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Citations sur le subsister

Il y a 16 citations sur le subsister.

• L'homme a besoin de se tromper lui-même : d'une part, il sauve une espèce qui a perdu sa capacité de survivre, d'autre part, il accélère la destruction de l'environnement qui lui permettait de subsister.

• Les objets solides ont une tendance à subsister qui confine à la monotonie.

• Lorsque nous critiquons, il faut le faire avec une humilité et une courtoisie qui ne laisse subsister aucune amertume.

• Le corps ne peut subsister sans l'esprit, mais l'esprit n'a nul besoin de corps.

• Peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas.

• L’amour est un sentiment qui, pour paraître honnête, a besoin de n’être composé que de lui-même, de ne vivre et de ne subsister que par lui.

• L'amour est un sentiment qui, pour être honnête, a besoin de n'être composé que de lui-même, de ne vivre et de ne subsister que par lui.

• Nous ne devons pas tenter de sauver le monde, mais de subsister ; c'est la seule véritable aventure qui s'offre encore à nous, en cette heure tardive de l'histoire.

• Le consentement des hommes réunis en société est le fondement du pouvoir. Celui qui ne s'est établi que par la force ne peut subsister que par la force.

• L’amour, aussi bien que le feu, ne peut subsister sans un mouvement continuel, et il cesse de vivre dès qu’il cesse d’espérer ou de craindre.

• Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister.

• Les lieux meurent comme les hommes, quoiqu'ils paraissent subsister.

• Quant à ceux qui, dans ce monde de richards, n'ont pour subsister que leurs salaires, il enragent, ils maugréent; ils se considèrent comme des déshérités.

• Je suis né à Genève en 1712, d’Isaac Rousseau, Citoyen, et de Suzanne Bernard, Citoyenne. Un bien fort médiocre à partager entre quinze enfants, ayant réduit presque à rien la portion de mon père, il n’avait pour subsister que son métier d’horloger, dans lequel il était à la vérité fort habile. Ma mère, fille du ministre Bernard, était plus riche ; elle avait de la sagesse et de la beauté : ce n’était pas sans peine que mon père l’avait obtenue. Leurs amours avaient commencé presque avec leur vie : dès l’âge de huit à neuf ans ils se promenaient ensemble tous les soirs sur la Treille ; à dix ans ils ne pouvaient plus se quitter.

• C’est l’un des rares festivals qui va subsister cet été dans un contexte de crise sanitaire et d’annulations successives, autant de bonnes raisons pour ne pas manquer ce rendez-vous !

• Peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas.