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Citations sur le sur la paille
Il y a 14 citations sur le sur la paille.
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Le comble de l’économie : Coucher sur la paille qu’on voit dans l’oeil de son voisin et se chauffer avec la poutre qu’on a dans le sien.
Alphonse Allais — Le tintamarre - 20 Juillet 1879 -
- Si la connerie n'est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille.
Henri Verneuil — Un singe en hiver -
Monsieur Esnault, si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille !
Michel Audiard — dialogues du film Un singe en hiver d’Henri Verneuil -
Couchés sur la paille au fond d'une grange si bien couverte que, tout en dormant, nous observons la comète, qui se montrait superbe, au milieu d'un ciel éclairé par une gelée à pierre fendre.
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En réalité, je rêvais d'une chambre dans un petit ryokan, je voulais appliquer mes pieds humides sur la paille tiède d’un tatami, piloter avec la pointe de mon index la télécommande du climatiseur réversible, régner sur la soufflerie, manger des watts par milliers.
Antoine Piazza — Un voyage au Japon -
Le fruit nommé cul-de-chien, nèfle d’Allemagne, est astringent avant sa maturité ; lorsqu'il a molli sur la paille c'est un aliment fort agréable ; par la fermentation on en fait une espèce de cidre.
Édouard Adolphe Duchesne — Répertoire des plantes utiles et des plantes vénéneuses du globe -
Ce gros strophaire, assez bon comestible, très facilement reconnaissable par son anneau double et étoilé, peut se cultiver sur la paille et les copeaux de bois.
René Pomerleau — Guide pratique des principaux champignons du Québec -
Le fruit nommé cul-de-chien, nèfle d'Allemagne, est astringent avant sa maturité ; lorsqu'il a molli sur la paille c'est un aliment fort agréable ; […].
Édouard Adolphe Duchesne — Répertoire des plantes utiles et des plantes vénéneuses du globe -
Je danse sur la paille humide des cachots
Verlaine — Œuvres complètes, Invectives -
Le fruit nommé cul-de-chien, nèfle d'Allemagne, est astringent avant sa maturité ; lorsqu'il a molli sur la paille c'est un aliment fort agréable ; par la fermentation ou en fait une espèce de cidre.
Édouard Adolphe Duchesne — Répertoire des plantes utiles et des plantes vénéneuses du globe -
Dix minutes plus tard, ils échouaient sur la paille humide du cachot. Et blêmes d'angoisse, ils se contemplaient sans rien dire, s'entre-distinguaient vaguement dans la lueur louche et lugubre que leur versait sur les épaules un étroit soupirail de cave dentelé de toiles d'araignées. 1888, 2epart.
Georges Courteline — Le Train de 8 heures 47 -
Le fruit nommé cul-de-chien, nèfle d’Allemagne, est astringent avant sa maturité ; lorsqu’il a molli sur la paille c’est un aliment fort agréable ; […].
Édouard Adolphe Duchesne — Répertoire des plantes utiles et des plantes vénéneuses du globe -
La courbe de tes yeux de Paul EluardLa courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,Un rond de danse et de douceur,Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécuC’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu.Feuilles de jour et mousse de rosée,Roseaux du vent, sourires parfumés,Ailes couvrant le monde de lumière,Bateaux chargés du ciel et de la mer,Chasseurs des bruits et sources des couleurs,Parfums éclos d’une couvée d’auroresQui gît toujours sur la paille des astres,Comme le jour dépend de l’innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul Éluard — La courbe de tes yeux -
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,Un rond de danse et de douceur,Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécuC’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée,Roseaux du vent, sourires parfumés,Ailes couvrant le monde de lumière,Bateaux chargés du ciel et de la mer,Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’auroresQui gît toujours sur la paille des astres,Comme le jour dépend de l’innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul Éluard — « La courbe de tes yeux »