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Citations sur le sur

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• Dans les lointaines époques de l'Histoire, des embarcations transformées en ultime demeure voguaient vers l'au-delà. Les bateaux-tombes naviguaient sur l'océan du temps, portant en leur sein des âmes endormies.

• Dans le brouillard matinal, le batelage des pêcheurs sur le fleuve semblait une danse silencieuse, minutieuse et essentielle à la survie du village.

• Mon batelet, façonné de papier,Ne vogue plus sur les courants rapides.

• ... laissons ces mots de parade aux esprits bateleurs, montés sur des tréteaux...

• Dans la majestuosité sauvage de l'Afrique, le bateleur, ce rapace diurne du genre Terathopius, règne en maître sur les plaines.

• Dans le ballet incessant de la batellerie, les embarcations se faufilent sur le fleuve, véritables artères du transport fluvial.

• On avait semé aussi les mulets, par vingtaines, aux dernières étapes, nos misérables mulets écorchés, gangrenés. Il fallait se mettre à dix, le matin, pour bâter leur viande à vif : cinquante kilos sur une plaie, ça les rendait fous !

• Dans mes recherches sur les composés organiques, j'ai constaté que l'introduction de groupements auxochromes adjacent à des chromophores induit souvent un effet bathochrome, déplaçant l'absorption vers des longueurs d'onde supérieures.

• Le bâti, invisible pour le spectateur, est pourtant l'ossature essentielle qui donne vie aux décors du théâtre, comme un squelette sur lequel se drape la peau de l'imaginaire.

• Il promulgue des lois, et il les change; il établit des constitutions, et il les viole; il fonde des empires, et il les renverse; il n'est jamais content de son édifice bâti sur le sable, et dont la base se perd dans l'abîme.

• [...] j’ai appelé la gare de Lyon pour me renseigner sur l’horaire des trains. J’en avais un à 7 h 50 qui perdait un temps épouvantable à batifoler du côté de Vierzon, mais l’un dans l’autre, c’était quand même le plus commode [...].

• Une hutte de branchage, un lit de fougère, voilà notre mobilier, et même ceux de nous qui voyagent sans cesse et qui ne se soucient pas de payer dans les auberges, ne supportent pas le toit d’une maison sur leurs têtes ; au cœur des hivers, ils dorment à la franche étoile sur la bâtine de leurs mulets, et la neige leur sert de linge blanc.

• L'ascète renonce aux plaisirs charnels et aux conforts matériels; sa bâtine n'est pas un lit mais un autel sur lequel il offre son repos au divin.

• Ce constat n’est pas nouveau : le keynésiano-fordisme des Trente Glorieuses s’est bâti sur le recours massif à l’importation de travailleurs immigrés venus du Tiers monde.

• Dans la stricte hiérarchie du journal, le stagiaire, hélas, est trop souvent considéré comme bâtonnable, premier sur la liste pour recevoir les blâmes en cascade.

• L’autorité féroce et sans contrôle de bachagas fantastiques, qui se mouchent gravement dans leurs grands cordons de la Légion d’honneur, et pour un oui ou pour un non font bâtonner les gens sur la plante des pieds.

• Ce genre, créé par Laurenti sur une espèce de reptile batracien de la famille des Urodèles, a été depuis adopté par la plupart des naturalistes.

• « Les percussions sont des chocs brefs, de puissance variable, appliquées sur le thorax avec la paume ou le bord cubital de la main pour favoriser l’expulsion des mucosités. […] Deux techniques sont généralement employées : […] les battades : le bord cubital d’une des mains du praticien ou la paume disposée en cuiller percute l’autre main posée à plat sur le thorax. » (Diziain 1976 : 128)

• La douceur d'une main qui se pose sur un thorax souffrant est transcendée par la force salvatrice d'une battade maîtrisée.

• ... « des canons! Amenez des canons! » Et puis tout à coup, les Bretons qui reculent, en laissant leurs morts et leurs blessés, sur le pont! Comment nous tirer de là? Comment battre en retraite sous la fusillade des remparts?