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Citations sur le succomber

Il y a 15 citations sur le succomber.

• Tous ces désirs que nous traînons à la remorque, à quoi servent-ils donc? « Ne nous laissez pas succomber à la tentation... » Non. Cette traduction arrangée me déplaît. J'aime mieux dire: « Ne nous induisez pas en tentation... » et laisser tout son mystère à cette phrase troublante. L'esprit qui tentait Saül venait de Dieu

• […], elles établissent que le crapaud succombe assez promptement à la privation totale d’oxygène, […].

• Se souvenant de la fatigue qui l’avait assommée, pour ne point y succomber, elle s’injectait de la volonté. Toutefois, pour s’économiser, elle ralentit l’allure.

• La peur n'est pas le pire. L'atroce, c'est la honte de se regarder succomber à la peur.

• Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber.

• Marcher au Paradis ou dans l’Eden, O tentation : Accorde-moi une seconde pour succomber.

• Il faudrait arriver à n'avoir que des tentations relativement nobles. Et à ce moment-là, il est urgent d'y succomber. Même si c'est dangereux. Même si c'est impossible. Surtout si c'est impossible.

• Le plus grand des péchés est ne de pas succomber au plaisir !

• L'homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation.

• Tous ceux que nous avons longtemps fait attendre dans l'antichambre de notre faveur finissent par fermenter et succomber à l'aigreur.

• Il est navrant de songer qu’après avoir survécu aux invasions barbares, à l’Inquisition, à la peste noire... l’humanité finira par succomber, pour avoir pulvérisé à l’aide de bombes aérosols, ces chlorofluorocarbures fatals à la couche d’ozone.

• Il n’est pas honteux pour l’homme de succomber sous la douleur et il est honteux de succomber sous le plaisir.

• Ne nous laissez point succomber au diagnostic, mais délivrez-nous des maux de la santé.

• Certains individus ne sont pas faits pour la souffrance ; ce seront les premiers à succomber à l'épreuve.

• Il fut fait officier d’académie en 1914, mais à force de se surmener, Hippolyte Coste fut affecté d’une maladie de cœur qui ne cessa d’empirer. Une première alerte eut lieu en 1903, où il faillit succomber à la tâche qui sera suivie de beaucoup d’autres. Il fut élevé au grade de chevalier de la Légion d’honneur, le 1er octobre 1923. Au crépuscule de sa vie, Albert Carrière se souvient : « sa dernière carte, du samedi 29 septembre 1923, est la réponse à la lettre de félicitations à l’occasion de sa nomination dans l’ordre de la Légion d’honneur ».