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Citations sur le sur - Page 340

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• Il ne faut surtout pas juger Dieu sur les balbutiements de ses serviteurs.

• Je ne peux rien dire sur mon sommeil : chaque fois que je m'apprête à l'observer, je m'endors.

• Les princes ont un pouvoir infini sur ceux qui les approchent ; et ceux qui les approchent ont une faiblesse infinie en les approchant.

• Mais, si dépourvues de matière qu'elles paraissent, les pensées aussi ont besoin d'un point d'appui, faute de quoi elles se mettent à tourner sur elles-mêmes dans une ronde folle.

• Le marché ne peut exister qu'à condition de s'appuyer sur une morale.

• Le plaisir peut s'appuyer sur l'illusion, mais le bonheur repose sur la réalité.

• Se rendre dépendant d'une armée est, assurément, s'appuyer sur un bâton brisé.

• Un homme qui a manqué sa parole une fois ne saurait appuyer sa cause sur l'honneur.

• C’est en soi qu’il faut cultiver la flamme qui réchauffe. C’est sur soi seul qu’il faut s’appuyer.

• Est écrivain toute personne qui ne suit que la vérité de ce qu’elle est, sans jamais s’appuyer sur autre chose que la misère et la solitude de cette vérité.

• Le bonheur n'est pas un but qu'on poursuit âprement, c'est une fleur que l'on cueille sur la route du devoir.

• L'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui.

• La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre.

• On baise parce que c’est ça de pris sur la mort.

• Les grands hommes, en apprenant aux faibles à réfléchir, les sont mis sur la route de l'erreur.

• Un pouvoir arbitraire est très facilement établi sur les ruines d'une liberté malmenée par le désordre.

• On n'oublie pas l'arbuste derrière lequel on s'est caché quand on a tiré sur un éléphant et qu'on l'a touché.

• Les paysages étaient comme un archet qui jouait sur mon âme.

• La jalousie n’est belle que sur un visage jeune et ardent. Après les premières rides, la confiance doit revenir.

• L’arithmétique la plus difficile à maîtriser est celle qui nous permet de ne compter que sur ce que l’on a.

• La principale fonction de l'Art est de construire des types sur la base fournie par la Science.

• Le comble de la politesse : S'asseoir sur son derrière et de lui demander pardon.

• Disons nous et disons à nos enfants que tant qu’il restera un esclave sur la surface de la Terre, l’asservissement de cet homme est une injure permanente faite à la race humaine toute entière.

• J'ai bien connu l'animal mort dans votre assiette. Sale temps sur la planète.

• Avec la répétition, une interview peut devenir une corvée assommante. Et parfois, on sent qu'on a été piégé ou trahi, en révélant plus sur soi-même que ce que le public avait besoin ou le droit de savoir.

• Mais l'athéisme qui évince Dieu, évince-t-il les questions sur Dieu ?

• Les chances perdues font autant partie de la vie que les chances saisies, et une histoire ne peut s’attarder sur ce qui aurait pu avoir lieu.

• Le but de l'existence humaine est d'atteindre le ciel sur la terre.

• Si un chemin peut conduire au meilleur, il passe par un regard attentif sur le pire.

• Gémir sur un malheur passé, c’est le plus sûr moyen d’en attirer un autre.

• Le Ciel sera l'épanouissement de toutes les beautés, la vie nous y conduit par un chemin dont nous ignorons la longueur, mais pourquoi m'attrister d'avancer sur cette route puisque la lumière est au bout.

• Écrivez sur vos portes ce sage et vieux dicton : Soyez audacieux, soyez audacieux, et partout : Soyez audacieux, mais pas trop audacieux !

• Il n'est qu'un esprit lézardé pour avoir des ouvertures sur l'au-delà.

• J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends.

• L'été remplit sa grange, affaisse ses greniers ; L'automne d'un doux poids fait gémir ses paniers ; Et les derniers soleils, sur les côtes vineuses, Achèvent de mûrir les grappes paresseuses.

• Salut, bois couronnés d'un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! […].

• Les gens qui sont sur internet, ce sont des gens qui sont ouverts, tolérants, autonomes, responsables, ouverts sur l’avenir, qui internationalisent.

• Aussitôt qu'un roi se relâche sur ce qu'il a commandé, l'autorité périt, et le repos avec elle.

• Tu as l’avantage sur la colère quand tu te tais.

• Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient.

• L'avarice a comme l'amour un don de seconde vue sur les futurs contingents, elle les flaire, elle les presse.

• Je suis ému et encouragé par cet immense mouvement de confiance qui est en train de se former parmi les Français (...). Ce mouvement de confiance va aller jusqu'au 22 avril et au 6 mai, mais je ne considère nullement que c'est gagné. J'ai les pieds sur te