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Citations sur le société de consommation
Il y a 19 citations sur le société de consommation.
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Reconnaître que l'on vit dans une « société de consommation » c'est souvent le déplorer, d'un point de vue humain sinon strictement moral, en affirmant que la consommation capricieuse, influençable et peu rationnelle tend à se porter sur des objets futiles (les « gadgets »), dépourvus de vertu économique et ne répondant pas aux aspirations véritables de l'être humain. Pol.1969.
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— Et cela fait une pierre de plus en faveur de la société de consommation.— Il faut bannir cette expression. C'est une formule éculée, un résidu de sémantique marxiste. Qu'est-ce qu'on oppose à la société de consommation? La société de pénurie, de la déshérence, de l'abstinence et de l'affamement? [...]— Tu as raison, et il y a autre chose. La société de prospérité – appelons-la comme ça... — Oui, c'est mieux.— Elle fait vivre des milions, des milliards d'hommes. — (Sylvain Tesson, « Le sapin » in Une vie à coucher dehors, Gallimard « folio », 2009, page 171)
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Dans notre société de consommation effrénée, le service des retours est devenu le miroir de nos hésitations et de notre quête incessante de satisfaction.
Pauline Lefèvre — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Éternelle terre d’étrangetés, le Japon est à l’origine d’un concept inventé dans les années 1980 par un ingénieur du nom de Kenji Kawakami : le Chindogu (objet insolite). Ce dernier revendique le fait d’innover et d’inventer toutes sortes de machines ou d’objets, utiles mais inutilisables, qui n’ont aucune destinée commerciale. Un pied de nez à la société de consommation intensive, caractéristique du mode de vie Japonais.
Top 32 des inventions japonaises inutiles mais géniales : l’art du Chindogu — Topito -
La société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être.
Jacques Delors — Le bonheur, la vie, la mort, Dieu... -
Déchet ou comment suivre la société de consommation à la trace. Comme le cadre usagé, le déchet se recycle ; le premier en séminaire, le second dans des centres de retraitement.
Jacques Mailhot — La Politique d'en rire -
Ce qu’on appelle la société de consommation devrait être rebaptisé : Société de Tentation.
Frédéric Beigbeder — Au secours pardon -
La société de consommation porte mal son nom, car un con ne fait généralement pas de sommation avant de dire une connerie en société.
Marc Escayrol — Mots et grumots -
La culture n'est pas un supplément d'âme que s'offrirait une société de consommation repue. Elle est notre boussole.
Nicolas Sarkozy — Marseille - 24 janvier 2012 -
Les relations entre la démocratie et la société de consommation ne sont pas réciproques, les relations entre la technologie et l'économie le sont : chacune renforce l'autre.
Edward Bond — Libération - A quoi pensez-vous ? -
L’artiste sème le trouble avec un curieux mélange. L’ensemble est à la fois très précaire et en même temps, la présence physique des œuvres est impressionnante. Face à face, Cyril Hatt présente un avion, des motos ou des voitures, fragiles tas de ferrailles de la société de consommation destinés à la casse. Mais face à cet effondrement programmé, face à ce triomphe éphémère, Cyril Hatt présente aussi des simples pigeons prêts à picorer ou à s’envoler ou un taureau, être vivant et mortel mais qui traverse, lui, toutes les mythologies depuis des millénaires.
midilibre.fr — Gard : Cyril Hatt et l’effondrement des mythologies éphémères - midilibre.fr -
Baptisé Sadave (initiales du mot vestiaire dans sa traduction tchèque, anglaise et en français), l’ensemble s’habille de créations plastiques faites de cols de chemises ou de poches peintes, de morceaux de chaussures transformées en gravure. « Notre société de consommation produit une masse énorme de vêtements en mouvement permanent, de main en main, et qui, à la fin, se jettent. J’ai capté ces cols, ces poches ou ces lacets pour les figer le temps », explique la Landernéenne.
Le Telegramme — Michaela Cápová, la Landernéenne qui expose à Prague - Landerneau - Le Télégramme -
La collection de photos amateurs réunies par Jean-Marie Donat illustre les dérives de notre société de consommation et observe par le trou de la serrure l’intimité des foyers de la classe moyenne. Derrière l’esprit festif, le bling-bling triomphe.
Télérama — Au Centquatre : “Tout doit disparaître”, l’anti-expo de Noël -
Mais son réseau bas débit, surnommé 0G, attise les convoitises face au potentiel qu'il représente. Dans une société de consommation de plus en plus envahie de capteurs et d'objets numériques et connectés en tous genres, le réseau Sigfox permet d'instaurer une connectivité et un échange d'informations en consommant très peu d'énergie. Le co-fondateur de cette technologie et de la société, depuis écarté par les actionnaires, Ludovic Le Moan, a d'ailleurs toujours associé le réseau Sigfox au terme de "frugalité".
La Tribune — Sigfox : trois candidats "écartés" de la reprise de l'acteur IoT toulousain ? -
Benoît Duguay est professeur à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal. Selon lui, les Canadiens vivent au-dessus de leurs moyens. Après avoir été propulsés dans les années 50 dans la société de consommation et plus tard dans celle de l’hyperconsommation, ils sont plongés à présent dans la société de « consumation ».
RCI | Français — Surconsommation et endettement : le mariage impossible – RCI | Français -
Le problème étant que des troubles associés, tels que la culpabilité, l'anxiété, la dépression et une mauvaise estime de soi compliquent la prise en charge. Pour certains, le statut social joue également un rôle important dans l'oniomanie, la société de consommation alimentant l'idée que les achats compulsifs sont une forme d'addiction post-moderne. La meilleure chose que puisse faire un oniomane serait de ne pas posséder de carte de crédit.
Atlantico.fr — "Addiction au shopping”, vraiment ? Comment cette tendance à tout pathologiser risque de faire plus de mal que de bien | Atlantico.fr -
Je raconte mon ontogenèse (mon parcours de vie) en l'incluant dans une dimension phylogénétique (l'évolution des espèces). Je suis né en 1954 et le monde, la société, ont connu une évolution comme jamais dans l'histoire de l'humanité. En 70 ans, la population a été multipliée par trois, l'espérance de vie a augmenté de 20 ans, le nombre de fermes a été divisé par 4, les banlieues ont prospéré. C'est l'avènement de la société de consommation et de loisirs.
midilibre.fr — Le paléoanthropologue Pascal Picq, invité du festival de la Biographie à Nîmes : "Sapiens ne subit pas l'évolution. Il a sa part de responsabilité" - midilibre.fr -
Quand et comment l’homme a-t-il basculé dans la société de consommation ? L’essai “La fabrique du consommateur. Une histoire de la société marchande”, aussi limpide que fascinant, retrace l’histoire d’une métamorphose dévastatrice.
Télérama — Avec le sociologue Anthony Galluzzo, plongez dans la transformation de l’Homme en consommateur -
Avec le fordisme d’abord et la Seconde Guerre mondiale ensuite, la semaine de cinq jours est toutefois devenue le modèle le plus courant. Travailler 40 heures par semaine est alors apparu comme normal et valorisé. Parallèlement, la montée de la société de consommation a cristallisé le fameux cercle vicieux où on travaille plus pour consommer plus.
Le Journal de Montréal — À quand la semaine de quatre jours ? | JDM