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Citations sur le ses

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• La girafe est l'emblème du darwinisme selon Daniel Milo : "Le darwinisme, c'est la reproduction d'abord. On mesure le succès ou l'échec d'un organisme en biologie selon le nombre de ses progénitures. C'est le seul succès quantifiable, le reste est subjectif. Avec la girafe, quand le moment de cette reproduction démarre par une telle catastrophe, c'est lamentable" du point de vue de la survie de l'espèce.

• Louis Pouzin est ainsi considéré comme l’inventeur du datagramme et le concepteur du premier réseau à commutation de paquets, innovation essentielle du concept d’Internet, et le concepteur des premières formes d’interpréteur de commandes. Ses travaux ont été utilisés pour la mise au point de Internet et du protocole TCP/IP.

• C’est dans sa datcha que Tourgueniev s’éteint en 1883, Pauline Viardot à son chevet. Les collections d’autographes, manuscrits et gravures, rassemblées ultérieurement par l’Association des Amis d’Ivan Tourgueniev, Pauline Viardot et Maria Malibran, contribuent à valoriser la vie intime et l’œuvre de l’écrivain, tout comme ses relations avec l’élite littéraire et artistique de son temps.

• Alors que la datcha a été rénovée au début des années 1980, la villa reste longtemps en déshérence et menace de s’effondrer, ses sous-structures en bois pourrissant ne tenant plus l’ensemble. En 2019, enfin, le financement est trouvé, le Département des Yvelines prenant à sa charge 1,5 M€ du coût total. Le chantier peut commencer.

• Le Gratin Dauphinois, ce plat chaleureux et gourmand qui évoque les douces saveurs de la cuisine française, est une véritable pépite gastronomique. Il rappelle les dimanches passés en famille et est le plat idéal de l'hiver. L’animatrice de télévision et critique culinaire Julie Andrieu nous livre ses secrets de chefs pour réussir un authentique gratin dauphinois et impressionner vos convives.

• Le maréchal est prié de prendre ses cliques et de rendre sa plaque. La mairie de Paris veut débaptiser une avenue de l’ouest de la capitale du nom du maréchal Bugeaud, figure de la colonisation de l’Algérie par la France au XIXe siècle. La mesure fera l’objet d’un vœu symbolique lors du prochain Conseil de Paris mi-décembre, avant une délibération d’ici à l’été 2024, a annoncé ce jeudi 7 décembre l’adjointe à la mémoire Laurence Patrice. Le vœu prévoit que cette très bourgeoise avenue située entre la porte Dauphine et la place Victor-Hugo prenne le nom d’Hubert Germain, ancien résistant, compagnon de la Libération et ministre décédé en 2021.

• Retour à la barre donc pour le père qui a repris son récit. Deux de ses cinq enfants ont porté plainte à une semaine d’intervalle les 17 et 24 novembre pour des violences. Tout part, pour la première plainte du plus jeune, d’une banale dispute concernant le débarrassage de la table.

• Après avoir fouillé plusieurs pièces de la maison, les intrus tombent nez à nez avec la vielle dame, couchée dans son lit. Du haut de ses 88 ans, elle ne se débine pas face aux voleurs. "Elle a eu du répondant, elle n'a pas bougé de son lit et leur a dit "sortez de ma chambre, vous n'avez pas honte de vous attaquer à une personne âgée ?", a raconté Franck, son fils à nos confrères de BFMTV.

• Les soumissions pour les travaux d’infrastructures (aqueduc, égout, pavage des rues, chaînes de rue, lumières, électricité, etc.) vont sortir le 21 août. Dès le 25 août, la Municipalité fera ses choix et les travaux vont commencer. Déjà, le déboisage a commencé dans le secteur. Dès septembre, on devrait connaître le prix des nouveaux terrains. Rappelons que celui des terrains de la phase un est de 2,95 $ du pied carré.

• Il y a dix ans, le village de Baie-Johan-Beetz échappait de justesse aux flammes d'un feu de forêt, qui s'est finalement arrêté à quelques kilomètres au nord. Cet été, pour éviter au village de frôler une nouvelle catastrophe, la Municipalité s’est assurée de déboiser les sites qui entourent ses infrastructures.

