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Citations sur la terre natale

Il y a 105 citations sur la terre natale.

• Il y a chez le Jabrunais une force tranquille et un amour indéfectible pour sa terre natale qui inspire respect et admiration.

• Chaque matin, le Chagéen contemple les collines de sa terre natale comme un peintre face à une toile inachevée.

• Les récits des anciens racontent qu'un vrai Gœulzinois ne se perd jamais, car il porte toujours une partie de sa terre natale dans son âme.

• Il rapproche, selon son habitude, ceux qu'il aime, les poètes, les artistes, et sa propre famille, et il tisse des liens entre l'Italie et sa terre natale : […].

• Un Augéen ne se perd jamais dans les méandres de la ville, car ses racines le guident toujours vers sa terre natale des Deux-Sèvres.

• Il y a une certaine fierté chez le Polérois, un attachement profond à sa terre natale qui défie le temps.

• Le regard d'un Larissien contemple les plaines fertiles de sa terre natale avec une fierté silencieuse mais éloquente.

• Pour un Vialarain, quitter sa terre natale revient à laisser derrière lui l’âme même de son existence, car ces collines sont plus qu'un foyer; elles sont une identité.

• Il existe une fierté secrète chez tout Saint-Pierran, comme un lien invisible qui unit chacun à sa terre natale de Saint-Pierre-Toirac.

• Le Palmassol connaît chaque sentier de sa terre natale comme les veines de sa main, une intimité qui ne peut être comprise que par ceux qui arpentent le même sol.

• Le cœur d'un Annabellevois bat au rythme des saisons, fidèle à sa terre natale et fier de ses racines.

• L'Oricampien, fier et humble, connaît chaque sentier de sa terre natale comme les lignes de sa propre main.

• Un Lambresien n'oublie jamais ses racines ; il voyage avec l'âme de sa terre natale ancrée profondément en lui.

• Un Daubeuvais sait apprécier les petits plaisirs simples que sa terre natale offre avec générosité.

• Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale.

• Après la mort de son mari, une belle prêtresse moabite quitte sa terre natale pour suivre sa belle-mère à Bethléem...

• Le 18 mars, comme chaque année depuis les accords d’Evian, Raymond Prière s’est juré de planter ses patates. Si le vieil homme de 94 ans répète avoir réussi à transformer l’amour profond de sa terre natale en indifférence, n’allez pas en revanche lui demander l’impossible. « Hors de question pour moi de commémorer cette triste date. »

• Autre cas de figure avec l'expression «coller aux basques» ou «lâcher les basques» de quelqu'un. Rien à voir avec l'affection que l'on peut porter aux habitants de ma terre natale biarrote. Il s'agit, là encore, d'une histoire de vêtements composés à l'époque d'un haut et d'un bas, reliés à la taille par une couture. Ces habits étaient appelés «pièces à taille». Si le haut, buste et manches, compose le corsage, le bas, queue-de-pie, en retroussis, etc., forme la basque du vêtement. C'est par le bas de la veste, la basque, que naguère les mendiants agrippaient les nantis pour leur réclamer l'aumône.

• « Devrais-je rester ici ou retourner en Ukraine ? » C’est la question que se posent de nombreux Ukrainiens à l’étranger en ce moment. Diana Kinash, 22 ans, est du lot. Originaire de la région de Ternopil, dans l’ouest du pays, l’étudiante de l’Université de Toronto n’a presque pas arrêté de suivre l’actualité dans sa terre natale depuis le début de l’invasion, le 24 février.

• Dans ses mémoires, l'ancien crotoniate décrivait avec nostalgie la beauté de sa terre natale et la fierté d'appartenir à une telle communauté.