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Citations sur le ses - Page 426

Il y a 35192 citations sur le ses.

• L'agent retourne donc chez ce Léogartien qui l'accueille sans problème. Après quelques questions (son emploi, ses revenus, son niveau d'étude...) probablement jugées trop personnelles par l'habitant, ce dernier s'emporte. 

• Les Lédignanais sont sceptiques au départ puis, peu à peu, ils l’ont aidé et encouragé. Le jour du défilé a été une grande réussite, musique en tête, les scènes représentées avec des personnages déguisés ont traversé les rues du village : le cabanon, le bateau, le mariage, le moulin… Le journal, Le Petit Méridional en a parlé dans ses colonnes.

• Et pour promouvoir une langue régionale, rien de tel qu'un spectacle regardé chaque année par 200 millions de personnes à travers le monde. Depuis leur qualification pour représenter la France, en mars dernier dans le télé-crochet Eurovision France, c'est vous qui décidez, Alvan & Ahez découvrent ce microcosme, ses fans ultra-investis et sa communauté internationale. Notamment en participant au "pre-parties", des événements organisés chaque année par plusieurs pays participants pour regrouper les candidats dans un concert commun:

• Anne Le Troter transforme le Grand Café à Saint-Nazaire en banque du sperme dans une installation sonore immersive où le langage oral occupe une place centrale. Entre théâtre et création plastique, "Parler de loin ou bien se taire" prolonge ses recherches récentes et transforme un discours utilitaire standardisé en comptine. Brillant.

• Le mouvement « flight shaming », d’origine suédoise, s’est développé et ses slogans comme « flygskam » (honte de prendre l’avion) et « tågskryt » (fierté de prendre le train) sont en cours de traduction en plusieurs langues. Un avocat britannique qui boycotte désormais les vols et qui aimait voyager a dit à l’Agence Reuters : « C’est une pilule difficile à avaler, mais quand on regarde les problèmes liés au réchauffement climatique, le sacrifice devient tout à coup petit ».

• ACB Pume a fêté cette année ses dix ans d'existence. L’entreprise de chaudronnerie de Saint-Victor qui fabrique des accessoires (godets, attaches rapides...) pour les travaux publics et l'agriculture continue d'aller de l'avant. Elle vient de développer une toute dernière version de son attache rapide brevetée Trigger System beaucoup plus légère.

• Depuis le 2 juin, les brebis Rouge du Roussillon ont élu domicile pour quelques mois au barrage de la Galaube. Soucieuse de l’entretien de ses ouvrages, l’Institution des Eaux de la montagne Noire a fait le choix, cette année, de s’initier à une nouvelle démarche pour tondre l’herbe : l’écopâturage. Cette action s’inscrit dans le cadre d’une politique environnementale démarrée début 2021 par l’IEMN.

• La transhumance fera son grand retour le 22 mai, pour la journée de la biodiversité. Une trentaine de chèvres déambuleront ainsi dans les rues de Besançon. Et, cette année, la mairie a opté pour l’écopâturage de ses espaces verts.

• La mairie de Vieille-Toulouse opte une nouvelle fois pour l'écopâturage pour ses espaces verts. Mais cette année, la municipalité organise une véritable transhumance festive.

• En premier lieu, Antoine Buat souligne la différence entre l’informatique décisionnelle traditionnelle, dont les sociétés françaises en ont été les pionnières, et l’analytique avancée. L’ancienne méthode apportait des réponses sans laisser aux utilisateurs la possibilité d’explorer leurs données. De nos jours, DigDash permet à ses clients d‘affiner leurs analyses de données en ayant la capacité d’en explorer les moindres détails.

• Le site Studyportals Masters, une plateforme internationale de comparaison des masters, répertorie seulement 506 masters en Business Intelligence (BI) à travers le monde. C'est dire si ce métier n'en n'est qu'à ses balbutiements mais qu'on peut d'ores et déjà lui prédire un très bel avenir. La Business Intelligence, également appelée jusqu'à récemment l'informatique décisionnelle, analyse en continu des données pour faciliter au quotidien les décisions des décideurs d'une entreprise.

• Un avocat qui n’est pas capable d’ébranler les certitudes du parquet et lui pousser dans ses retranchements est un mauvais avocat. Parce que j’imagine que c’est son travail. Il appartient donc au Parquet de tenir ! Tenir, c’est ce que la société guinéenne l’exige.