• On l’a connu en chef lauréé (trois étoiles au Meurice, dont on ne saura jamais si c’est lui qui les a fait perdre à Alain Ducasse ou si c’est son départ qui…), et on le retrouve en aubergiste débonnaire dans une rue discrète d’un quartier qui ne l’est pas moins. La façade bleutée avec sa grande baie vitrée fait de l’effet, la salle, vaste, bruyante, avec ses petites tables pas nappées, est d’une froideur tempérée par les teintes douces – beige surtout – et quelques banquettes rouges. Près de la fenêtre, on pourrait être bien, mais avec un rien d’embonpoint – c’était la faute de mon voisin ! – on ne tient pas.

• L'écurie de Grenoux d' Audrey de Clerk et Michel Dréan tient la forme avec ses anciens élèves au débourrage et pré-entraînement. Ainsi, le couple installé en Mayenne a...

• Souhaitant rester anonyme, il nous explique que c’est la première fois qu’il voit des vignes débourrer aussi tôt dans la saison. « Il s’agit d’une partie de parcelle de vigne un peu faible de 1990 que je n’ai pas encore taillé » raconte-t-il, précisant qu’il a eu contrairement à certains de ses confrères eu la chance de passer au travers du gel et de la grêle en 2021 comme en 2022.

• 1894. Alphonse Bertillon, fonctionnaire à la préfecture de police de Paris, est contraint d'ajouter aux fiches anthropométriques de suspects qu'il établit scrupuleusement les empreintes de quatre doigts de la main droite relevées avec de l'encre d'imprimerie. En 1901, ses fiches d'identité détaillées de criminels comportant taille, poids, signes particuliers et photographie s'enrichissent de l'empreinte d'un doigt de la main gauche. Trois ans plus tard, il généralise le principe de la fiche décadactylaire (dix doigts).

• Un nouveau conseil décanal a pris les commandes de la Faculté de droit et des sciences économiques suite à leur investiture le jeudi 7 décembre. Jean Eugène Pierre-Louis est élu doyen de la FDSE. Licencié en gestion des affaires et en administration publique à l'Institut national d'administration, de gestion et des hautes études internationales (INAGHEI), licencié en droit à la FDSE, il a ses études doctorales à l'Universit&ea

• Au cœur de son atelier, elle explique à ses apprentis les différentes étapes de la poterie, à partir du décantage de l’argile, du tournage, du trempage, en passant par le séchage, la décoration, puis la cuisson. En résumé, de la matière première au produit fini.

• Vous l’avez compris : en incitant la bête noire à se fixer en forêt et en limitant ses incursions en plaine, l’objectif est d’abord de réduire la facture de ses dégâts. Certains produits, moins connus et moins utilisés par les chasseurs, ont aussi été élaborés pour éviter ou limiter le décantonnement du petit gibier, notamment du faisan.

• La Société des Silos Portuaires (SOSIPO) installée dans le port de Casablanca a passé commande au constructeur belge Vigan, société membre du groupe Van de Wiele pour un déchargeur pneumatique de grains de type le NIV800 dans le cadre de la deuxième phase de la modernisation de ses installations de levage.

• La première étape consiste à ôter la peau de l’animal ensuite, il faut la dégraisser et la décharner à l’aide d’un grattoir traditionnel. Avant le séchage, on nettoie la peau avec de l’eau et du savon pour la débarrasser de ses impuretés. Elle est grattée une nouvelle fois pour la dépoiler. À l’opposé des procédés de tannage modernes utilisant des produits chimiques, ce type de tannage traditionnel fait appel au cerveau de l’animal cuit avec de l’eau pour obtenir une bouillie homogène. On recouvre ensuite la peau avec ce mélange avant de la fumer selon une technique traditionnelle.

• Fiducia supplicans n’est pourtant que la suite logique, effroyablement logique et fortement prévisible d’une révolution qui est à l’œuvre depuis longtemps. Et le Bon Dieu, qui se sert de tout, se sert de cette nouvelle péripétie pour déciller le regard de nombre de ses enfants.