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Citations sur la surfaceuse

Il y a 13 citations sur la surfaceuse.

• Il y a des centaines de motoneigistes qui suivent de près la surfaceuse, alors les sentiers, ils ne peuvent pas durer», a raconté le président du club de motoneige Caribou-Conscrits, Joachim Simard.

• La famille Theriault a transformé une laveuse en surfaceuse de glace pour confectionner une patinoire dans sa cour arrière, à Winnipeg.

• La surfaceuse de l'établissement, qui datait de 1984, a cessé de fonctionner et est irréparable, selon les autorités municipales. Juste la remplacer, si je ne me trompe pas, on parlait de 250 000 $ pour ce genre de machinerie-là, affirme le maire de Caraquet, souligne Kevin Haché.

• Doté de ce nouvel équipement qui remplacera une surfaceuse d’une plus faible capacité, le club sera plus en mesure de prendre de l’expansion.

• Un horaire spécifique a été créé, y compris les plages pour le passage de la surfaceuse (Zambonie).

• Frank Zamboni est toujours une célébrité puisqu’il est rentré en 2009 au Temple de la renommée du hockey américain. Aujourd’hui, cette machine est constamment utilisée. Dans de nombreux pays comme au Québec, elle se nomme Zamboni, mais en France nous avons tendance à l’appeler resurfaceuse ou surfaceuse, car il y a de nombreux fabricants qui proposent des modèles. La surfaceuse est aperçue dans les patinoires, mais un concept presque similaire est utilisé dans la neige avec la dameuse. Cette dernière permet de façonner et de compacter la surface pour l’aplanir et ralentir la fonte.

• Le club de motoneige Caribou-Conscrits reçoit un coup de main du fédéral pour l’acquisition d’une huitième surfaceuse destinée à l’entretien de ses 800 kilomètres de sentier, avec l’obtention d’une contribution non remboursable de 195 050 $. 

• La surfaceuse du Club de motoneiges de la vallée de la Matapédia

• Le président du conseil d’administration de la patinoire l’avoue volontiers: ces derniers sont «les clients idéaux parce qu’ils bouchent les trous dans l’emploi du temps». Du lundi au dimanche, de 8h à 22h30, le plan d’occupation ne laisse que quelques rares cases blanches. Malgré cela, «il serait illusoire d’être dans les chiffres noirs sans le soutien de la ville, souligne Jacques Stalder. Les coûts de fonctionnement sont très élevés. Une surfaceuse, c’est 250 000 francs. On a eu la chance d’en trouver une au rabais mais on espère la faire tenir quinze ans. Et je ne vous parle pas de l’énergie: on chauffe le ciel…»

• Le Posi-Trail a été testé et apprécié par près de 200 motoneigistes et conducteurs de surfaceuses au cours de l’hiver 2018, ainsi que par des quadistes, l’été dernier.

• « C’est là que l’argent va. On fait aussi de l’amélioration de certains sentiers. On a aussi acheté un côte-à-côte avec une mini-surfaceuse. On va pouvoir entretenir un des sentiers trois fois par semaine avec. »

• Le dossier du gardien d'urgence est revenu dans l'actualité après que David Ayres eut joué pour les Hurricanes de la Caroline dans un gain de 6-3 contre les Maple Leafs de Toronto samedi. L'homme de 42 ans, qui conduit la surfaceuse du Mattamy Athletic Centre de Toronto et qui s'entraîne régulièrement avec les Maple Leafs, a été appelé en renfort au Scotiabank Arena après que les gardiens des Hurricanes James Reimer et Petr Mrazek aient quitté le match en raison de blessures.

• Ils ont donc consenti vendredi un contrat d’essai à David Ayres, un préposé à l’entretien qui conduit occasionnellement la surfaceuse les soirs de matchs au Mattamy Athletic Centre, pour seconder Jonathan Bernier.