• C’est en 2015 que tout débute. Un projet de construction d’un nouveau pas de tir pour le Centre spatial guyanais est décidé. Avant le début des travaux, des analyses du terrain de construction sont effectuées. Le diagnostic est sans appel : le terrain contient dans ses sols les vestiges de plusieurs occupations humaines anciennes. Les fouilles du périmètre sont réalisées en 2016 et laissent apparaître des résultats surprenants.

• L'adolescence ! Cette période si particulière, accompagnée de la découverte des premiers émois et du désir... Nomiya vient d'intégrer l'internat d'un lycée pour garçons. Et alors qu'il ne s'était jamais vraiment intéressé à l'amour, il doit maintenant se rendre à l'évidence : Shiba, son camarade de chambre, ne le laisse pas (du tout !) indifférent... Mais comment lui avouer tout ce qu'il ressent (y compris en dessous de la ceinture) alors qu'il a encore du mal à le comprendre lui-même ? La valse maladroite de ses deux adolescents un peu bêtas peut alors commencer... pour le meilleur et pour le rire !

• Quatre plateformes IPTV illégales gérées par une entreprise néerlandaise sont devant la justice. Pourtant, ses administrateurs auraient pu éviter un jugement et d’autres conséquences plus graves s’ils avaient accepté de payer 1 million d’euros de dommages lors d’une procédure à l’amiable.

• Né le 7 avril 1931, fils de Bernard Froberger et d’Anne, née Lidy, Joseph Froberger a fêté ses 90 ans à Mulhouse où il possède un immeuble tout en revenant chaque été, avec son épouse, dans son chalet construit en pleine nature à Hirsingue. Ses parents, agriculteurs, avaient eu quatre garçons et deux filles. Joseph est le dernier...

• Pour matérialiser cette orientation, Marteau réalise ses propres éditions où l’on retrouve les coups de cœur des fondatrices, des interviews d’artistes. « Nous avons pensé nos éditions comme des boîtes à outils pour faire connaître ce qui se passe dans la culture et l’art à Brest et autour de nous. Nous avons imaginé le support comme un objet artistique, imprimé en risographie et façonné à la main », ajoute Mathilde Cormier. Ces éditions sont accessibles via les comptes Facebook ou Instagram de l’association. 

• Le 24 janvier, Google a annoncé que désormais, pour figurer dans la première page de ses résultats, ce serait soit le featured snippet, soit le lien bleu. Une même URL ne peut plus occuper les deux places. Depuis le 29 janvier, l'outil d'analyse du positionnement Monitorank constate même que les URL de la position zéro ont été chassées de la seconde page où elles s'étaient retranchées dans un premier temps. Google a quant à lui rappelé aux référenceurs qu'ils ont le choix de laisser les crawlers considérer un contenu comme éligible ou non aux featured snippets.

• On se souvient de ses "Wakatépé baboune", de son arc, de ses flèches et de son "pouce indien". Mimi-Siku, c'était lui : Ludwig Briand. Vingt-deux ans après la sortie d'Un Indien dans la ville, Ouest-France a retrouvé son jeune héros. 

• Si un vendeur peut racheter un terrain qu’il a vendu à son acquéreur ou à ses ayants droit, il semble bien excessif qu’il ne puisse jamais usucaper ce même terrain, alors même que ces deux moyens permettent d’acquérir la propriété. Si cette considération est insuffisante pour convaincre, il est toujours possible aux plaideurs d’invoquer le fameux « principe de proportionnalité » pour réclamer un certain équilibre entre l’obligation de garantie du fait personnel du vendeur et l’usucapion.

• Voilà pour l’endiguement en aval du phénomène de décrochage scolaire. Quant à ses causes, Anne Emery-Torracinta estime qu’il «survient rarement comme un coup de tonnerre dans un ciel serein». Ses racines sont à la fois sociales, scolaires et personnelles. C’est ici qu’il faut, selon la magistrate, déterminer «dans quelle mesure le système scolaire facilite la réussite ou l’échec des élèves qui ne partent pas avec les meilleures chances». La magistrate y voit une raison supplémentaire d’adopter la réforme du cycle d’orientation soumise au Grand Conseil qui, selon elle, valorisera les élèves les plus faibles.

• En France, un accident cérébral vasculaire est enregistré toutes les 4 minutes ; 150 000 personnes sont atteintes, chaque année, d’un AVC. Les conséquences représentent la première cause de handicap chez l’adulte. Un coup de tonnerre dans un ciel serein, racontent ses victimes.

• « Aux racines de la désaffection entre le pouvoir et la population, il y a la crise économique de 2008 et la politique ultralibérale menée depuis », rappelle un journaliste en poste à Victoria, qui souhaite rester anonyme. Le pays est alors en quasi-faillite. Sa dette publique dépasse les 150 % du PIB. Pressé par le Fonds monétaire international, l’Etat licencie des centaines de fonctionnaires, vend ses monopoles et dévalue la roupie seychelloise, qui perd la moitié de sa valeur face au dollar. Dès 2010, la dette baisse de moitié et la croissance rebondit à plus de 6 %.

• Etrange autant qu'ambitieuse, l'intrigue tient ses promesses. La série baigne dans une esthétique rétrofuturiste, avec les locaux du cosmodrome datant de Gagarine restitués dans leur jus, tout en bénéficiant d'un décor extérieur sublime, où l'infini des steppes fait écho à l'infini de l'espace et peut-être aussi de la vie…

• Arrivé il y a quelques jours, Jean-Baptiste Toursel prend peu à peu ses marques à la tête de Grand Chambéry Alpes tourisme. Attractivité, activité post-Covid et la complémentarité du territoire sont au programme…

• Cette plaque à induction de Samsung est particulièrement précise grâce à ses 15 niveaux de puissance afin de garantir une cuisson parfaitement adaptée à chaque plat. Très esthétique, sa flamme virtuelle permet également de mieux régler la puissance. Cette plaque à induction encastrable présente une large zone modulable, pensée pour cuire plusieurs plats à la fois. Dotée de l’option Quick Start, la table de cuisson monte très vite en température et présente aussi munie d’une fonction maintien au chaud pour faciliter la cuisson des plats en simultané.

• Fabrice Milliez, président de MS’COM déclare : « L’arrivée dans le groupe Saphelec est une évidence et une belle opportunité pour MS’COM et ses collaborateurs de profiter de nouvelles expertises, d’apporter nos compétences et expertises au groupe et permettre à ses clients d’apporter une plus large gamme de services ». Il est nommé Directeur exécutif de MS’COM et a pour ambition de créer avec l’équipe MS’COM un « centre de compétence technique fort du groupe ».

• Le SREC Capellen était intervenu à la suite de l’expulsion du père du domicile. Du côté de la mère, la peur de son retour était clairement palpable. Elle craignait de le croiser ne serait-ce qu’en allant chercher ses deux fils de 5 et 8 ans à l’arrêt de bus. À entendre les menaces dont elle avait fait état à la police, il y avait de quoi. Les enfants auraient non seulement encaissé des coups, mais il aurait aussi menacé de les «tuer» tous les trois s’ils appelaient la police ou s’il ne pouvait plus les voir. Enfin, au plus jeune, il aurait par ailleurs lancé : «Je t’arrache la tête et les yeux avec.»

• Après avoir détruit par milliers des emplois industriels. Après avoir conceptualisé un monde sans usine, on se rend bien compte que la souveraineté et l’indépendance du pays passent par la maîtrise d’un outil industriel dense, diversifié et moderne. Si le Covid a lancé un signal d’alerte, la guerre en Ukraine oblige à la mobilisation. La France est trop dépendante pour ses composants électroniques, pour sa santé ou pour son énergie de quelques pays. Le moyen d’y répondre : réindustrialiser la France. Plus que jamais l’industrie a donc la côte. 

• Ses donateurs étaient reçus jeudi : Régis Vilment, qui a contribué au financement du premier télescope du club et Ian Davison, un astronome amateur écossais qui a donné à Astro24M son Nexstar 6 et ses oculaires. Guy Dufau devient aussi membre d’honneur à titre posthume. Instituteur à Mussidan, il initiait ses élèves à l’astronomie. Son épouse, Josette Dufau (excusée jeudi), a donné en début d’année un télescope C8 accompagné de ses accessoires.

