• Avec une entrée en matière en mode « paradoxe originel » de François Guédon, la seconde soirée Apéritive des Œnorires a convoqué Jean-Rémi Chaize et ses personnages touchants, névrosés mais toujours justes. L’entracte passé, Fred Blin s’est emparé de la scène pour un show clownesque virevoltant, demandant « A-t-on toujours raison ? » Raison d’aller aux Œnorires : assurément ! 

• Dans la gamme de ses cloueurs pneumatiques utilisant de vraies pointes à tête ronde, la Société Agrafvit vient de lancer le modèle « IN. 123 », actuellement unique en son genre […]

• Le clouage des sols en soutènement présente deux limitations dans ses applications : il ne peut être utilisé que pour des sols hors nappe ou à l'abri d'un rabattement de nappe ; par ailleurs, les conditions de sol doivent permettre d'assurer à court terme la stabilité locale du sol pendant les phases intermédiaires d'excavation.

• De style ogival flamboyant, à ornementation très fouillée, surtout dans la façade et les tours, ses arcs-boutants, ses clochetons, ses pinacles gothiques sont remarquables.

• Le look rappeur, avec ses panoplies fashion, les étiquettes de marques qui dépassent et le cliquetis des bijoux autour du cou, ça fait marcher flouze et bizness. C'est pour ça qu'on préfère les rebeus habillés en dollars aux rebeues fagotées en foulard.

• Au lieu de dire : « au revoir, attends-moi, — sois sage ! » pour qu’il épiât le bruit de petits pas dans le corridor et le cliquètement de toutes les clés dans les serrures, elle s’était tue, et viendrait, par surprise, dans son dos, mettre deux menottes tièdes sur ses yeux — ah oui ! — et crierait : « coucou ! » avec la voix de l’oisillon revenu près du feu. — (Marcel Schwob, Le Livre de Monelle, Mercure de France, 1895)

• Par son travail sur les costumes, Sophie Desmarais a mis en évidence les contrastes entre MTS [Marie-Stella, ainsi surnommée par ses camarades de classe] et Marie-Clown. Cheveux gaufrés, vêtements amples couleur saumon et bas de nylon donnent à la première une allure de gamine venue tout droit des années 80. À l’opposé, la seconde est clairement de son temps : jupe courte, chandail bedaine, bracelets clinquants, gomme à mâcher, maquillage, espadrilles. Toutes deux paraissent pourtant déguisées : pas encore adultes, encore un peu enfants.

• […] le vieux souriait, et, dans sa figure madrée, plissée de rides, creusée de sillons, embroussaillée de poils, ses petits yeux vifs et clignotants brillaient étrangement.

• Puis il vida son verre, fit clapper sa langue, cligna des yeux en se renversant sur le dossier de sa chaise, essayant de rappeler ses idées.

• Jolie petite déesse, soigneusement recouverte de tissu, elle se balançait au-dessus du clic-clac impérieux de ses hauts talons.

• Clic-clac, ouverture du poudrier, miroir portatif à l’appui, clic-clac, le tube coulisse et s’ouvre, révélant un bâton de rouge carmin, luisant et pointu, avec quoi elle entame la peinture de ses lèvres.

• — Yo ! Vaut sûrement mieux se retenir que de laisser à ses hôtes son petit paquet voleur en souvenir dans la cuvette ! — Spécialement si la clenchette du cabinet d'aisances ne fonctionne pas bien, les enfants ! — (Alain Bellemare, La Croix du sud, Lulu.com, page 221)

• Le clémentinier ressemble au mandarinier. Plus petit que ceux du mandarinier, ses nombreux fruits rouge orangé n’ont pas de pépins. Leur écorce se détache facilement de la pulpe.

• Puis viennent les gras majordomes, les pages, les piqueurs, les intendants, dame Barbe, toutes ses clefs pendues sur le côté à un clavier d’argent fin.

• Il y a ce vieux bonhomme à béret qui promène ses chiens, aussi claudicants que lui, mais leurs boitements alternés tiennent davantage de la complicité que de la souffrance.