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Citations sur le ses

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• Tant que dura cette lecture, Rhéa garda la tête baissée et ne put retenir ses larmes. On en augura de suite qu’elle se sentait perdue devant des témoignages aussi indiscutables de ses torts d’épouse.

• Dans le grand théâtre du monde augustal, chaque citoyen jouait sa partition avec une gravité qui n'avait d'égal que l'ornementation de ses titres.

• Dans le silence de la cour, l'empereur contemplait son empire, conscient du poids de l'augustat qui pesait sur ses épaules comme une armure invisible.

• L’auguste vieillard exposa lui-même qu’il touchait au terme de ses jours, et qu’il désirait être assisté par les prêtres qui l’avaient accompagné de Florence...

• Dans l'Antiquité, l'aula était le cœur palpitant de la demeure, un espace majestueux accueillant tour à tour le grand vestibule, la cour intérieure et le palais de la cour et ses membres.

• L'aulète, avec ses doigts agiles, pouvait faire pleurer les pierres et danser les ombres, tant son art surpassait la simple mélodie pour toucher l'âme même de ceux qui l'écoutaient.

• Cependant la discorde était dans l'état-major du général autrichien. Mack, fidèle au plan de campagne dressé par le Conseil aulique, persistait à attendre dans ses retranchements l'arrivée de l'armée russe de Kutusof.

• Quand Philippe-le-Hardi dans son Ordonnance, enjoignoit à ses « Baillis et Sénéchaux, […] de laisser donner et aumôner l'Eglise, sans le consentement du Souverain et sans aucune réclamation », devant jouir de ces biens comme licitement acquis.

• Saint Nicolas était très hospitalier et très aumônier ; il dépensait ses biens et ceux de l’Église en viatiques aux pèlerins et secours aux malheureux.

• L.-L. Larose lui-même, malgré son âge, fut quelque temps arraché à son ministère et à ses spéculations, d’abord pour aller auner de la toile dans une bourgade du centre.

• Dissimulé derrière ses lunettes noires, l'homme dégageait une aura éthérée, semblable à un halo lumineux dont la couleur changeante traduisait une insondable profondeur d'âme et de pensées.

• Dans l'attente de la tempête, il connaissait cette sensation précurseur, cette aura médicale - comme un voile obscurissant ses pensées, l'avertissant d'une crise imminente.

• Dans chaque ligne de ses articles, on ressent cette aura singulière qui distingue les grands journalistes des médiocres.

• Dans son dernier article, l'auteur trace méticuleusement le parcours du pianiste, de ses tout premiers accords maladroits jusqu'à sa maîtrise virtuose, avec une attention particulière portée à l'importance de l'auriculaire, ce quatrième doigt de la main si souvent négligé dans nos gestes quotidiens, mais qui prend sur le clavier une importance capitale.

• Les sculptures de l'époque romane, avec leur floraison de chapiteaux auriculés, sont un témoignage muet de l'aspiration de l'homme à orner ses pensées avec l'esthétique du vivant.

• L'artiste puise dans la palette du monde, mêlant l'azur du ciel et l'aurine du couchant pour peindre ses émotions sur la toile de la vie.

• Dans le monde fascinant des lépidoptères, l'aurore, représentant du genre Anthocharis, exhibe fièrement une tache jaune orangé sur ses ailes antérieures, un spectacle chromatique qui évoque les couleurs d'une aube naissante.

• Sur les rues pavées de ce cœur auscitain, chaque pierre résonne d'une histoire qui fait la fierté de ses habitants.

• L'auscultation médiate, d'ailleurs, ne doit pas faire oublier la méthode d'Avenbrugger; elle lui donne, au contraire, une importance toute nouvelle, et en étend l'usage à beaucoup de maladies dans lesquelles la percussion seule n'indique rien, ou peut même devenir une source d'erreurs. (...) ce n'est guère que dans les hôpitaux que l'on peut acquérir d'une manière sûre et complète l'habitude de l'auscultation médiate, d'autant qu'il est nécessaire d'avoir vérifié, au moins quelquefois, par l'autopsie, les diagnostics établis à l'aide du cylindre, pour être sûr de soi-même et de l'instrument, prendre confiance en son observation propre, et se convaincre par ses yeux de la certitude des signes donnés par l'ouïe. 1819, p. 13-14.

• Le général était podagre depuis longtemps et ne pouvait se déplacer qu'avec d'extrêmes difficultés ; aussi se faisait-il porter par ses soldats.