• Pour cela, la spin-off du CEA Leti de Grenoble mise sur une technologie héritée de la microélectronique, puisque ses microLEDs utilisent des nanofils de GaN très performants pour des petites géométries, offrant à la fois des gains de consommation énergétique, de brillance, mais aussi de flexibilité, permettant de fabriquer les écrans souples de demain.

• La qualité du dialogue entre sciences, recherche et société relève d’un impératif majeur pour l’avenir de notre démocratie. Divers par ses expressions, englobant tout à la fois le partage d’une culture scientifique commune, les démarches de recherche participative ou l’expertise en appui à la décision publique, sa consolidation est l’un des objectifs prioritaires du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Cette deuxième vague de labellisation de sites universitaires renforce ainsi les espaces de porosité et les lieux d’interface, tout en multipliant les opportunités d’interaction entre les acteurs.

• La recharge itinérante de véhicules électriques arrive en France. Créé en 2019, le ravitailleur mobile italien E-Gap propose ses services à Paris pour commencer. Il compte le faire à Bordeaux, Marseille et Lyon dans l’année. Déjà installé à Milan et dans d’autres grandes villes transalpines, E-Gap se déploie en ce moment aussi à Madrid et à Munich.

• « Nous avons été dans l’impossibilité d’imprimer L’Echo de la timbrologie d’avril selon le planning prévu car, dans le souci d’éviter la propagation du Covid-19, notre imprimeur avait momentanément fermé ses portes », explique dans son éditorial la rédactrice en chef du mensuel amiénois qui « depuis 1887 accompagne les philatélistes dans leurs quêtes de savoirs »… D’où une édition datée avril-mai.

• Le Musée Estrine rouvre ses portes à Saint Rémy de Provence avec l'exposition des oeuvres de Jean Pierre Blanche à découvrir jusqu'au 11 juillet. Pour l'occasion, le musée et son expositions temporaire seront accessibles gratuitement jusqu'au 23 mai inclus.

• Le Musée Estrine rouvre ses portes à Saint Rémy de Provence avec l'exposition des oeuvres de Jean Pierre Blanche à découvrir jusqu'au 11 juillet. Pour l'occasion, le musée et son expositions temporaire seront accessibles gratuitement jusqu'au 23 mai inclus. 

• Les bras en croix, comme le Christ, au bout de son chemin de croix de dix années.Avec comme perspective, la résurrection.Elle-même et ses disciples n'ont eu de cesse de battre la campagne pour évangéliser les masses populaires crédules et faire connaître la stature internationale de la nouvelle idole.Une histoire de foi. Croire sans réfléchir.Gare à l'atterrissage qui risque d'être brutal...J.L.G.

• Impossible, à première vue, de deviner chez Andy Iragne un quelconque problème de santé. Le jeune homme, ex-troisième-ligne du SOM rugby, a bien un peu fondu. Mais il affiche toujours le teint juvénile que tous ses amis lui connaissent. Le même sourire. La même gouaille.

• Le nérophis est un poisson fin et long qui fait partie de la même classe que l’hippocampe – les agnathes soit « sans mâchoire ». Il ne mesure pas plus de 2 mm de diamètre pour une longueur maximum de 15 cm, y compris son museau. Le nérophis lombrique se déplace avec sa seule nageoire dorsale mais le fait rarement, seulement pour se nourrir. C’est d’ailleurs parce qu’il est souvent inerte et se laisse porter par le courant qu’il peut se confondre avec les débris végétaux et les algues, notamment pour éviter ses prédateurs.

• L’application n’est pas encore sortie qu’elle fait déjà beaucoup parler d’elle. "Waynna" propose à ses utilisateurs de copiétonner, c’est à dire de partager un bout de chemin à pied, pour éviter de rentrer seul(e) chez soi en pleine nuit par exemple. "L’idée nous est venue il y a un an et demi environ, car nous avons été nous-mêmes confrontés à cette problématique", témoigne Joffrey Trébot, cofondateur de l’appli avec Malick Diagne. Ces deux Rouennais, originaires de la région dieppoise, avaient dans l’idée de mener un projet digital depuis le lycée. Après quatre années d’étude dans le développement informatique, c’est en passe d’aboutir.