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Il y a 25656 citations sur le sur.
Les contes anciens parlent souvent d'une gnomide qui veille sur les trésors cachés sous la montagne, gardienne infaillible des richesses enfouies depuis des temps immémoriaux. Étienne Morel — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans l'ombre des cadrans solaires, la gnomonique matérialise le ballet silencieux des astres, écrivant l'heure céleste sur le pavé des cités. (Citation fictive)
Malgré les soins prodigués, un discret gnon subsistait sur sa joue, souvenir tangible d'une altercation révolue. (Citation fictive)
Et il s’est mis à expliquer les règles du go. C’était n’importe quoi. Et d’une, ce sont les Chinois qui ont inventé le go. Je le sais parce que j’ai lu le manga culte sur le go ; ça s’appelle Hikaru No go. Et de deux, ce n’est pas un équivalent japonais des échecs. Muriel Barbery — L’élégance du hérisson
Dès le 'go' annoncé, les concurrents se sont élancés avec ferveur sur la piste. (Citation fictive)
Ma colère est sincère, même si elle s’alimente aussi à l’épisode que je viens de vivre, le regard énamouré d’un gars sur ma go. Rebecca Lighieri — Il est des hommes qui se perdront toujours
C’est terrible pour le détraquage de la machine, ces hauts et ces bas de l’espérance ; c’est mortel, ces illusions que les plus sceptiques acceptent au contact de la foule, à toutes les fausses bonnes nouvelles volant sur toutes les bouches, à la contagion du gobage des multitudes crédules : — illusions que détruit tout d’un coup la rédaction sèche du rapport officiel. — (Edmond de Goncourt et Jules de Goncourt, Journal des Goncourt : Mémoires de la vie littéraire, Bibliothèque-Charpentier, 1892 (7e mille) (Tome quatrième : 1870-1871, pages 3 à 176))
La fermière, sur un escabeau, serrait entre ses jambes une dinde qu'elle empâtait avec des gobes de farine. Flaubert — Bouvard
Il me semblait désormais que les dés à jouer du gobelet se remettaient à danser, qu'ils n'étaient pas encore tout à fait lancés, mais que l’inclinaison de la main divine, déjà, s'interrogeait sur notre sort à tous avec une certaine ironie qui ne manquait pas de cruauté. Martine-Marie Muller — La Servante noire
M. Mabeuf s’était mis à feuilleter et à lire, à l’aide de ses lunettes, deux livres qui le passionnaient, et même, chose plus grave à son âge, le préoccupaient […]. Le premier de ces livres était le fameux traité du président Delancre, De l’inconstance des démons, l’autre était l’in-quarto de Mutor de la Rubaudière, Sur les diables de Vauvert et les gobelins de la Bièvre. Ce dernier bouquin l’intéressait d’autant plus que son jardin avait été un des terrains anciennement hantés par les gobelins. Victor Hugo — Les Misérables
Le travail en gobelin est fréquemment allié [en Amérique] au nouage de la trame qui servait à fixer sur l'étoffe des plumes d'oiseaux. A. Leroi-Gourhan — L'Homme et la matière
Dans son article sur la mycoculture, le journaliste écrivait : 'Après avoir soigneusement préparé et inoculé le substrat, l'heure était venue de gobeter - une étape cruciale où un fin manteau de terre recouvre la culture, signalant au mycélium qu'il est temps de fructifier.' (Citation fictive)
Le montage des photographies collées sur bristol présente quelques inconvénients à cause du godage du bristol, provoqué par le collage des photographies. Émile Bosquet — Guide manuel théorique et pratique de l'ouvrier ou praticien-relieur
Là, et pas beau à voir, adossé à ses oreillers, dans son pyjama de soie verte qui lui godaillait de partout sur le corps et dont les reflets lui blêmissaient encore le teint. Albert Simonin — Grisbi or not grisbi
Dans la danse des mots étrangers que nous empruntons sans cesse, le 'godan' japonais se glisse dans notre vocabulaire avec l'agilité d'un chat sur les toits de Kyoto. Jean-Luc Marceau — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
William Klein est un godardien qui n’aurait retenu de Godard que son empreinte graphique —des lettres rouges ou blanches sur fond noir, oui, ça marche— ce sont des lettres qu’on voudrait de sang, portant des mots puissants, ou des mots d’ordre : « culture », « révolution »… — (asketoner (pseudonyme), « Festival Panafricain d’Alger, de William Klein », forums allocine.com, 22 mai 2010)
« FIGARO — Diable ! c'est une belle langue que l'anglais, il en faut peu pour aller loin. Avec God-dam en Angleterre, on ne manque de rien nulle part. Voulez-vous tâter d'un bon poulet gras ? entrez dans une taverne, et faites seulement ce geste au garçon. (Il tourne la broche.) Goddam ! on vous apporte un pied de bœuf salé sans pain. C'est admirable ! Aimez-vous à boire un coup d'excellent bourgogne ou de clairet ? rien que celui-ci. (Il débouche une bouteille.) God-dam ! on vous sert un pot de bière, en bel étain, la mousse aux bords. Quelle satisfaction ! Rencontrez-vous une de ces jolies personnes, qui vont trottant menu, les yeux baissés, coudes en arrière, et tortillant un peu des hanches ? mettez mignardement tous les doigts unis sur la bouche. Ah ! God-dam ! elle vous sangle un soufflet de crocheteur. Preuve qu'elle entend. Les Anglais, à la vérité, ajoutent par-ci, par-là quelques autres mots en conversant; mais il est bien aisé de voir que God-dam est le fond de la langue; et si Monseigneur n'a pas d'autre motif de me laisser en Espagne... » — (Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, III, 5)
Un pantalon à grand-pont, qui godait par le bas sur des souliers de castor, moulait son ventre, faisait bouffer sa chemise à la ceinture. Gustave Flaubert — Bouvard et Pécuchet
(Par analogie) — Elle me branlait et suçait son copain de lycée, elle me suçait et enfonçait son cul sur mon visage, elle se relevait, se plaquait à nouveau contre moi, elle se godait sur mon nez et sur ma langue, en une masturbation lascive, envoûtante. — (Tina Newhill, Ma petite salope,à compte d’auteur, février 2016, chap.8)
Dans son dernier défilé, le styliste a misé sur les volumes, jouant avec des godets savamment insérés pour donner de l'ampleur à ses robes et créer une silhouette toute en fluidité. (Citation fictive)