Accueil > Citations > Citations sur le sixties

Citations sur le sixties

Il y a 15 citations sur le sixties.

• Dans des tons pastels et blancs, les trois pointures de la mode nous séduisent complètement. Apprêtées de robes bustiers et coiffées de brushing XXL, ces femmes fatales jouent les poupées sixties devant l’objectif de Mario Testino, pour notre plus grand plaisir ! Plus belles que jamais, les tops semblent comme tout droit venues du passé avec leur fameuse allure rétro qui leur va à merveille !

• Forever Sixties, l’esprit des années 1960 dans la collection Pinault, se poursuit jusqu’au 10 septembre 2023 au couvent des Jacobins, à Rennes (Ille-et-Vilaine), avec quatre-vingts œuvres qui racontent les sixties dans l’art contemporain.

• Gagner du fric, par n’importe quel moyen, et très vite, était l’horizon d’une génération qui voulait tirer un trait sur les sixties.

• With vast influences from contemporary music that extended far beyond the classical sarod tradition, the younger Khan grew up in, as he described it, “a melting pot of sounds” in the San Francisco and Bay Area. His mother was much younger than his father. She grew up in the midst of the Sixties with hippie culture and the emergence of the Haight-Ashbury and California sound along with psychedelic, acid and punk rock.

• À l’avant-plan, la guitare, l’instrument de prédilection du « Pad », se déploie sous toutes ses formes et ses facettes. Acoustique, électrique ou à résonateur, elle est jouée façon « finger style » en plus de compter son lot de solos. En passant par les sonorités sixties et le swing, le country blues reste le genre dominant de l’album. S’éloignant des standards bluegrass, Jean-Philippe Tremblay a ajouté quelques percussions en tout genre, du clappement de mains au daburka.

• Son bandana rouge dans les cheveux et son eye-liner so sixties donnent immédiatement le ton : la Beinheimoise Shanon Hemmer, 22 ans, a l’esthétique pin-up dans la peau. Son versant rockabilly, pour être précis, avec ses bandanas, vestes en cuir et autres hauts à pois.

• Je suis le seul à pouvoir retrouver un vinyle ! Il y a d'abord le blues et la country, le rock sudiste, la soul sixties un peu plus loin avec le funk et le disco, le métal et le grunge dans le couloir… Et encore, je n'ai pas tout ici. Dans mon studio où j'enregistre, il y a la jungle, le hip-hop, la house et la techno.

• Séparés, les Beatles, décédés, Brian Jones, Jimi Hendrix et Janis Joplin, enterré, le mouvement hippie… Le rock des sixties est mort, le glam rock peut entrer en scène. Avec ses extravagances vestimentaires, ses tubes sexy et électrisants, qui invitent les kids à être eux-mêmes, il achève de briser les derniers carcans qui corsètent encore l’Angleterre du début des années 1970.

• On y découvre des pièces maîtresses de l’art optique et cinétique élaborées par les pionniers du mouvement dans les sixties (Julio Le Parc, Jesús Rafael Soto ou Yaacov Agam). Des toiles et des installations qui provoquent des « zip, shebam, pow, blop, wizz » dans la rétine et « invitent le spectateur à bouger pour mettre l’œuvre en mouvement ».

• Emule d’Elvis Presley, héritier de Lewis Carroll, John Lennon a trouvé les mots, les mélodies et l’attitude susceptibles de catalyser les aspirations à la liberté d’une génération étouffant dans la grisaille de l’après-guerre. Avec Paul, George et Ringo, il a composé la bande-son des sixties et levé ce tsunami qu’était la Beatlemania. Dans leur sillage, des milliers d’adolescents se sont armés de fleurs et de guitares.

• Ambre Clément, jeune étudiante en science éducation L3 à Limoges, habite Mouthiers et pratique la danse depuis plus de dix ans. Actuellement, elle évolue avec plein d’enthousiasme au sein des Sixties pom-pom...

• ©Chris Christoforou / Getty Images / Amy Winehouse : ces références sixties qui ont construit son sty

• Depuis la fin des années 80, la musique électronique et surtout le hip-hop, très gourmand en samples, ont permis de déterrer des artistes sixties et seventies souvent largement ignorés à leur époque. Offrant même à certains le rebond d’une inattendue seconde carrière.

• Ces quatre jeunes musiciens sont menés par James Edward Bagshaw, le chanteur et guitariste du groupe. Ensemble, ils composent des morceaux psychédéliques et planants en respectant leurs influences sixties et seventies avec une intégrité admirable. Leur musique est inspirée aussi bien par les Beatles à leur période “Strawberry fields for ever” que par les Birds. Ils  nous transportent dans le passé, au début des années 70. Au même titre que leurs contemporains du groupe Tame Impala, ils sont la nouvelle génération du rock/pop psychédélique.

• De sa naissance éblouissante dans les sixties au revival des années 2010, le psychédélisme a été une innovation musicale majeure devenue, au fil du temps, un gloubi-boulga sémantique indigeste qui pénalise ses vrais héritiers.