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Il y a 28 citations sur le sous la plume de.
La déconstruction ne se veut ni une méthode, ni un système philosophique, mais plutôt une pratique. Ses détracteurs lui reprochent souvent son obscurité ou ses formules alambiquées. Le jour de la mort de Derrida, le New York Times, sous la plume de Jonathan Kandell, titrait : « un théoricien abscons est mort » !
L'écrivain, dans sa quête de vérité, doit manier la confutation avec autant d'aisance que le poète joue des mots, dévoilant ainsi l'illusion sous la plume de son adversaire. Éloïse Duvallier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Muflisme, sous la plume de l’auteur de Madame Bovary, est un autre nom du nihilisme : rouler pour soi, dans une indifférence magistrale au reste ; avoir évacué l’hypothèse d’un autrui quelconque, s’autosigner des chèques en blanc au cas où l’envie nous viendrait de rayer de la carte un morceau d’Amérique. Revue des deux mondes — 2002
Celles du chloralisme et de l’éthérisme, plus rares aujourd’hui, ont donné lieu à des descriptions qui sont restées célèbres sous la plume de de Clérambault. Cahiers médicaux lyonnais — volume 44
« Sous la plume de Lyautey, l'organisation d'un territoire se lit comme celle d'une âme humaine : complexe, exigeante, et profondément ancrée dans le respect des identités locales. » (Citation fictive)
« Sous la plume de l'architecte, l'influxion subtile des lignes redessine l'horizon, transformant l'ordinaire en chef-d'œuvre. » (Citation fictive)
Prise de nausée, V., comme elle se nomme, comprend que, sous la plume de son aîné de 36 ans, elle deviendra le « support masturbatoire » de pédolecteurs. Nuit blanche — n° 163
La belle langue du Sud revit sous la plume de ces auteurs, ardent défenseurs d'une orthographe mistralienne, enracinée dans l'histoire provençale et chantée par Mistral lui-même dès 1854. (Citation fictive)
Assimiler le rire satirique à un rire sardonien revient donc à en souligner lʼambiguïté essentielle : la satire que lʼon perçoit souvent comme une attaque, révèle bien davantage, comme ici sous la plume de Du Bellay, une inspiration maladive. Véronique Duché-Gavet — Jean-Gérard Lapacherie
À ce moment, l'officier apprend, en lisant dans le journal l’Akhbar, sous la plume de l'archevêque, que des djemaas avaient sollicité l'installation d'un établissement religieux. « La chose est en elle-même si invraisemblable que je n'ai pas eu un instant la pensée qu'elle fût possible. » Oissila Saaidia — Algérie coloniale : musulmans et chrétiens : le contrôle de l’État (1830-1914
Dans l'immuable jardin des lettres, chaque mot est une fleur et la branche-ursine s'épanouit sous la plume de l'écrivain comme sous le pinceau du peintre. Henri de Florange — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Le mot « démographie » est apparu pour la première fois en 1855 sous la plume de Guillard. Jean-Claude Chesnais — Que sais-je ?: La démographie
Moins courant que son cousin «flagada», le «flapi» reste tout aussi efficace pour décrire son extrême fatigue. On le retrouve par exemple sous la plume de Sartre dans La mort dans l’âme: «Enfin seul! six heures de marche et, pendant quatre heures, ce rôle corseté de prince du mal: je suis flapi.» Le mot est issu du provençal et est dérivé de l’adjectif flap «qui est flétri». Le Trésor de la langue française précise qu’il serait issu du latin populaire falappa, altération du latin médiéval faluppa «balle de blé». Le Figaro.fr — Cinq nuances de fatigue dans la langue française
De nos jours, on préfère parler de «fakenews» et, en bon français, d’infox. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, on pouvait utiliser le terme «billevesée», pour caractériser des «propos, écrits vides de sens et souvent erronés». Le substantif féminin se notait aussi bien sous la plume de Balzac que celle d’Hugo ou Sand. Alors pourquoi ne pas le ressusciter? D’autant que le mot peut également s’employer dans deux autres sens. Premièrement, en tant qu’exclamation. «Billevesée!» signifie alors «Sornettes!», «Mensonges!», «Faux!». Secondement, «billevesée» peut désigner une «idée, un comportement, une occupation ou une préoccupation frivole, sans fondement réel». Le Figaro.fr — Dix mots anciens à utiliser (urgemment) au quotidien
Le verbe «rosser», qui signifie «frapper avec violence» est certainement plus connus que son substantif «rossard». Pourtant le mot qualifie très bien, dans un registre populaire, la personne paresseuse. Selon Le Trésor de la langue française, le mot vient de «rosse», lui-même emprunté au moyen haut allemand ross «cheval» qui fut probablement introduit en français par les mercenaires allemands. L’origine paraît étonnante, pourtant le «rossard» désigne aussi le «mauvais cheval». On le retrouve sous la plume de Zola dans Germinal (1885): «Qu’est-ce qu’il a, ce vieux rossard, à s’arrêter court?... Il me fera casser les jambes.» Le Figaro.fr — Procrastinateurs, cet article est fait pour vous!
La poésie est toujours présente sous la plume de la Solinoise Évelyne Charasse. Depuis des années, régulièrement, elle propose des recueils d’une grande sensibilité où le verbe est ciselé pour mieux exprimer le message poétique. SudOuest.fr — Sainte-Soulle : Évelyne Charasse, une poésie « entre nostalgie et espoir »
Mi-juillet 2020 à Paris, le New York Times, sous la plume de son journaliste nippo-américain Orimitsu Onishi, a consacré un dossier à la question raciale en France et comment la vivent les Noirs de France, exhortés à vivre un universalisme dont ils pensent (et voient?) qu’il ne marche pas. Tract à lu le dossier. Tract — [ DOSSIER ] Question raciale en France, universalisme (utopique?) et Noirs de l'Hexagone : Le grand dérangement? | Tract
Et avoir un problème avec tout en général et les fêtes en particulier, ce qui doit arriver à un certain nombre d’entre nous, peut conduire à des envies de suicide. Dans un recueil inédit, les éditions Wombat qui ont la bonne idée de publier progressivement l’ensemble de l’œuvre de Topor, on pourra lire sous la plume de l’homme au chapeau melon et au rire inimitablement sarcastique ses Cent bonnes raisons de me suicider tout de suite, suivi de Douze possibilités d’échapper à Noël. Causeur — Roland Topor: "Cent bonnes raisons pour me suicider" - Causeur
Datant de 1936, le second texte apparaît comme la perception codifiée, au travers d’une description de la Genève calviniste du XVIe siècle, qu’avait Zweig du national-socialisme. Dépeint sous la plume de celui-ci comme un « apôtre de la non-violence » et un « héros moral », le théologien protestant Sébastien Castellion incarnerait en effet la lutte « de la conscience contre la violence », face à la figure tutélaire de Jean Calvin. La Croix — Zweig et les Réformateurs « de l’ombre »
Quel autre mot que «pétrichor» peut si bien décrire «l’odeur qui se dégage de la terre lorsque tombe la pluie après une période sèche»? Si les mots rares conjuguent concision et précision, ils exhalent de plus des parfums d’un autre temps, pour le moins charmant. Que penser, par exemple, de l’adjectif «turpide» que l’on peut trouver sous la plume de Huysmans? qu’en est-il du très «bizarroïde» proustien? Le Figaro.fr — Seul un amoureux de la langue française réussira ce test sur les mots rares et littéraires du dictionnaire